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 Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo]

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Bella Parker
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MessageSujet: Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo]   Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Icon_minitimeLun 20 Avr 2009 - 23:45

« Down, Down to Hell, and say I sent the thiter »

Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Ic_pattinson05 & Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Oliviawild2



The truth is hiding in your eyes,
And it's hanging on your tongue,
Just boiling in my blood,
But you think that i cant see.
What kind of man that you are?
If your man at all,
I will figure this one out.
On my own...



__On avance tête baissée, sans prendre conscience des risques et des conséquences, on avance sans réfléchir à rien. On se laisse entraîner par les événements qui souvent nous dépassent. On rêve toujours d'une vie meilleure quelque part on ne sait où. On se rattache parfois à une personne plus qu'à une autre, aveuglé par des sentiments, une personne qui nous fait perdre le sens des réalités mais qui finalement n'en vaut pas toujours la peine. On ne prend que rarement les bonnes décisions et lorsque l'on en prend conscience il est souvent trop tard. En fait, je pense qu’on a constamment cette envie de rendre l'impossible possible. La nature humaine est parfois si étrange, j’irais même jusqu’à autodestructrice. Exagéré ? Pas tellement si on analyse bien tout les faits, on prend plaisir à s’attacher aux personnes qui nous repoussent, on tente le diable en sachant pertinemment que cela est vouée à l’échec, on se prend à espérer ce qui nous est décemment interdit, on lutte pour une cause irrationnel ou déjà proscrit. On se trouve sans arrêt devant un mur et pourtant au lieu de prendre un détour on se plait à s’enfoncer dedans, y laissant corps et âme.

__Bella Parker, jeune femme populaire et très prisée dans toute la fac de Greenville venait tout juste de pénétrer dans la seul et unique boite de nuit de la ville, Euphoria. Le vigile s’approcha d’elle et la toisa de haut en bas avant de lui ouvrir la porte sans même lui demander sa carte d’identité ou tout autre papier la concernant. La jeune femme faisait partie de ceux qu’on appelle « les habitués », nul besoin d’explication pour rentrer, elle était sur la liste, VIP comme on dit de nos jours et cela ressemblait d’ailleurs à notre Bella, autrement dit, être classe et supérieure en toute circonstance, du moins là on parle de la Bella froide et hautaine, celle qui apparaît lorsqu’elle veux créer cette barrière entre elle et le monde réel, ce miroir emplit d’illusion qui lui permet de cacher es peines en montrant un visage différent aux autres. Celui d’une jeune déjantée et déchaînée. Ce soir, la nuit risquait d’être longue et mouvementé, Bella avait vécut beaucoup trop d’évènement perturbant ces derniers jours, l’escapade au cœur de la forêt s’en suivant de deux décès aux causes encore inexpliqués, sa rencontre à la lisière des bois avec son ancien amant et amour Enzo qui lui avait sauvé la vie avant qu’elle ne s’enfuit en courant refusant d’affronter la réalité et la profondeur de ses sentiments pas encore totalement bafoués. Tout cela faisait que ce soir, elle voulait s’évader, entrer dans une effervescence capable de la faire grimper aux étoiles, elle voulait s'envoler dans l'espace ou bien s'enfoncer dans l'oubli.

__Vêtue d’une robe légère d’un rouge flamboyant éclatant possédant un décolleté plongeant et étant très serré au niveau des hanches, retombant avec souplesse au dessus de ses genoux. Elle était perchée sur de hauts talons aiguilles assortis et portait un sac à main vintage du bout de ses doigts manucurés. Ses cheveux étaient lâchés dans son dos lui donnant une allure de femme fatale et ses yeux charbonnier de noir faisait ressortir des pupilles émeraudes tel des étoiles boréales. C’est donc dans une démarche singulière et un brin trop égocentrique qu’elle traversa la piste de danse pour aller se jauger au bar. Une fois assise sur un des tabouret haut du club, elle croisa ses longues et fines jambes, faisant tourner quelques têtes masculines devant ce geste quelque peu provocateur, puis elle saisit la carte des cocktails avant de la déposer machinalement optant pour une solution beaucoup plus simple, le retour aux sources le plus efficace.



Bella_« - La vie est un enfer, je prend une vodka »

Barman_« - Mademoiselle vous savez le remède le plus efficace pour le chagrin est sans doute le soutient d’un proche .. mais certainement pas les soirées alcoolisés où.. »

Bella_« - Ho.. monsieur le Barman fait de la philosophie.. je pensais que vous n’étiez bon qu’a servir des verres.. mais pardonnez moi j’ai du me tromper.. puisque vous voulez parler haute littérature sachez qu’Henri Beyle dit Stendhal disais qu’on ne console pas des chagrins, on s’en distrait. Alors si vous ne voulez pas que je fasse un scandale servez moi ma boisson tout de suite ! Ou non mieux que ça .. vous allez me l'offrir. »

Barman_« - je.. je vous l’apporte tout de suite mademoiselle. »



__Ainsi arriva le premier verre de vodka, suivit d’une sensation de chaleur aigu, puis un deuxième verre, suivit d’une euphorie presque jouissante, un troisième lui arracha un éclat de rire saccadé, puis un quatrième la propulsa vers un univers complètement différent du notre, laissant un goût cruellement amer. Le crépitement et la lumière rouge des projecteurs la faisait planer, la musique trop forte lui offrait une sensation d’exaltation intense. L'excitation , l'osmose , l'extase . Bella sombrait dans une folie dévastatrice, elle rêvassez, amorphe, jonchant sur un canapé de la boite ou elle s’était dirigé après le bar. Elle était submergée par ses idéaux, succession d’idées banales et inutiles pour une fille ma foi bien futile. Fermez les yeux, pour ne pas perdre le contrôle, respirer à nouveau, fermez les yeux. Visions euphoriques , utopiques et psychotiques d'une gamine naïvement lunatique. Une clope tiré d’un sac à main, Bella cala la cigarette entre ses lèvres rosés avant de s’apercevoir qu’elle n’avait pas de briquet. Poussant un léger soupir, elle se tourna vers le premier homme à sa portée avant de se planter devant lui, la poitrine en avant et les cils battants. Ce n’étais plus Bella, mais une jeune fille délurée qui avait perdue tous repère, en clair, l’enchaînements de ses derniers évènements, la révoltant et la terrorisant en même temps l’avait poussé au bord du gouffre, elle craquait totalement se métamorphosant dangereux en une fille qui n’étais pas le reflet de son âme, qui n’étais pas une Parker. Posant ses mains sur les épaules du jeune inconnu que l’on nommera X, elle l’aguicha d’une voix tendre et d’un sourire allumeur avant de lui murmurer au creux de l’oreille.


Bella_« - Tu aurais du feu chéri ? »

X_« - Bien sur poupée .. on pourrai aller dans ma voiture après si tu veux, c’est une porche. »

Bella_« - Je veux que tu saches, si je te baise c’est uniquement pour l’oublier. »


__Et Le temps s'étire indéfiniment. L'éternité nous englobe dans son sein. Comment la percevoir, la définir ou la saisir, ne serait-ce qu'un instant ? -Chacun est-il maître de son destin ou sommes-nous les jouets de la fatalité ?
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Enzo G. Stevenson
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Enzo G. Stevenson


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MessageSujet: Re: Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo]   Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 21:55

    « … c’est uniquement pour l’oublier. »
    Enzo Gillian Stevenson tomba nez à nez face à cette charmante discussion, alors qu’il avait tout fait pour l’éviter tout au long de cette soirée, cette superbe Bella Parker, cette splendide ancienne petite amie, cette fille … Sa respiration se coupa, il n’avait pas su regarder où il avait mit les pieds, zigzagant entre la foule, de frayant un chemin. Sur chaque route il y a pourtant des embuches, des obstacles à franchir avec force et franchise, à surmonter tel un homme, un vrai, ce qu’il n’avait jamais su être.
    Son cœur s’accélérait, battait à une allure si vive que son corps même en vibra.
    Elle n’était pas en face de n’importe qui, qui plus est. Enzo le connaissait, on pouvait dire qu’ils chassaient tous les deux sur le même terrain à intervalle régulier. Le Midnight, une cave remplie de gibier à savourer. C’était bien connu, les gazelles s’y retrouvaient par millier. Quoi qu’Enzo aurait du s’abstenir à présent, la chasse devait être terminée … Ce n’était pas en ce but qu’il s’était rendu ici, non, c’était juste l’occasion de passer une soirée entre ami. Sauf quand on aperçoit la plus belle des perles trappés d’un rouge vif, et d’une classe presque excessive. L’observer tout au long de la soirée avait été sa seule occupation, quoi que l’éviter avait été son but premier. Ne pas être tenter n’était-elle pas l’idée ?
    Un faux pas, une erreur de débutant, la croiser, se positionner comme presque choqué à ses cotés et à celui d’un de ses rivaux, bien que ce jeune homme était très faible, jamais il n’aurait pu dépasser le charisme légendaire dont faisait preuve Enzo, jamais.
    Entendre cette conversation avait été comme l’élément déclencheur d’une bombe à retardement. Enzo aurait voulu exploser, en voyant sa chère et tendre Bella aussi débridée que durant cette soirée, rien n’empêchait sa beauté surnaturelle d’agir, mais ce tempérament alcoolisé lui allait si mal, surtout quand il s’agissait de faire des bêtises et de se coller aux mauvaises personnes, de sacrifier son regard des plus charbonneux à un tel homme. Un homme qui n’avait que de misérables intentions auprès d’une telle personne. Un sacrifice, en effet.
    Un excès de rage qui montait en Enzo, ce refoulement qu’il ne cessait de faire agir en lui, cette passion qui l’avait pour les yeux de Bella, cette attachement qu’il ne cessait de vouloir effacé, ce sentiment qui lui indiquait bien trop de fois que ce chemin menait à ce qu’il redoutait tant : l’amour. Mais n’était-il pas entrain d’emprunter ce chemin avec Kiana, les chemins s’entrecroisant dès à présent… Il avait peur, c’était un fait certain. Une peur pourtant dévastatrice, grimpant les échelons un peu plus chaque secondes, faisant bouillonné son sang dans chacune de ses veines, ses yeux se noircissant à l’idée qu’il puisse la toucher …

    Sans même y réfléchir, seuls ses sens le guidait, sa main se posa brutalement sur le visage du jeune homme, le repoussant au loin. Il embarqua Bella un peu plus loin, mais à peine deux ou trois pas acquis, voila qu’il se sentit attiré en arrière, son bras prit, tiré, compressé. Enzo se retourna violemment vers lui avec la ferme intention de lui remettre les idées en place. Il agrippa le col de son pull, le soulevant quasiment du sol, l’étranglant presque avec ce même col. Il rapprocha son visage à quelques centimètres du sien, plongeant son regard des plus noires dans le siens. Il savait pertinemment qui quiconque pouvait avoir peur de lui. Ses yeux reflétaient à merveille la souffrance qu’il ressentait et qu’il passait son temps à transmettre. Des yeux cinglants.
    « Que l’idée de la toucher ne te traverse plus jamais l’esprit, tu m’as bien comprit. »
    Il le relâcha, alors qu’il reculait déjà de quelques pas. Enzo mima un sourire de vainqueur, un sourire de mépris aussi, et il se retourna vers Bella, celle-ci de marbre, l’observant, le dévisageant presque. Il ne s’attarda pas sur ses traits, à moins de retenter l’expérience de cette falaise. L’embrasser, la faire fuir à nouveau.
    Il s’approcha d’elle, la faisant pivoter et la poussa en avant. Le simple fait de la toucher, le fit frissonner. Le contact de sa peau chaude et velouté. Il se rappelle pourtant que sur cette même falaise, il s’est promit une chose, ne s’attarder que sur une seule peau, celle de Kiana, qu’un seul corps le fasse frémir, le sien, et non celui de Bella. On ne se contrôle pourtant pas à chaque fois …

    Quelques mètres à peine traversés, Bella se retourna vers lui, le scrutant, la moindre parcelle de son visage analysé, Enzo était certes des plus fatigués, mais tout aussi crispé, ca se lisait, ca se voyait. Elle n’avait pas l’air de vouloir bouger, cette cigarette éteinte encore en bouche. Il sourit, et s’entreprit au jeu de lui prendre cette clope des plus futiles, de la mettre dans sa bouche, la sienne, et l’allumer devant elle. Il tira longuement dessus, recrachant ensuite la fumée au dessus d’elle.
    Les yeux de Bella le guidaient, contre lui, sans qu’elle non plus le veuille. Ses pulsions refoulées, à nouveau au gout du jour. Cette sensation de manque, il s’en rendait compte seulement maintenant. Ses yeux posés sur lui à longueur de journée, à l’observer, à l’aimer … ca lui aurait presque manqué.
    Il se rapprocha doucement de son oreille, ce geste des plus anodins pourtant semblait comme une trahison, envers lui-même, envers Kiana, envers Elle. Ses lèvres se posait délicatement le long de sa joue, effleurant cette peau si légère, s’infiltrant jusqu’à son lobe, s’étouffant dans ses cheveux. Des flashs lui revenant en plein visage … Ses dernières paroles aussi, des plus violantes, face à la douceur de leur histoire, à la fois passionnée, si enflammée, et tant aimée ...
    « Tu me manques »

    Il la contourna et s’enfuît déjà …
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MessageSujet: Re: Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo]   Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Icon_minitimeJeu 23 Avr 2009 - 1:19

Si tu t’en fiches à ce point, pourquoi tu bois ?

Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Rpia210 Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] 6pm8w7




Hésitante, fragile, rêveuse, sensuel, sensible et innocente.
Je suis troublé par les chimères nébuleuses de mon idylle avec Enzo, un gouffre aux sombre abysse c’est créer entre nous et un froid glaciale pénètre mon corps, mon esprit, mon âme et mon cœur. J’aimerai retourner le sablier du temps et tout recommencer.. que tout ne soit en fait que désinvolture. Je réclame dans un chant ambigu et espiègle une dernière chance. Comment savoir si je suis amoureuse de lui… je le crois certains soirs pourtant je refuse de le voir, mais quand je l’imagine dans les bras d’une autre, sa me fait mal, me tiraille… tout est brumeux, amer. On veux , on ne veux plus.. je ne sais pas, je ne sais plus.. Je suis prisonnière d’une danse enivrante ou son visage est la lumière et l’amour un blasphème. Je voudrai lever le voile, décrypter les signes.. Réflexion malsaine ,conclusion hateuse, hypothèse sournoise, idée délicieuse. Quel sera donc la fin ?


__Bella toisa de haut en bas le fameux X avec qui elle allait sûrement succomber au plaisir de la chair dans cette foutu porche. La vie était devenue tellement ennuyante, sans passion on reste fade. On dit que l’amour fait tourner le monde non ? Bella ne pensait qu’à une chose en ce moment précis, le détruire, le monde lui même mais également tous ses gens insignifiants qui se pressaient autours d’elle, sans oublier ce mec dont elle ne connaissait même pas le et gardons le plus beau pour la fin, elle, la jeune Parker. Emportée par les méandres de la débauche, elle sombrait dans un univers sombre et obscur. À quoi bon se laisser aller à ce qui ne conduit nul part? Tout n’est qu’une fiction, vous savez il y a un moment où on ne réagis plus. Plus rien ne nous touche, plus rien ne nous fait rien. Parfois on va droit à la collision, et on n'en a pas conscience.

__Avant même que le jeune homme eu le temps d’allumer sa cigarette, Bella se sentit prisonnière de l’étreinte d’un autre. Des bras durs mais tendre l’encerclèrent avec détermination et l’envoya valser délicatement de l’autre côté de la piste de danse avant de la laisser à nouveau seule. La jeune fille releva la tête et écarquilla les yeux avec difficulté, sa vision était étonnamment flou et trouble, sûrement un des inconvénients de l’alcool et des fêtes aussi débridées. Mais elle aurai pu reconnaître sa silhouette magnifique et sa voix si mielleuse parmis cent autre. Enzo Stevenson en personne. Qu’es ce qu’il foutait là et pourquoi il l’avait arraché à son monsieur X ? C’est alors qu’elle réussit à distinguer la scène avec surprise et exaltation. Son ancien petit copain tenait le pauvre X par le col de sa chemise et prônait des menaces à son égard d’une voix si dur et si haineuse. Bella ressentit alors un mélange de satisfaction et de gratitude envers Enzo, de satisfaction car cela signifiait qu’elle comptait encore pour lui, qu’il avait besoin de la protéger et de l’encadrer et surtout qu’il ne supportait pas qu’un autre homme puisse caresser sa peau velouté, car c’était bien une scène de jalousie excessive non ? De gratitude, car il venait de l’empêcher de faire une grave erreur qu’elle aurait sûrement regretter au petit matin à savoir offrir son corps à un mec sans importance, à un inconnu, le tout en se bafouant elle même ainsi que son corps.


_Enzo s’approcha ensuite d’elle et la fit délicatement pivoter avant de la pousser en avant. Bella retint sa respiration le temps de ce contact. Elle avait oubli à quel point l’odeur de son ancien petit ami était aussi enivrante, ainsi que la douceur de ses mains fermes et somptueuses. Elle se retrouva plaqué contre son ex amant, à la fois en colère et heureuse, comme un rêve à moitié achevé où différents sentiments s’entremêlent refusant d’avoir un sens convenable. Bella ne put s’empêcher d’analyser chaque parcelle du visage d’Enzo, il était si somptueux, l’arque de ses sourcils menant à ses yeux si pénétrant et si étincelant, ses joues douces et lisses s’arrêtant sur une bouche parfaitement dessiné. Il n’étais pas réel, il ne pouvait pas être réel. C’était un dieu incarné dans le corps d’un humain, on ne pouvait être si proche de la perfection tout en étant un simple mortel, c’était décemment impossible. Ses doigts se rapprochèrent dangereusement de sa bouche, elle sentit le sol se dérober sous elle ne sachant quel attitude aborder, Enzo lui vola sa cigarette dans un geste malsain et terriblement sexy, il la plaça dans sa bouche à lui, la flamme jaillit ensuite provoquant une étincelle, la fumée encombra ensuite l’espace. Bella entrouvrit les lèvres et aspira légèrement la fumée qui s’offrait à elle. La tête de son idéal s’enfouit dans son cou, provoquant de léger tremblement dans son bas ventre et ses hanches, elle se laissa faire ne pensant plus à rien. Puis vint ses quelques mots, trois plus exactement, « tu me manques ». Cela lui fit l’effet d’une décharge électrique, elle se réveilla instinctivement de sa transe hypnotique et voulu agripper le bras d’Enzo, mais il s’était déjà enfuit. Furieuse, elle le suivit, vacillant sur ses hauts talons, se raccrochant aux gens qui l’entouraient, elle se fraya un chemin jusqu’à lui et elle le rattrapa par l’épaule avant de se planter devant lui, retirant tout de suite sa main, évitant ainsi tous contact. Elle plongea son regard émeraude dans celui de l’homme qu’elle avait autrefois tant aimer et une avalanche de souvenir jaillirent refaisant surface. Bella ferma volontairement les yeux afin de chasser tous ses bons souvenirs qui appartenait aux passé dorénavant. La vie est injuste et elle était terriblement en colère.


Bella_« - C’est un jeu pour toi ? »

__La haine qu’elle éprouvait pour le jeune homme fleurissait comme lors d’un printemps avantageux, se confondant et se mêlant à la braise d’un amour sincère. Il avait dit qu’elle lui manquait.. avait-il seulement la moindre idée de l’état dans laquelle cela pourrai la mettre ? s’en souciait-il seulement ?


Bella_« - Tu n’as pas le droit de faire cela Enzo ! Pour qui tu te prends ? Ne me dis plus jamais ce genre de chose ! Plus jamais ! Tu as compris ? »

__Ses yeux reflétaient-ils seulement ce qu’elle disait ?
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MessageSujet: Re: Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo]   Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Icon_minitimeJeu 7 Mai 2009 - 12:44

    La foule passait, trépassait, dansait, s’extasiait. Les bousculements de plus en plus fréquents. La musique éclaboussant la terre entière, rendant sourd le plus premier être. Cette atmosphère, plus rien n’avait pourtant lieu d’être. Ralentissant, s’écorchant, s’affadissant. Le monde allait au ralenti, seul son regard vibrait sous la foule, seul son regard le transperçait, faisait battre son cœur, le rendant vivant, éternellement. Il suffisait de si peu pour se sentir en vie, s’en était presque affligeant.
    Son cœur n’avait été que pierre, durant de longue année, durant des siècles peut être. Le marbre, dur, incassable, infranchissable, et si ravissant pourtant. Un cœur unique en son genre, un cœur qui battait contre la vie, contre toute logique, toute étique.
    Chaque être humain est conçu pour le bonheur, le malheur, le combat, l’amitié, … l’amour. Tout corps bien conçu vit et franchit, tout cœur des plus banals cherche l’âme sœur, l’amour au creux de l’enfer, la lumière. Enzo n’était qu’erreur de la nature, une bavure. Un être incertain, incomplet. Un être sortant de l’ordinaire. Il était sans doute né de travers. Son cœur était pourtant né au centre de son corps, battant comme chaque bébé, criant, s’extirpant du placenta. La seule différence c’est qu’il fut haït dès le début, la plus grande erreur est de l’avoir prit à part, considéré comme bizarre. Personne n’aurait pu imaginer qu’un tel geste aurait autant de conséquence sur terre. Créer un monstre, un objet dénué de sens, d’humanité. Il a été révélé que le manque d’amour crée la souffrance, conduit à la perte. Enzo Gillian Stevenson est l’exemple même.
    Il la regarde, se répétant mille fois ses derniers mots. « Plus jamais » . Il ne voulait pas comprendre, ni chercher un sens. Il voulait effacer la raison, les sentiments, toutes ces sensations. Il voulait disparaître sous terre, crever en enfer.
    Il n’était pas né pour aimer, il n’était pas né pour vivre une vie paisible, former une belle et grande famille. Il n’était pas né pour être dans la norme. Il était né pour révolutionner le monde accompagné d’une philosophie sans aucun sens. Déchouer l’atmosphère, faire bondir la terre, croire que tout peut disparaître. Changer l’univers. Il était né de son regard noir, de son corps si léger. Il était né avec un unique combat, lutter contre l’humanité. La différence, telle une richesse … détruisant tout sur son passage.
    La vie suit son chemin, passe les épreuves et les ébats. Dans toutes logiques, ca se passe comme ca. On survit, on vit. Or il avait décidé de pourrir face à l’absurdité de chaque être, de la terre. Haïr le monde entier, le faire crever. Malheureusement pour lui, certaines personnes marquent, certaine choses laissent sans voix. Il y a toujours une erreur quelque part, dans chaque raisonnement, dans chaque guerre mené front battant. Mais il ne pouvait se résigner à l’accepter. Aimer.
    Elle a l’air si désespéré. Si épuisé. Il l’a réellement achevé. Son combat aurait été gagné si ca avait réellement été son but. Il avait réussi à avoir les plus belles créatures de cette ville, et ne savait qu’en faire dorénavant. Comme quoi on peut se tromper, et pourtant, le retour en arrière semble une impossibilité.
    Il arrivait à tout détruire, même les âmes les plus pures, même les plus nobles.
    A chaque fois que ce regard le scrutait sans plus aucun sens. Une amertume du passé venait l’embuer, usurper sa personnalité. Cette journée, cette matinée, ces heures à rester coucher, se libérant l’esprit, dévidant la vie, étant en pleine harmonie. Il se rappelle de ce sentiment incomparable que l’on ressent lorsque tout n’a plus aucun sens. Lorsque le monde entier n’existe plus, disparaît sous ses regards. Lorsqu’une simple caresse vous transperce. Une harmonie si parfaite. Passionnée, endiablée, immaculée. Il se rappelle de cette matinée ou le soleil aurait donné naissance au bonheur le plus insensé. Il se rappelle de ce soupire de liberté qu’il avait poussé sous ces draps alors que les mains de Bella s’agrippait à son torse. Il y avait cru, si fort. Rien n’aurait pu gâcher ce moment, rien n’aurait pu gâcher cette vie si bien établie. Une inconscience permanente, une réflexion éteinte. Un cerveau qui ne tentait plus de résonner ou de réaliser. Il se rappelle des mots qu’elle venait de prononcer, cinglants, étouffants. L’écorchant. Il se rappelle de son sang en fusion. De ses veines qu’il lui aurait éclatées en plein visage. Il se rappelle de cette souffrance. La deuxième plus grande qu’il ait connu durant sa courte vie. La première, lorsqu’il fut à la place Bella, à déverser son amour. Le deuxième, lorsqu’il dut assumer l’amour qu’il venait de causer, et qu’il ne pouvait accepter. Enzo n’avait jamais été fait pour aimer, il en était persuadé.

    « C’est si facile d’ignorer la vérité… »
    En lui répondant ces quelques mots, il ne savait s’il parlait pour elle, ou pour lui-même. A vrai dire, à quoi bon chercher la réponse, il ne serait jamais prêt à assumer la vérité, cette réalité. Il ne serait jamais prêt à assumer ce qu’il venait de l’avouer. Il ne serait jamais prêt à assumer ce sentiment si indigne qu’il ressentait à chaque instant, la jalousie, l’obstination, l’obsession …
    Il s’était légèrement rapproché d’elle, évitant ainsi son regard. Evitant toute voix désillusoire, criant haut et fort la vérité. Malheureusement, les ébats de ses compagnons donnaient le vertige. Les corps passant sans cesse, frôlant tout son être. Le bousculant violemment. Sa tête divaguait, ses mains tremblaient, son corps déraillait. Il n’avait certes pas trop bu, pas plus que d’habitude. Bien que depuis le retour, ce soit matin, midi et soir … Plus rien ne l’atteignait, plus rien ne menait vers l’euphorie, le désir. Plus rien ne le guidait vers un échappatoire, ne serait-ce qu’une nuit. S’en était finit, sa conscience n’était que ruine.
    Un violent coup vient s’achever le long de son dos. Une sensation glacée traversant son dos. L’humidité. Alors qu’il venait à peine de déraper sur Bella, la faisant trébucher et la rattrapant pourtant de justesse. Eprenant son bras, sa main, laissant glisser ses doigts fébrilement sur sa peau chaude. Son regard ne faisant qu’un avec le sien. Il s’écorcha la lèvre, la mordilla presque à sang. Une façon comme une autre de retenir le désir. La colère par la même occasion. Le contact de sa peau, l’imbécile ayant osé lui renverser son vers sur lui, sans même daigner s’excuser.
    Quelques secondes qui parurent une éternité, comme si le monde venait à peine de disparaître. Comme si il n’y avait qu’eux. Même la musique ne l’atteignait plus. Ses yeux essayant pourtant de se séparer des siens. Son esprit essayant d’arrêter ce court circuit.
    « J’espère que la dépravée que tu es devenue va arrêter de se jeter sur le premier con qui passe. A force, ca va devenir difficile de te surveiller. »
    Il n’était plus d’humeur à faire la fête, il n’était plus d’humeur à rester. Il n’avait qu’une envie, s’en aller, s’enfuir. Regarder le plafond durant le reste de la nuit. Ou serait ce la ramener, faire revenir le passé. Il essayait tant bien que mal de chasser cette idée. Même si il ne pouvait décemment la laisser dans un tel état, seule … au milieu de la nuit.
    « Je te ramène je suppose ?! », d'un air exasperé, mais à la fois protecteur, tel un preux chevalier.


{ SINCEREMENT DESOLÉE POUR LE TEMPS QUE J'AI MIT . MAIS J'AI EU UNE GRANDE PERTE D'IMAGINATION. MAIS CE MATIN JE ME SUIS REVEILLÉE SUPER MOTIVÉE ♥♥♥}
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MessageSujet: Re: Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo]   Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Icon_minitimeMar 7 Juil 2009 - 1:31

Mon cœur est si brûlant que près de lui l’enfer est froid.

Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Rpa810 Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] Mil8m-1



« Félicitée.
Pourquoi se retenir ?
Le bonheur est une notion si éphémère qu’on ne peut en profiter pleinement de peur de le perdre. Rien n’est jamais acquis, sachez le, alors maintenant détendez vous, laissez vous aller.. profitez de la joie qui anime votre corps, laissez la s’imprégner dans votre chair et s’inculquer à travers votre peau.
Chaque instant aussi infime soit-il est précieux, à valeur presque sacré.
Il ne faut pas vivre sa vie dans la terreur de ce qu’il pourrait nous arriver de pire par la suite, la vie n’est ni rose, ni noir, en vérité elle est mitigé, son aspect change sans réel logique ou sens véritablement fonctionnel.
Il y a des hauts et des bas, indéfiniment, et le temps file, inlassablement.
Ce qu’il faut faire est simple, il suffit de savoir apprécier chaque moment de bonheur pure, même si notre esprit est conscient que ce qui suivra après sera l’inverse pour finalement basculer à nouveau dans le bien être, il faut faire attrait de tout cela et seulement se concentrer sur ce moment précis, ce moment où vous vous sentez bien, afin d’en savourer toute les saveurs et de se forger des souvenirs heureux, qui viendront se juxtaposer à d’autres plus noires certes mais qui au final créeront votre propre mémoire, l’essence même de votre âme. »


Seul lui sait m'emmener là ou personne ne va. [Enzo] 2314557897_6



_Une seconde hors de l’espace temps, de notre galaxie appelé voie lacté ; de ce cocon monstrueusement inanimé où nous sommes tous suspects. S’entretuer ? Tel est notre dessein, succomber dangereusement dans le vice et la trahison, plonger dans un carambolage sans forcément s’en rendre compte. Se faire du mal involontairement pour finalement dériver vers la préméditation malsaine et insalubre. Nous sommes tous des guerriers assassin remuant notre propre destin comme de sournois pantins. C’est ainsi que durant quelques poussières de minutes égarées, Bella Parker se sentit propulser hors de toute réalité, elle se sentait voler, planer, rêver, comme mystérieusement hypnotisée. Une transe la faisant ravaler son amertume, suintant sa colère et son mépris et nouant son orgueil dans son œsophage, au plus abstrait de sa gorge. Il suffisait qu’il plonge son regard dans le sien pour qu’elle décolle instinctivement vers un univers lointain où le seul prince de puissance portait le nom d’Enzo Stevenson, un monde mystique où elle oubliait sa haine et sa rancune pour ne ressentir qu’amour et désir pour l’homme le plus magnifique qui existait sur Terre. Un regard, à la fois majestueux et miraculeux. Tellement tendre mais pourtant si sauvage. Il avait suffit d’un simple éclat brillant à l’ombre d’un spot lumineux, un reflet miroitant dans le creux d’une pupille désabusée tandis qu’une autre étrangement scintillante portait en elle le pouvoir de faire défaillir la jeune fille. Une prunelle ne mens jamais. Bella sentit le désir qu’Enzo éprouvait pour elle en cette instant précis, cette passion dévastatrice, cette folie nuisible, cette attirance ravageuse, cette amour interdit. Et cela la détruisait, l’espoir nous enferme dans une danse indéfinissable, au plus profond d’un cercle vicieux et mortel où on se mord violemment la queue, où notre propre venin s’imprègne peu à peu dans notre chair, notre sang bouillonnant dans nos entrailles emmêlées. Mais quel est donc l’antidote du spleen ? Certains disent que c’est l’Idéal. Seulement voilà, l’idéal de la belle Parker est également ce qui l’attire vers les chimères nébuleuses de sa destruction immédiate. Sacrilège profané, blasphème abusé. Hérésie !


« L’amour n’est pas ce que tu dis,
Tu es trop cruel pour aimer,
Tu m'as encore trahis,
Même ton âme t’a quitté. »


_Pourquoi se raccrocher sans cesse à l’irréel ? Une rupture est tout ce qu’il y a de plus explicite non ? On ne veux plus entretenir une relation avec l’autre personne, ainsi que son corps. On se retrouve démunit de tous sentiments, de toute attirance aussi infime soit-elle. On ne ressent plus rien, on se sent vide lorsqu’on observe celui qu’on à abandonné. Néanmoins rien n’est simple. Pourquoi ? Ca serait trop facile, sans aucune surprise, oui mes amis, en réalité rien n’est jamais acquis. Si Bella mettait autant de temps pour se remettre de sa séparation avec le bel et populaire Enzo, c’est parce que leur histoire n’était pas totalement terminée, a-t-elle seulement était une fois finie ? La jalousie, le désir, l’envie, le devoir de protéger l’autre, le tourment de le posséder fatalement, de s’introduire dans son essence, de se fondre en son esprit et de partager sa peau avec délicatesse et sauvagerie. On ne peut pas tourner la page tant qu'on en à pas écrit la fin, on ne peut jamais avancer d'une case avant de l'avoir atteinte, on ne peut jamais finir premier avant de dépasser le premier. Mais comment achever ce voyage si tourmenté et paradisiaque, comment en finir une fois pour toute avec le si ténébreux et formidable Stevenson ? Les deux jeunes adolescents étaient attirés l'un par l'autre avec une force définitivement trop puissante pour qu'on puisse la contrôler, tel deux aimants ont ne pouvait les séparer, mais pourtant ils se détruisaient eux même, de l'interieur, leur chair se tordait prête à exploser et prendre enfin les dimensions de l'Univers, défiant ainsi toutes les lois de métaphysiques existantes.
Une échappatoire plausible existerait-elle ? Oui. L’oublie. Pas aussi facile ? Impossible. En êtes vous certaine ? Absolument.


« L’amour est le piredes tourments,
L’amour n’est pas ce que tu crois,
Aime moi passionnément,
Ton cœur était-il vraiment si froid ? »



_Quelques paroles s’évadèrent de la bouche si mielleuse et avantageuse du beau jeune homme. Une proposition de la ramener chez elle, un timbre de voix si magnifique, un déracinement du passé, des fresques de mémoires jaillissant de tous part, une remonté sucrée de souvenirs radieux, des images amers éclatant en même temps que le morceau de chair qui lui servait de cœur. Enzo stevenson, un humain, infime poussière d’une voie lacté qui à éclaté, une perle dans une mer de brouillard, si peu et tellement tout à la fois. La jeune fille ne pouvait décemment pas refuser l'invitation de son ancien amant à la ramener chez elle, et puis elle n'avait pas vraiment le choix, elle était dans l'impossibilité de conduire avec toute cette quantité d'Éthanol qu'elle avait abordés, CH3CH2OH se noyant dans son organisme déjà contaminé. Une fois dans son appartement, elle prendrais une tisane bien chaud pour désoûler et pourrait peut être avoir une conversation adulte avec Enzo, chercher le comment du pourquoi, et le pourquoi du comment ? Essayant de se raccrocher au bar bondé, vacillant toujours sur ses talons hautes coutures, elle tendit sa main vers le prince des ténèbres, prête à le suivre vers l'irréparable. Elle s'engouffre vers la tentation. Repousser le pécher pour mieux le désamorcer ? Non, cela était finie, elle en avait marre de lutter contre son amour, elle voulait respirer, se laisser aller. Toutes ses questions qui s'entrechoquaient dans sa tête ne lui avaient en réalité apporté aucunes réponses convenables. Alors maintenant, il fallait agir, dépasser cette ligne qu'elle s'était toujours imposé, autrement dit : Enzo : Mauvais. Il l'avait largué sans aucune explication, elle allait savoir pourquoi, ce soir. Puis de là cette nuit prendrait une tournure adapté. La haine comme l'amour y seront confrontés et le résultat finale risque d'être épouvantable, fatale, bizarre ou agréable.


« L’amour te terrifie certainement,
L’amour t'éloigne peu à peu de toi,
Ne sombre pas dans le néant,
Te souviens-tu seulement de moi ? »



_Relevant quelques mèches de sa chevelure brillante, La jeune fille était toujours le centre de l'attention de la boîte de nuit. Sa chute de rein faisant fantasmer tous les mâles présent et son décolleté faisant tourner des têtes. Une souplesse innée la caractérisé et sa classe et son allure lui donnait l'avantage sur les autres filles de la discothèque. Belle, divine, pareille à une déesse évadé de l'olympe et prête à suivre le diable pour y froisser ses ailes. Voulant une explication et éliminer l'alcool qui parcourait ses veines, son choix avait été de rester en sa compagnie encore durant quelques heures, ou jusqu'à l'aube, ce moment qui précède la nuit, l'aurore rosé, le crépuscule miraculé. Bella ne rêvait qu'une chose, s'abandonner aux méandres de son bien aimé, lui offrir son corps à explorer sans aucune retenue. Succomber au plaisir charnelle et sensuelle auquel ils se plaisaient à voyager dans le temps. On n'oublie jamais un amour aussi puissant et sincère que celui ci. Bella pouvait avoir n'importe quel hommes, n'importe lequel. Mais elle avait choisit Enzo. Pour sa beauté, son intelligence, sa gentillesse, son côté rebelle et arrogant, son allure, sa démarche, son odeur, ses yeux si dévastateur, son sourire ravageur, sa bouche si tendre, sa voix si mielleuse, son nez adorablement retroussé, ses cheveux en bataille, son torse si dur et musclé, ses épaules si fines mais puissantes, son intérieur, son essence, sa peau, sa chair, son sang, son âme. Une douleur aigu, signe d'une migraine apparente la tira de ses pensées, et toujours la main vers lui, espérant qu'il la prenne, sSes lèvres douces s'ouvrirent et une voix mélodieuse accompagna son regard de braise.


Bella_« - Tu sais déjà où se trouve mon appartement je suppose?! »


_Une pointe de sarcasme ne fais jamais de mal. Au contraire il ravive souvent la flamme.
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