restaurant entre Meilleures Amies. { Pv tara}

« Une meilleure amie,
c'est à la fois nous-mêmes et l'autre,
l'autre en qui nous cherchons le meilleur de nous-mêmes,
mais également ce qui est meilleur que nous. »

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restaurant entre Meilleures Amies. { Pv tara} Tara

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__L’amitié est un sentiment complexe, si fragile parfois mais si puissant lorsqu’il est sincère. Certains disent même qu’elle est indestructible, comme l’étais les anciens rituels vaudous dans le fin fond de l’Afrique. Une véritable amie c’est celle qui ne vous trahira jamais, celle qui restera à vos côtés pour le meilleure et pour le pire qu’elle qu’en soit les conséquences aussi sombre soit-elles. Elle est celle qui veillera sur vous, qui vous protégera, vous conseillera, vous fera rire ou esquisser un sourire alors que vous êtes au fond du gouffre. Une amie n’a pas de prix, c’est inestimable, ce trop d’amour déborde tellement qu’on ne peux l’acheter. Une amitié ça se mérite, sa s’acquît au fil du temps qui défile inlassablement, sa s’entretient et sa se respecte. On n’abandonne jamais une vraie amie, on reste jusqu’au bout, on s’engage à lui rester dévoué et fidèle, on apprend également à pardonner ses petits pêchers et comble de tout cela, on tient paroles. Une vraie amie c’est quelqu’un qui ne vous jugera jamais, qui vous aidera dans vos choix, vous soutiendra dans vos passades maussades et vous tiendra l’épaules dans moments importants de votre vie. Une amie peut connaître le fond de vos pensées ou ce qui vous tracasse en un regard sans avoir besoin de prononcer le moindre mots. Pour Bella, L’amitié se place sur un piédestal et sa meilleure amie à le droit à un rang tout à fait privilégier dans son cœur. En effet celle qu’elle adule au plus profond de son âme, celle pour qui elle pourrait se sacrifier sans une seconde d’hésitation, celle qui est sa plus grande confidente, celle avec qui elle reste complètement elle même et qui la connaît par cœur aussi bien qu’elle même la connaît par cœur -vous suivez ?- celle ci possède la plus belle et la plus élégante des chevelure blonde du campus, des yeux d’un rare bleu océan à vous faire sautez les trois premier boutons de votre chemise –pour ne pas dire pantalon, sa serai vulgaire-, une démarche souple et légère, une allure angélique et une beauté aussi douce que sauvage. Je parle bien évidemment de la splendide Tara L. O'Collins. Fraîche comme une perle de rosé du matin, un corps envié bien trop souvent par toutes les petites minettes de la fac, une silhouette de rêve adulé, une essence elle même si enivrante. Mais tara est bien plus que cela, elle est la meilleure amie de Bella Parker depuis plusieurs printemps, en réalité leurs amitié remonte à si loin dans le passé que moi même je suis perdue dans mes calculs. La jeune femme considère la jolie blonde comme la fille la plus merveilleuse qu’elle n’est jamais rencontré, c’est bien simple les deux étudiantes partagent absolument tout, aussi bien leurs soirées déjantés que leurs heures de confidence au téléphones ou dans un quelconque autre endroits. Bella et Tara sont inséparable, leurs liens sont indestructible et leur amitié forgé en fil doré.

__Aujourd’hui, la jeune Parker avait donné rendez vous à sa meilleure amie dans un petit restaurant fort agréable qui leur changera de la nourriture assez médiocre du campus ou de sandwich à emporter de petits fast-foods. La jeune femme, à la pointe de la mode comme à son habitude avait revêtu une robe Zadig&Voltaire de la nouvelle collection pour la rentrée. Des chaussures à talons qu’une amie lui avait offert et son traditionnelle sac haute couture qu’elle ne quittait jamait ; ayant un goût raffiné, elle examinait la carte des apéritif avec attention. Avec une pointe d’amusement elle leva les yeux vers la pancarte au dessus du comptoir ou prônait en lettres argenté le nom de l’édifice : « Chez Olliver's Dinner ». C’était un endroit plus chic qu’elle ne le pensais, et cela plaisait à la jeune Parker et lui donnait aussi l’impression d’avoir pris cinq ans de plus en une fraction de seconde, ce qui lui fait esquisser un jolie sourire, illuminant son doux visage au teint de pèche. Si La belle avait demandé à son amie Tara de la rejoindre dans cette endroit c’était pour les confidences, cela faisait longtemps que les deux jeunes femmes n’avaient pas discuté longuement de tout et de rien avec sérieux, et surtout pour lui annoncer une grande nouvelle qui chamboule quelque peu sa vie en ce moment. Et puis il fallait qu’elle lui annonce sa relation avec Enzo qui devenait de plus en plus chaotique et inflammable, son bain de cascade avec son frère Jude et surtout elle voulait connaître l’étendue des sentiments de la blondinette envers son autre meilleur ami, Anthony. Bref, il y avait de quoi parler et rire, de quoi connaître de fabuleux moments de complicité et d’entraide, de bons conseils et le tout devait impérativement s’accompagner d’une bonne bouteille. Bella se décida sur un excellent champagne.

Serveur_« - Avez vous choisis mademoiselle ? »
Bella_« - hum.. Oui.. Je prendrais un Robert de Monty s’il vous plait. »

__S’installant avec grâce un peu plus confortablement dans son fauteuil, la jeune fille jeta un bref coup d’œil à l’horloge du restaurant qui annonçait neuf heure pile. Tara ne devrait plus tarder à présent.

Je jetai un dernier regard sur ma montre. Bien évidemment, j'étais en retard. De si peu me dirait-on, mais je l'étais quand même. Alors je tentais à nouveau d'accélérer le rythme. Enfiler mes bas, ainsi que cette modeste jupe en jeans que je m'étais offerte récemment. Un haut un peu plus élégant, légèrement décolleté, car la soirée ne s'arrêterait pas à un simple souper, je le savais. J'avais rendez-vous avec Bella. Et pour ceux qui se posent encore la question, elle n'est autre que ma meilleure amie. Une jeune femme exceptionnelle, la tête sur les épaules et l'oreille attentive à tout problème. Depuis que je la connais, elle a toujours été là pour moi. À maintes reprises elle a démontré que j'avais raison de lui faire confiance. Je faisais de mon mieux pour être aussi présente pour elle qu'elle ne l'était pour moi. Mais à vrai dire, je sentais que ces derniers temps ça n'avait pas été le cas. Je la croisais, lui parlais de temps à autres, rapidement, en coup de vent. Mais je ne savais rien de ce qu'il se passait dans sa vie désormais. Avait-elle fait de nouvelles rencontres, avait-elle du mal à gérer les derniers évènements ? Je n'en savais rien et une bouffée de honte me monta à la gorge, immédiatement apaisée à l'idée que j'allais réparer cette erreur ce soir. Je finis donc de ma préparer et descendis les escaliers rapidement, attrapant ma veste au passage. Cependant, je n'eus pas le temps d'atteindre la porte que l'un des bizuts m'arrêtait déjà. La mine déconfite, il devait avoir fait le mulet pour l'un des membres de la confrérie, ce qui me fit sourire malgré moi. Ces derniers temps n'avaient pas été faciles, alors certains membres avaient eu l'idée de distraire les bizuts en leur donnant un peu plus de corvées. Je n'étais pas sûre que c'était une excellente idée, j'allais probablement y mettre fin bientôt. Mais je devais admettre que ça me permettait de moins me préoccuper des soucis domestiques liés à la maison des Kappa. Après tout, mes nouvelles tâches en tant que présidente n'étaient pas toujours aussi simples qu'on pourrait le penser. Et je me retrouvais vite débordée, entre ça, les cours, et toutes les restrictions mises en place pour la sécurité de la ville. C'était de la folie, tout le monde allait finir par perdre la tête si ça continuait. Malgré tout, le mieux était de garder la tête sur les épaules et de tenter d'avancer au mieux, même si les pertes étaient importantes et on ne peut plus douloureuses. Certains perdaient des amis, d'autres de la famille. J'avais peur à chaque seconde que ce soit à mon tour de vivre cet enfer et je priais pour que mes proches soient épargnés à tout prix. J'essayais de me dire que tout irait bien, qu'ils attraperaient bientôt les coupables, mais c'était se voiler la face que de positiver ainsi. On me disait souvent naïve. Je ne faisais qu'espérer. Était-ce vraiment si crédule ? À n'en pas douter.

Je pris congé du jeune bizut après lui avoir expliqué qu'il ne devait pas s'en faire si la salle de bain ne brillait pas à mon retour, comme le lui avait dit un membre à l'humour douteux, et je montai dans la taxi que j'avais appelé. J'étais déjà trop en retard pour penser y aller à pied. Et je ne voulais pas faire attendre mon amie pus longtemps. C'est ainsi que j'arrivai devant Olliver's Dinner, probablement l'un des meilleurs restaurants de Greenville, si ce n'est le meilleur. J'y allais très rarement, mangeant habituellement sur le pouce, dans la résidence ou dans un quelconque fast-food. Surtout en ce moment où je n'avais pas la tête à prendre mon temps. Je n'avais plus la tête à rien à vrai dire, et ce petit tête-à-tête entre amies ne me ferait que du bien. J'avais probablement besoin de parler à quelqu'un. Et elle aussi. Et finalement on passerait une soirée improbable, malgré le couvre-feu instauré et ces fichues restrictions qui en dérangeaient plus d'un. J'étais consciente que c'était une bonne chose, que cela permettait d'éviter certains incidents. Mais, quelque part, j'étais persuadée que ça ne servirait à rien. J'avais beau tenter de m'en convaincre, je ne pouvais m'empêcher de me dire que ce qui arrivait n'avait rien d'humain, ou de naturel. Un fou ? Un psychopathe ? J'avais abandonné l'idée depuis notre petite expédition en forêt. L'idée d'un malade errant dans la ville m'aurait presque rassurée au point où j'en étais. Pourtant je ne pouvais pas dire que j'étais superstitieuse ou prête à croire à une quelconque histoire de fantôme. Non, les contes de fées et autres légendes m'avaient toujours paru ridicules. Jusqu'à maintenant. J'étais dans cette forêt, j'ai vu, j'ai senti qu'il se passait quelque chose de pas net. Et personne ne voulait s'en convaincre. Les gens se croyaient fous, ou préféraient nier l'évidence. Moi je ne savais plus que penser.

Arrivée dans le restaurant, je marchai d'un pas rapide jusqu'à la table de Bella. Un sourire apparut sur mes lèvres. J'étais heureuse de la revoir. Et pourtant je l'avais croisée la veille. C'est probablement à cela que l'on reconnaît une réelle amitié. On ne se lasse jamais de la personne. Après des années, elle parvient encore à vous surprendre et malgré les coups durs vous êtes toujours aussi proches qu'au début, si ce n'est plus. Je pris donc place en face d'elle, tout sourire.

« J'espère que je t'ai pas trop fait attendre. »

J'allais ajouter autre chose lorsque le serveur arriva, une bouteille de champagne à la main. D'un signe de tête, j'approuvai le choix de on amie tandis que l'on se faisait servir. Puis je remerciai le serveur et levai mon verre.

« Trinquons à notre soirée en amoureuses ma belle. » dis-je, la voix pleine d'ironie.

Et je bus quelques gorgées de l'excellent champagne choisi avant de poser mon regard sur la carte d'un œil distrait. Enfin, je relevai la tête.

« Alors comment tu vas ? On a pas eu l'occasion de parler sérieusement depuis trop longtemps j'ai l'impression. »

» There are many things I would like to say to you but I don't know how. { Tara.
» the midnight of confession; tara.
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» Depart Imminent - PV Tara
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