| | | ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish |  |
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|  Sujet: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish  Jeu 23 Juil 2009 - 3:20 | |
| ••• Azraë Nevada Owen
Sénèque a dit: " C'est quand on n'a plus d'espoir qu'il ne faut désespérer de rien. " Carte d'identité ; Voilà vingt années que je vis dans ce monde, obscur et violent. Je suis née à une date que tout le monde connaît, un certain trente et un Octobre; le jour d'Halloween. Si ce n'est pas fabuleux me diriez vous ! Croyais moi ou non, être née le jour de cette fête stupide na rien de fabuleux, c'est tout le contraire. Imaginez un peu, on vous fait des farces, on vous fait peur, on vient vous enquiquiner et vous rire au nez, tout ça le jour de votre anniversaire. Jour qui est censé être merveilleux pour vous. Est-ce cela que vous appelez de fabuleux ? Enfin passons. Tout commence par un nom. Appellation inédite qui, en quelque sorte, fait de moi ce que je suis. Je ne sais pas si ce nom m’appartient, ou si j’aurais été différente si ce n’était pour lui, si j’aurais su être quelqu’un d’autre avec rien qu’un autre nom. Je m’égare. Azraë Nevada Owen, tel est mon nom. Il ne vous dit sûrement rien, personne ne sais qui je suis, je vis dans l'anonymat total. Mes deux prénoms sont les témoins de l'excentricité de mes parents. Je les trouves étranges mais beau et facile à porter. Ils sont originaux et peu communs certes mais, c'est ce qui fait que je suis unique. A part ça je suis née dans une ville totalement paumée - si je vous jure -, Napanee dans l'Ontario. Vous voyez pas hein ? Tan pis, de toute façon cette ville n'a rien de bien passionnant. Il y pleut presque tout le temps et la température va difficilement au de là des 12 °. Il n'y a que 6000 habitants en tout et pour tout, puis aussi quelques pauvres animaux ici et là, victimes du froid et du vent. Quand je suis arrivée à Greenville je ne croyais pas en la légende car j'ai comme "habitude" de croire que ce que je vois. Or, lorsque ma tante et mon cousin sont morts dans la vague de meurtres j'ai changé d'avis et y est cru. J'ai peur de l'avenir, peur de ce qu'il va advenir de nous, pauvres humains. C'est pour cela qu'on me classe parmis les Crazyness and Freedom From Care. Je ne vois rien d'autre à dire mis à part que je ne suis pas scolarisée et que je vit ma vie comme je le veux. Vivant de diverses petits jobs comme serveuse, garagiste - j'avais deux frères c'était pas facile de jouer à la poupée - et baby-sitter. Si j'avais eu le courage de continuer mes études j'aurais aimé faire partie de la police, il m'aurait fallu un métier a haut risque puisque je ne me sens vivante que lorsque le danger fait monter en moi l'adrénaline. Rassurez vous, je n'est rien de suicidaire, j'aime juste les sensations fortes, c'est d'ailleurs pour cela que lorsque j'ai du temps je vais faire des courses, en voiture, en quad, voir en moto parfois. Je me mets souvent en danger, trop souvent au goût de mes rares ami(e)s mais je n'y peut vraiment rien. Story;••• introduction première ; La lune était haute, méprisante dans son siège sombre, me dévisageant d’un air serein pourtant depuis les cieux. Moi je n’étais qu’ombre, je ne faisais qu’errer dans les rues muettes. J’étais seule, seule, je n’entendais rien que moi. Ma respiration lourde, trop anxieuse surement, mes pas furtifs. Il n’y avait pas de bruit, pas d’odeur, rien qu’une rue, grise, sombre, et parfois une mare de lumière jaune diffusée par les réverbères démodés. J’aimais la nuit, son silence, le bruit de nos pas feutrés, les ténèbres. Dans cette nappe sombre on avait le droit de prendre n’importe quel masque, d’être n’importe qui. Pour une fois, s’échapper de nos monotones vies, du moins, pour ma part. Je me rendis compte de mon immobilité une fois revenue à mes sens, et le froid soudain se mit à me ravager les os. Je me mis en marche, le cœur dur, les yeux vides. Il y avait longtemps que je n'avais pas respirer l'air pur, l'air qui se filtre, qui ne porte aucun poison, aucun cancer. Longtemps encore que je n'étais pas sortie de mon appartement, ô combien déprimant. Deux, voir trois semaines, peut t'être plus, le temps me semblait figé. Je ne comptais plus les heures que je passais devant leurs photos à pleurer leurs disparitions, comme ci ça allait changer quelque chose. Combien de temps ? Telle était la question qui me revenais le plus souvent en tête. Combien de tant la vie allait avoir ce goût âpre ? Combien de temps allai t-il me falloir pour faire le deuil ? Si ce jour-là j'étais restée avec eux peut t'être qui rien de tout cela ne serait arrivé, ou alors peut t'être bien que l'on m'aurait tuer a leurs places, tan pis. De toute manière on meurt tous un jour. De plus, mourir à la place d'une personne qu'on aime et sans doute la manière la plus noble de quitter ce monde, du moins selon moi. Ça faisait mal. C'était atrocement douloureux. Je croyais que ça allait un jour s'arrêter, mais jamais ça ne se produirait. Même avec des tas de médicaments, même en fermant les yeux le plus fort possible. Même en me tuant la santé avec diverses substances. Ça restait. Indéfiniment présent dans mes entrailles ; j'avais envie de vomir, de crier, de mourir. Mais je devais être forte parce que c'était la seule chose que je pouvais faire à présent. Survivre afin de découvrir ce qui se tramait dans cette fichue ville. Mais en y réfléchissant, ma vie n'était qu'un cumul d'échecs, de souffrances et d'abandons. Pourquoi ? Je n'avais pas mérité mon sort alors pourquoi le destin semblait t-il s'acharner sur moi pour me faire tomber ? Etais-je maudite ? Plus rien ne pouvais me surprendre alors il m'étais facile de croire en cette dernière hypothèse. Je me souvenais de tout, de chaque choses que j'avais dut péniblement endurer et surtout d'une, celle de la mort de ma famille.
Dernière édition par Azraë N. Owen le Ven 31 Juil 2009 - 13:26, édité 12 fois |
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 3:20 | |
| ••• flash back one ; incendie ; « En effet, une famille à périt dans les flammes ce matin dans des circonstances qui laissent les autorités perplexes. [...] La maison aurait soudainement prit feu sans qu'on ne sache pourquoi. A l'intérieur; une femme et deux enfants de sexe masculin il n'y a eu qu'une seule rescapée c'est une jeune fille âgée de 16 ans. Il semblerait qu'elle est fuit la maison avant que celle-ci ne prenne feu, ce qui explique sa survie. Aucun témoignages n'a pu être recueillit, il semblerait que la fille soit en état de choc et momentanément inapte à être interrogée. Les autorités avancent l'hypothèse d'un incendie provoqué par accident mais l'hypothèse d'un crime scrupuleux n'est pas écartée. C'est là un drame qui va faire parler de lui, je le sens. C'est un vrai miracle que la petite soit saine sauve cependant, elle aura toujours le souvenir de la perte de sa famille ce qui la fragilisera. On nous a annoncé tout à l'heure qu'elle serait placée chez sa tante, une jeune femme de vingt-six ans, de bonne famille et qui semble être une personne de confiance. Nous adressons toutes nos condoléances au reste de la famille et leurs souhaitont beaucoup de courage pour faire face à ce drame.» « Pose ce journal Azraë, tu te fais du mal pour rien. » « Y si quiero leer ¿eh? »
« - Pas de chance, je comprends l'espagnol ma petite. Pose. »
Résignée je posais le livre de papier sur la table et baissais les yeux. Je sentit que le chagrin tentait de la submerger. Pourtant, aucune goutte transparente ne perla au coin de son oeil. Elle se retenait, pour moi, pour lui, pour elle aussi, pour certainement pas se montrer faible. Certes elle était jeune mais elle veiller sur moi comme il le fallait. S'occuper très bien de moi, comme si j'étais sa propre fille. Lorsqu'elle déposais des baisers sur mon front j'avais l'impression, l'espace de quelques secondes, d'être dans le passé avec ma mère. Tout les soirs avant de m'endormir j'avais droit a un baiser, destiné a me souhaiter bonne nuit. Malheureusement, ce temps était révolu puisqu'elle n'était plus de ce monde. Je n'avais que 16 ans et déjà le malheur s'abattait sur moi, comme ci j'avais fait quelque chose de mal. Tout les soirs c'était la même chose et cela depuis un mois. Je m'allongeais dans mon lit puis finissais en larmes en pensant a eux. Ils me manquais tellement, j'aurais tout donné pour les retrouver. J'avais perdu goût à la vie, plus rien ne semblait m'importer, pas même mes études qui étaient pourtant importantes. Je ne riais plus, mangeais très rarement et avait coupé tout liens avec mes anciennes amies. Non je n'avais goût à rien si ce n'est à pleurer toutes les larmes de mon corps. Ce jour-là, je repoussais de la main l'assiette de cokies et sortait de table, les larmes me montant peu à peu. Le soir même j'eu une discution avec mon cousin alors que j'étais assise sur le rebord de ma fenêtre à observer les étoiles.Je parlais peu et en plus dans une langue autre que l'anglais, c'était une manière pour moi de m'enfermer dans mon monde. Mais, je n'avais pas de chance, ma tante comprenait tout, elle parlait sept langues étant hôtesse de l'air.
« Tu vient au lycée demain, c'est moi qui t'y oblige. »
Je ne répondis pas, interdite. Le, visage camouflé entre mes mains frêles. Je n'irais pas. Pourquoi faire ? Pour qu'on ce moque de moi ? Pour satisfaire la curiosité de certains ? Plutôt mourir que remettre les pieds là-bas. Les possibles réactions des autres me faisais trop peur. De plus, je parlais pas alors a quoi bon. Le visage de mon cousin ce ferma soudain, il haussa un sourcil et enleva les mains qui cachaient mon visage.
« Bon dieu Az' tu exagère ! Secoue toi un peu, tu ne t'en sortira pas en pleurant toute la journée comme une gamine ! Sache que je te trouve lâche, tu te laisse aller. Mais réveille toi ! Tu est Azraë Owen ! La fille la plus forte que je conaisse. Je t'en prit bats toi ! Je sais que tu peut te sortir de là, on est là et on te soutient, ne l'oublie pas. »
Il n'avait pas tord. Je choississais l'option la plus facile, celle qui ne demandais aucun combat, aucun courage. Mais j'avais 16 ans. A mon âge choisir ce qui était le plus facile était courant. Pourtant, ces mots résonnèrent dans ma tête, comme si un milliers de personnes me répétais mille et une fois ses phrases. Il était blessant certes, mais c'était destiné a me sortir de mon "inconscience" alors je lui pardonnais. Je pris le temps de réfléchir, poser le pour te le contre. Si j'acceptais leurs morts je pourrais recommencer à vivre a peu près normalement alors que si je ne le faisais pas j'étais certaine de m'enfoncer encore plus profond de mon mal être. C'était dur, très dur mais, je pris sur moi, ravalant avec rage mes larmes puis je serrais sa main dans la mienne comme un signe d'accord. Un sourire fendit sa frimousse enfantine et pour la première fois depuis une semaine je fis de même, m'étant comme réveillé d'un profond sommeil. « D'accord, tu as gagné mais sache que ça ne sera pas facile, ne t'attend pas à un miracle. » « Az ! Que tu parle c'est déjà un miracle ! Content de te retrouver cousine. »
C'est ainsi que le lendemain matin mon réveil sonna, me tirant de mon sommeil tandis que je cherchais à tâtons le bouton pour l'éteindre. Encore légèrement endormie j'ouvrais peu à peu les yeux, la lumière m'aveuglant sur le coup. Je ne pris pas la peine de regarder l'heure, j'étais encore trop ailleurs pour le faire. Rassemblant le peu de volonté que j'étais alors capable de mobiliser je me redressais péniblement, ébouriffant mes cheveux dans tous les sens. Bon dieu que j'avais bien dormi, c'était la première fois depuis l'incendie que je dormais aussi bien. Aucun cauchemar n'avais agité mon sommeil, non au contraire. Je me souvenais d'un rêve, un beau rêve, avec une nouvelle vie pour tout recommencer. Pensant que l'heure était venue je me levais brutalement de mon lit. Erreur ! J'avais été trop optimiste. Je tanguais un moment sur la paume de mes pieds puis me rattrapais de justesse à la fenêtre. Puis, je tournais la tête vers le réveil, enfin, " 6h05". Je devais très certainement être la seule debout mais au moins j'avais du temps. C'est avec un plaisir non feint que je m'étirais délicatement en remettant mes cheveux en arrière. Un bâillement vient ensuite clore mon réveil tandis que j'observais par la fenêtre l'éclat du soleil. Une bonne journée s'annonçait ce qui était très rare à Napanee. Néanmoins je doutais que la température soit haute. J'avais comme l'impression de me lever pour mon premier jour, comme si c'était la première fois que j'allais au lycée. Tout concordait; ma bonne humeur, le beau temps et cette sensation d'excitation intense. Je me sentais bien et en pleine forme, comme si les paroles de mon cousin la veille, avait eu pour effet de me booster au maximum. C'est pleine d'entrain que je gagner la chambre de celui-ci. Je ne pris pas la peine de toquer et entrais vivement, faisant claquer la porte au passage. Le bruit le réveilla et je le vit sursauter, le pauvre, j'avais du lui flanquer une sacrée frousse mais j'étais telle exciter que je n'y pensais pas. C'était fou comme j'avais changé en l'espace d'une seule soirée, je me surprenais moi-même. Moi qui pensais ne jamais pouvoir m'en remettre, j'étais sur la bonne voie. Il avait su trouver les mots juste et pour ça je le remercier, il m'avais redonner espoir et m'avais fait comprendre que ce n'était pas en pleurant sur mon sort que je retrouverais goût à la vie. Je me jetais sur son lit, l'écrasant de mon petit poids plume.
« Merde, mais que-ce-que tu fabrique? » « Tu ma dis de me bougé hier, c'est ce que je fais ! » « Je vois. Tu te drogue pas au moins? » « Euh... non... Bien sûr que non pourquoi? » « Bah, on dirais que tu a pris un excitant. Tu est...vraiment en forme. »
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que j'avais déjà dévalé les escaliers à toute allure. Comme chaque personne qui se lève le matin pour aller au travail je me préparais vite fait, croquant au passage dans un croisant que je laissais sur la table. Nous nous y rendîmes a pieds, ce n'était pas vraiment loin de chez nous et de plus je préférais ça que réveiller ma tante pour qu'elle nous y mène en voiture. Quand nous passâmes la route qui nous séparait de l'établissement scolaire, une boule se forma dans mon ventre et ma respiration en fut coupée. Il y avait trop de monde, trop de personnes qui me regardait comme si j'étais un OVNI ou une bête de cirque. L'excitation fit place à l'appréhension et immédiatement je regrettais d'être venu ici. Je voulus m'enfuir mais, mon cousin m'en dissuada en me montrant du menton le directeur. Je déglutis péniblement ou aurait dit que j'étais prise au piège dans un cauchemar terrifiant, un de ceux ou l'on est forcé de fuir et de courir jusqu'à ce que nos poumons nous donnent l'impression d'exploser. Mes jambes paraissaient s'engourdir au fur et à mesure que nous nous frayâmes un chemin entre les gens. Ils me semblaient tous froids, comme si quelque chose de terrible venait de leurs arrivait. Certains m'ignoraient, d'autre encore me regardait avec un air remplit de méchanceté, je ne comprenais pas. Je n'avais rien fait de mal, certes j'avais déserter le lycée un moment mais je n'avais rien fait, du moins pas a ma connaissance. Mon cousin leur avait t-il raconter de mauvaises choses sur mon compte ? Je levais un sourcil interrogateur vers lui et il rit. Ou il avait un grain ou j'étais devenu complètement paranoïaque. Soudain je sentis une main prendre la mienne avec une infinie douceur. Ce geste me rassura, je remontais le long du bras de la personne puis m'attardais sur les traits de son visage; Danaé, ma meilleure amie avant l'accident. Elle me souriait dévoilant une rangée de dents blanches parfaites. Elle ne dit rien, se contenta d'avancer avec nous à travers la foule. Lorsque je vis les portes mon coeur ce mit a tambouriner violemment dans ma poitrine. Sur l'instant rien ne sembla me détendre, pas le regard bienveillant de mon cousin, ni même le sourire confiant de mon amie. Je vivais un cauchemar absolu. Et puis c'est là que je l'est vu pour la toute première fois; l'Ange. Il était d'une telle beauté que même un artiste se serait mordu les doigts de ne pas pouvoir peindre voir dessiner, pareille perfection. Hallucination du a mon imagination trop débordante ? Vrai personne ? Rêve ? Je me pinçais discrètement pour vérifier, non je ne rêvais pas. Il était bien là, marchant d'un pas nonchalant vers moi. Enfin, vers nous. Brusquement on me remena à la réalité en me tapant sur l'épaule.
« Si tu savais comme c'est bon de te revoir Azraë, tu ma beaucoup manqué tu sais. Je me sentais toute seule, y avais plus personne pour m'envoyer des ballons sur la tête en volley, c'était déprimant. Tu es de retour maintenant, ça va mieux? »
Mon cousin lui lança un regard noir comme pour lui faire prendre conscience de sa connerie. Je soupirais, après tout elle avait le droit de demander, elle devait s'être inquiéter, plus de nouvelles du jour au lendemain. Je donnais un coup de coude dans les côtes de mon protecteur et souriais à mon amie. Pas besoin de parler, elle avait du parfaitement comprendre que mon état c'était un peu amélioré, au moins j'étais sortie de ma coquille.
« Laisse la tranquille tu veut, elle vient juste de refaire surface. »
Refaire surface. Je n'aurais pas utilisé ce mot mais, plutôt celui-ici ; "hébétude". J'avais comme l'impression de me réveiller après des mois de sommeil, comme si j'avais été morte les temps suivants leurs morts. Danaé serra ma main dans la sienne et étouffa un rire. Sa bonne humeur ne me surpris pas, elle avait toujours été comme ça. Toujours joyeuse quoiqu'il arrive. Je l'admirais, j'admirais sa force que moi je ne possédais pas. Son courage aussi, faire face aux problèmes à notre âge c'était dur mais, elle s'en fichait, trouvait toujours un moyen de sortir la tête de l'eau comme on dit. La matinée se passa sans encombre, j'étais avec Danaé en espagnol, en anglais et en chimie. Le reste j'étais avec mon cousin. Ils ne m'avaient pas parlé, m'avaient laissé me remettre dans le bain bien que la curiosité de ma meilleure amie lui démangea la langue. Elle s'était tenue et s'était contenté de me sourire, de me regarder et parfois de me faire rire avec telle ou telle remarque sur les professeurs. La table où je déjeunais habituellement fut pleine lorsque je poussais la porte de la cantine. Y étaient installées plus de 5 personnes, dont Naïs Rogers, celle qui fut mon ennemie avant leurs morts. Je ne me souvenais plus si c'était habituel ou si c'était une première qu'elle mange avec nous alors je ne pipais mot. Tous les regards se posèrent sur moi lorsque j'eu tiré ma chaise. Ils me dévisageaient, soupçonneux et curieux. A prèsent j'étais convaincue d'être un OVNI, ils me regardaient les yeux écarquillés, surpris.
Dernière édition par Azraë N. Owen le Dim 26 Juil 2009 - 0:46, édité 13 fois |
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 3:20 | |
| « Dite moi que je rêve ! Non de dieu, Josh c'est bien ta cousine ?! »
« C'est bien elle Naïs. Mais, je te prirai de la laisser tranquille, ça n'est pas facile pour elle. »
Je les écoutaient parlé. Bientôt une dispute éclata entre eux et elle quitta la table, énervée par mon soudain retour. Puis, il réapparut, l'ange de ce matin. Il me sourit cette fois et je fis de même. Je me demandais qui il était, si cela faisait longtemps qu'il était au lycée car je ne me souvenais pas l'avoir déja vu. Ma "contemplation" n'échappa nullement a mon amie. Elle me donna un coup de coude et passa sa main devant mon visage en pouffant. Je me resaissit alors qu'il aller s'assoir a une table proche de la notre, seul. Comment un être aussi beau pouvait t-il être seul ? C'était révoltant, j'aurais aimé aller le voir mais je n'avais pas assez de cran pour le faire. « Hey ! Oh Az', tu te réveille bordel?! » « Pardon. Je...Rien. Dit euh, tu sais...fin.. C'est qui lui? » « C'est Aidan Hollander. Il est nouveau et...vraiment canon ! » « Ah d'accord. » « Il va toujours a ce bar là euh...le Mystic. On pourrait y aller un soir et tu pourrais tenter ta chance, t'en dit quoi? » « Hors de question ! Il ne m'intéresse même pas ! Tes complètement folle ! » « Tu ment très mal. Demain c'est Samedi, on y va. Et je te laisse pas le choix. Au moins tu t'amusera. »
Mes protestations furent vaines et elle me menaça de ne plus être mon amie si je ne venais pas. J'en avais aucune envie mais elle ne me laissais vraiment pas le choix. La connaissant elle allait me harceler tout le restant de la journée pour que j'y aille. ••• introduction deuxiéme ; Je reviens à la réalité. Elle avait eu raison de me traîner dans ce fichu bar, car par la suite Aidan et moi on est devenu ami puis meilleurs amis, jusqu'à ce qu'on sortent ensemble. Ce fut pour moi un renouveau extraordinaire, deux ans de pur bonheur. Jamais je n'avais été aussi heureuse, il était mon soleil, ma vie, mon tout. Je nous croyais invincible mais, malheureusement j'avais tort. La drogue a commencé à entré dans ma vie, je voulais faire comme les autres, m'amuser. Lui ne l4a pas supporter, me voir me détruire la blesser et un jour il m'a annoncé le pire; qu'il me quittais. Je me souviens m'être enfoncé à nouveau, aucune aide ma fait sortir de ce mauvais pas. Le pire est arrivé, j'ai fait une overdose et j'ai faillit y rester. Ma tante ainsi que mon cousin ne me l'ont pas pardonné, encore aujourd'hui je vis avec ça. Je les est détruits eux aussi, à petit feu. Plus rien ne semblait compter pour moi, j'étais définitivement perdue au plus profond de l'enfer. J'ai enchaîné avec l'alcool, écumant les boites de nuits et couchant à droite à gauche. Puis, lorsque j'eu l'âge j'ai arrêté le lycée, je n'avais plus le courage de continuer puis de toute façon mes résultats étaient loin d'être convaincant. A cette période je croyais de nouveau ne plus m'en sortir, je m'en voulais car je faisais du mal aux gens qui m'aimais. J'étais faible et je me haïssais. Pourtant, malgré tout cela, une personne est resté avec moi pour me soutenir, celle qui fut ma meilleur amie depuis l'enfance; Danaé. Elle ne m'a pas laissé tomber, a chercher a comprendre pourquoi j'étais devenu ainsi et ma prise chez elle lorsque j'ai déménagé de chez ma tante. D'ailleurs celle-ci est partit vivre à Greenville, elle ne voulais plus entendre parler de moi, ne voulais plus jamais me revoir. J'ai vécu comme j'ai pu, jusqu'à ce jour fatidique.   ••• flash back two ; Ma tête... Je poussais un gémissement rauque en me tournant. Il flottait dans l'air cette habituelle odeur de tabac froid, faisant se pincer le nez au quelques rares visiteurs. Je ne sentais que trop bien les effluves sanguines qui tambourinaient mes tempes avec violence; me rappelant les évènements de la veille avec acharnement. Derrière mes paupières closes; la soirée défilait lentement, embrumant mes sens de sensations plus déroutantes les unes que les autres. Pourtant, j'étais toujours incapable de me souvenir de la manière dont j'avais atterri dans ce lit. Du mois, je supposais que s'en était bien un. La lumière, agressive, qui courait sur ma peau m'interdisait d'ouvrir les yeux tandis que je cherchais, à tâtons, quelque chose qui m'aurait conforté dans mon idée première; celle que j'étais bien dans ce que je m'appliquais à appeler chez moi ou du moins chez elle. Rassambant le peu de volonté que j'étais alors capable de mobiliser je posais ma main sur la table de nuit, y cherchant a taons mon téléphone portable. Je fus obligé de me frapper pour ouvrir les yeux. La lumière m'aveugla un instant, le temps que je m'habitue peu à peu. Puis, finalement je soulevais faiblement le clapet de mon portable, scrutant l'écran digital en fronçant les sourcils.
8H00; la journée débutait à peine. C'est en voulant me redresser que je pris conscience du fait que je n'étais pas seule dans mon lit. Enfaîte je n'avais pas réalisé qu'une jambe était sur la mienne et qu'une paires de bras m'entourais, me retenant prisonnière. Cependant, je fus soulagé de voir qu'il ne s'agissais que de Danaé. Elle me fixais et je fus surprise de ne pas m'être rendu compte qu'elle était déjà réveillée. Portant ma main a mon front je soupirais en enlevais sa jambe de la mienne, me libérant de son étreinte. « Rassure moi, on a pas...? »« Non, je ne pense pas étant donné que je suis encore toute habillée. Bon, faut se lever, tu veut quelque chose? » « Non, on a rien fait, si ça avait était le cas ça m'aurait traumatisé en je m'en souviendrais. Humph, apporte moi simplement un cachet, ma tête va exploser. » « Beurk, je m'en souviendrais aussi. Je me souviens de pas grand chose mais a mon avis ont s'est pris une cuite monumentale et je ne sais par quel miracle ont est rentrées sans encombre ou presque. Non parce que y a la lampe qui est cassée, tas pas de bleus? J'aurais pu te frapper avec...ou l'inverse. » « Aucun bleus, bon tu va me le chercher mon cachet où non? » « Va y toi même en fin de compte. »
Je laissais courir, pas tellement décidé a me disputé ni même a l'envoyé boulé comme je savais si bien le faire. J'allais simplement le chercher moi-même non sans lui lancé un regard assassin. Des effluves de restes de pizza me piquèrent les narines alors qu'un simple Donuts acheté la veille en vrac me faisais de l'œil. J'aurais voulu croquer dedans mais la couleur qu'il avait m'en dissuada rapidement. N'y avait t-il donc rien a ce mettre sous la dents ici ? Mon ventre gargouilla bruyamment et me fit mal, une manière de dire: " Hé oh putain j'ai faim t'attends quoi ! ". Le frigo avait peut t'être mieux a me proposé ? Je l'ouvrais. Fromage, œuf, tomate, noix de coco et euh... une chose gélatineuse pas vraiment attrayante. La sonnerie de mon portable interrompit ma recherche, je me demandais qui pouvais bien m'appeler, surtout a cette heure. Je ne reconnus pas la voix grave au bout du fil, mais je su immédiatement que la personne qui m'appelais ne le faisais pas pour m'annoncer une bonne nouvelle. « Allo?... Oui c'est bien moi... Non, pas depuis que j'ai décidé de voler de mes propres ailes, il y a un problème? ... Euh non... pourquoi en aurais t-elle?... Attendez vous essayez de me dire quoi là? ... Je m'énerve pas, j'aime pas poiroter pendant deux heures, puis je vous connais pas qui me dit que vous me voulez pas du mal hein?! ... Dans son portable, je pensais qu'elle voulais plus me voir, vous êtes sur que vous vous êtes pas trompé? ... Je vois... Quoi ? Excusez moi j'ai pas entendu.... » Bam. Je lâchais brutalement le combiné. La nouvelle venée de tomber comme un couperet, me laissant perplexe. Je n'arrivais pas a réalisé, du moins pas tout de suite. J'avais la bouche grande ouverte comme si je voulais dire quelque chose mais aucun mots n'en sortit. Dans ma tête, je me remémorais la dernière phrase de mon précédent interlocuteur en boucle, n'arrivant pas a y croire. Votre tante, votre cousin... Ils sont morts, je suis désolé. Le sol se rapprocha dangereusement de moi, jusqu'à ce que je sente ma tête cogné violemment contre le parquet. Le bruit alerta ma colocataire qui s'empressa d'abandonner son activité pour venir vers moi. Je sentis ses bras m'entourer dans une étreinte protectrice puis une de ses mains fines et froides caresser mon front avec douceur, cela n'apaisa pourtant pas ma douleur. Elle me mangeait de l'intérieur, me brûlais comme un feu ardent et n'avais de cesse de vouloir me m'avaler entièrement. J'entendis la voix de mon amie, elle était lointaine comme à des kilomètres de moi. « Az?! Az, bordel de... Mais réponds moi ! Az?! Que s'est t-il passé?! » Ce n'est qu'après coup que je me rendais compte que je ne cessais de dire "Ils sont morts". Ils étaient morts. Les seuls membres de ma famille qui me restaient n'étaient plus de ce monde. Une histoire de meurtres selon l'homme qui m'avais parlé un peu plus tôt. Qui aurais pu faire une chose pareille? Ils n'avaient pas de problèmes, étaient très gentils alors pourquoi eux? Si seulement j'avais été là...
***
Quatres petits points de sutures furent nécessaire. Je m'étais simplement entaillé la tête en tombant mais apparemment rien de bien grave, du moins pas physiquement. Mentalement j'allais vraiment mal, tous partait en vrille dans mon crane, ne me laissant pas une seule seconde de répits. La nouvelle m'avais littéralement tué, comme un couteau qu'on enfonce dans le coeur. Mon chagrin ne ce lisait pourtant pas sur mon visage, j'étais trop fière pour osé verser une seule petite larme. De toute façon, pleurer leurs disparitions ne me mènerais a rien. J'avais appris à être forte à surmonter les coups durs, même si leurs morts m'anéantissais la vie ne s'arrêter pas pour autant. Rester ici dans cet endroit puant la mort ne m'aidais pas, au contraire, ça m'enfonçait dans ma torpeur. J'étais comme inconsciente, ne réalisant pas vraiment ce qu'il se passait autour de moi. J'avais juste conscience d'être assise sur un lit dans une chambre d'un blanc livide limite blafard. Plus loin, près de l'oreiller était assise ma colocataire. L'inquiétude se lisait dans ses yeux pâles et son teint pourtant bronzé avait viré au blanc, la tristesse semblant glacé les traits parfaits de son visage tel une statue. Celle-ci me tenais la main, la serrant dans l'espoir de me consoler et de m'aider. « Euh... Est-ce-que ça va? » Question idiote. Bien sûr que j'allais bien, j'avais envie de danser la danse des canards là. C'était ironique. Non je n'allais pas bien. Elle n'était pas bête, elle avait simplement tenté un truc pour me faire sortir de ma prison de glace, voilà tout. Je laissais courir, n'ayant pas le coeur de l'envoyer bouler comme je le faisais si bien. Ravalant avec violence mes larmes et mon orgueil je me rapprochais d'elle. Me blottissant dans ses bras a la recherche de réconfort. Elle ne réagit pas tout de suite, surprise, mais finit par m'étreindre tout en frottant mon dos de la main. « Ca va aller. Je te le promets. » Je restais ainsi un moment, luttant contre les larmes et la fatigue. Jusqu'à ce qu'un homme pénétre dans la chambre. « Vous m'avez eu au téléphone tout à l'heure. Je...je suis désolé... » Aucune réponse. Cependant je quittais avec regret les bras rassurant de mon amie pour faire face a ce intru. « Que voulez vous? » Ma voix froide et rauque me surprit. J'avais l'impression d'être enroué ou bien d'avoir but des litres d'eau de mer. « Parler. Je ne vais pas tourner autour du sujet longtemps. Votre tante et votre cousin souhaitaient être enterrés à Greenville. Je me demandais simplement si vous vouliez y aller...pour les obsèques au moins.» « Oui. Je les est abandonné, c'est la seule chose que je puisse faire. J'y resterais même, j'ai besoin de renouveau et je dois savoir qui les a tués. » « Mais Azraë...tu...tu va pas m'abandonné, pas maintenant, j'ai aussi besoin de toi.... » Je n'avais pas penser à ça. Pour moi ma collocation avec elle n'avais était qu'une passade, de ce fait je n'avais jamais envisagé la possibilité de rester avec elle plus longtemps. Chacune avaient sa vie. Je savais qu'elle aussi avait quelque problème mais, ils me semblaient moins graves et moins préoccupant que les miens. J'avouais être égoïste mais, tan pis, je leur devaient bien un dernier hommage. Peut t'être avais-je accepter la proposition pour moins culpabiliser, que sais-je. Au risque de la blesser je retirais ma main de la sienne et tachais de prendre un air froid convaincant. Car j'étais certaine qu'elle me suivrais une fois que j'aurais le dos tourné, or je ne le voulais pas, qui pouvait savoir ce qui se tramait dans les rues de Greenville? Personne, c'était dangereux donc hors de question qu'elle m'y suive. « Ecoute. Je dois aller là-bas, il y a sûrement pleins de trucs à faire. Ils sont morts, t'imagine pas la paperasse qu'il va y avoir. En plus, si quelqu'un les a tué, cette personne voudra sûrement me trouver. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose. » J'étais sincère mais c'était aussi un très bon prétexte. « Tu veux pas que je vienne? » « Non. » « Ah... Dans ce cas ça change tout... » La tristesse qui put ce lire dans ses yeux me noua l'estomac. L'envie de la réconforter me traversa l'esprit mais je me ravisais, c'était la meilleur chose à faire que de nous séparés. « Je passerais prendre mes affaires tout à 'heure. » Alors que je sortais de la pièce, l'homme qui nous avaient observé lui parla. « Je... » Elle lui coupa la parole. « Je sais, vous êtes désolé. »
••• introduction troisième ; Voilà comment j'avais atterrit ici. Après plusieurs jours de deuil j'avais entreprit de recommencer a vivre. Plus tard j'ai entendu parler de la légende, de la forêt et de ce qui était censé s'y cacher. Je n'est pas peur pourtant. Enfin, pas vraiment. J'ai seulement peur de perdre es gens qui comptent pour moi. Je n'est pas revue Danaé depuis près de 1 ans maintenant, elle me manque, un peu. Je ne sais pas ce qu'elle est devenu, si elle va bien, mais je ne m'inquiète pas pour elle. Je crois en la légende justement, si tous ces gens sont morts a mon avis ce ne sont pas des coïncidences. Un meurtrier se cache la dessous, je compte laisser faire la police tout en espérant qu'un jour tout redeviendra tranquille ici. Après tout, malgré les rumeurs sombres qui courent sur elle, cette ville n'est pas ci laide et horrible que cela.
Dernière édition par Azraë N. Owen le Ven 31 Juil 2009 - 13:25, édité 15 fois |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 3:28 | |
| Bienvenuuue =) Trop belle  Anne Marie Van Djik est prise =s J'aime bien ton avatar et R. Huntington Whiteley  T'as plus d'avas sur cette dernière néanmoins, à toi de voir |
| | | | Enzo G. Stevenson
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 10:26 | |
| Anne Marie Van Djik pour moi à 100 % Bienvenue et bonne chance! |
| | | | October Elwood
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 11:44 | |
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| | | | Midnight Matthews
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 11:52 | |
| Megan Ewing, à 200%  je t'offre tout l'or du monde si tu la prends sisi, promis. non mais sérieusement, comme tu le dis elle est bien trop peu prise, ça serait la troisième fois seulement que je la verrais sur un forum (y'a une fois qui compte pas puisque c'était moi-même ><). donc moi je dis MEGAN  | |
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 13:47 | |
| C'est bien ce que je pensais on la voit pas asser Meg'. Bon comme j'prends toujours RosieHW je vais changer et prendre Ewing - et laisser AMVD a quelqu'un d'autre ou j'lutiliserais pour un scéna' je sais pas -, y a vraiment pas beaucoup de truc sur elle mais bon tan pis - même si j'suis une merdouille ne graph je vais me depatouiller comme je peut -, je la kiffouille. Bref, si tu va bien j'aurais finit Dimanche. Merci de vos avis, z'êtes chou  |
| | | | Midnight Matthews
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 14:37 | |
| youpi  bienvenue au fait, je manque à tous mes devoirs... | |
| | | | October Elwood
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 14:47 | |
| Bah alors très bon choix!!!!! Je file te réserver la belle Megan!! Et bon courage pour la fifiche!!! | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 14:55 | |
| Bienvenue!! Je connaissais pas Megan, mais elle est très jolie |
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Jeu 23 Juil 2009 - 15:18 | |
| Bienvenue. |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Ven 24 Juil 2009 - 1:52 | |
| Merci a vous. J'aurais une question, je peut faire mon perso' bi' ? Non parce que j'aime avoir des perso' originaux, se serait la première fois que je joue une bi' m'enfin. Je demanque parce que sur certains forums c'est presque interdit donc voilà. * va se sentir comme le vilain petit canard, toute seule  |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Ven 24 Juil 2009 - 2:38 | |
| C'est carrément free poulette, t'inquiète pas Han j'vois trop une petite expérience entre Shalee et Azraë...  |
| | | | Enzo G. Stevenson
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Ven 24 Juil 2009 - 18:43 | |
| Merci Bi' c'est parfait, pas gay, y a trop de beau monsieur sur ce fo' x) Puis si tu veut Shalymar je dis pas non hein  |
| | | | Tara L. O'Collins
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Lun 27 Juil 2009 - 14:08 | |
| Haaan quel trop beau prénom. Et très bel avatar aussi, j'l'avais jamais vue elle <3
Bref, bienvenue =D | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Lun 27 Juil 2009 - 21:50 | |
| Merchee ^^
Au passage, il me faut deux jours de plus. * racontagedelife:ON; Je m'occupe d'un chiot de 1 mois rejeté par sa mère. racontagedelife:OFF; * |
| | | | October Elwood
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Lun 27 Juil 2009 - 21:52 | |
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Lun 27 Juil 2009 - 22:02 | |
| Bienvenue  |
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| | | | | Lust Holloway
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Ven 31 Juil 2009 - 14:45 | |
| Bienvenue ! quelle magnifique fiche  je vois qu'on a les mêmes passions, on va pouvoir faire des courses de bolide toi et moi  | |
| | | | October Elwood
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| | Sujet: Re: ( azraë ; owen ) « nothing's gonna change my world. » finish Ven 31 Juil 2009 - 15:11 | |
| Je viens de finir de lire ta fiche. Tout est parfait, cependant attention à quelques fautes de conjugaison. Mais sinon, j'aime beaucoup ta façon d'écrire!!! Je te VALIDE! | |
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