Tears & blood, weakness & fear ... | Eshvar

Carte d'identité;

Nom : Hargreaves
Prénom : Eshvar Sayanel
Surnoms : Peu de gens ont trouvé un surnom à un prénom aussi peu commun que le mieux. Eshvar conviendra à la plupart d’entre vous.
Age & Date de Naissance : 25 ans & 7 novembre 1983
Groupe : Serenity, as king of your thoughts
Confrérie : (facultatif) J’avais envie de dire … Sigma Omicron, histoire que Shalee ait une autre raison de m’arracher les yeux =)

Derrière l'écran;

Pseudo : April Rain
Présence sur le forum : Je peux venir à peu près tous les jours, après le boulot =)
Où as tu connu ce forum : C’est la faute de Shaleeeee ! Elle m’en a tellement parlé … Je me suis laissée tenter. Raaah, j’ai craqué ! xD
Commentaire : Heuu … Non, tout vient d’être dit juste au dessus.
As tu lu le règlement ?: Yep, je viens de le faire !

La vie nous réserve bien des Surprises;


Il y a des choses qui marquent. Il y a des choses dont on se souvient, et d’autres qui s’effacent de notre esprit comme les traces de pas dans le sable. J’ai oublié énormément de choses de mon enfance, comme la voix de ma mère ou le rire de mon père. J’ai oublié la maison de mes grands-parents et l’odeur des fleurs de leur jardin. J’ai oublié la naissance de mes sœurs, la jalousie que j’avais ressentie à leur égard. J’ai oublié le visage et même le nom de mes premiers camarades de jeu. Autant de choses qui ont disparu et dont seule me reste la certitude que cela a existé, sans plus réussir à invoquer leur souvenir. Autant de choses qui n’ont plus d’intérêt pour moi et que je ne cherche pas à faire revenir. Le plus important, les détails qui aujourd’hui comptent encore, je ne les ai pas oubliés.

J’étais fasciné. Assis dans le grand fauteuil de la chambre, je pouvais rester des heures à les contempler sans me lasser. Chacune de leur respiration, chacun de leur froncement de sourcils était pour moi source d’émerveillement. Du haut de mes quatre ans, je contemplais mes sœurs avec ravissement, comme si elles étaient les plus belles choses qu’il m’ait été donné de voir. Elles n’avaient pourtant pas grand-chose d’intéressant : ces deux nouveau-nés, parfaitement semblables, passaient leur journée à dormir et ne daignaient ouvrir les yeux que pour quémander leur nourriture. Elles étaient nées quelques mois plus tôt, deux pour le prix d’une. Une sacrée surprise pour moi qui ne voulais de toute façon ni de l’une, ni de l’autre. Mais ma jalousie passée, mes instincts fraternels s’étaient éveillés et j’avais développé envers elles un sentiment protecteur, étrange et totalement nouveau. Je les aimais, ces deux petites choses fripées.

« Eshvar. Sors d’ici. Ne dérange pas tes sœurs. »
« Mais je … » Les arguments que je m’apprêtais à donner à mon père restèrent coincés dans ma gorge en voyant son regard froid, et je me hâtais de sortir de la chambre des jumelles, tête baissée. Il n’était pas question de discuter quand il me regardait de cette façon, je le savais depuis toujours. Je n’avais jamais osé, et je n’oserais jamais …

Sitôt qu’il referma la porte sur nous, des gémissements retentirent dans la pièce que nous venions de quitter. Très vite, une deuxième voix se joignit à la première et les pleurs s’élevèrent à l’unisson, me fendant le cœur. J’esquissais un geste pour retourner voir mes sœurs et les réconforter, mais mon père m’empêcha en posant une main ferme sur mon épaule. Je me figeai et levai les yeux vers lui, mais il ne me regardait pas : ses yeux étaient fixés derrière moi, dans le couloir.
« Faites-les taire. » Un murmure, à peine audible, et je me retournais pour voir ma mère disparaître à travers la porte du salon. Juste le temps pour voir ses lèvres plissées par l’exaspération, une expression qu’elle n’avait pas quittée depuis des jours. Je ne savais pas ce qu’elle avait, je ne comprenais pas pourquoi ses sourires avaient disparu. Mais le ton de sa voix me poignardait chaque fois un peu plus, comme si j’étais fautif.
« Va dans ta chambre, Eshvar. » Une nouvelle fois, je ne tentais pas de contester l’ordre de mon père, et je filais dans le couloir. Mais avant de monter les escaliers, je me retournais et vis mon père entrer dans la pièce où s’était enfermée ma mère. Quelques minutes plus tard, les pleurs perdirent en intensité puis s’arrêtèrent d’eux-mêmes, et je pus enfin remonter les escaliers, l’esprit un peu plus tranquille.

« Eshvar, qu’est-ce que tu fais ? »
Je sursautais en entendant la voix de mon père dans mon dos, et me retournais vivement pour lui faire face. Je fourrais ma main tremblante dans ma poche en priant pour qu’il ne me pose pas de questions, en priant pour être assez fort devant lui. Mais mes lèvres tremblantes me trahirent, tout comme mes yeux qui me piquèrent et ma gorge qui se serra douloureusement.
J’ouvris la bouche pour lui répondre, mais je la refermais immédiatement. Si je tentais de dire quoi que ce soit, j’allais craquer. J’essayais de respirer profondément, complètement paniqué.
« Réponds-moi, fils. »
« Je … Je … »
Trop tard. La digue avait sauté, et de grosses larmes coulèrent le long de mes joues. Mes sanglots devinrent irrépressibles, et je constatais avec horreur que je pouvais absolument plus me contrôler. J’étais en train de pleurer, devant mon père.
Ses yeux se plantèrent dans les miens, glacials. Il attrapa mon bras, le tordit pour faire sortir ma main de ma poche et constata de lui-même ce que je n’avais pas su lui dire. Une coupure courrait tout le long de ma paume, et mes doigts étaient couverts de sang. A cette vue, mes pleurs redoublèrent d’intensité. Mais ce n’était plus la douleur qui me tirait des larmes, à présent …
Mon père lâcha ma main et croisa les bras sur sa poitrine, sans cesser de me fixer avec une intensité qui me terrifiait. Je savais ce qu’il attendait, mais j’étais incapable de faire quoi que ce soit.
« Je suis … Je suis désolé … Père je … » Balbutiais-je entre deux sanglots.
« Je me fiche de tes excuses. » Lâcha-t-il d’une voix tranchante. « Pourquoi pleures-tu ? »
A travers mes larmes, je tentais de trouver une explication qui lui convienne, sans en trouver une seule.
« Je me suis coupé en jouant dans la cabane … Et … Et … »
Il attendit sa réponse pendant un temps qui me parut interminable, sans faire mine de bouger. Moi, je ne savais plus que faire, ni que dire. Ma main me lançait atrocement, et le sang qui en coulait semblait ne jamais vouloir s’arrêter. Si personne ne s’occupait de ça, allais-je mourir ? Cette idée me terrifiait. Mon père pouvait-il me laisser mourir devant lui, parce que je l’avais déçu ?
« Père, s’il te plaît … » Gémis-je.
« Pourquoi pleures-tu, Eshvar ? » Répéta-t-il de son ton cassant, sans se soucier de ma détresse.
« Parce que … Parce que j’ai peur … »
Les yeux de mon père ses rétrécirent jusqu’à ne plus être que deux fentes. Finalement, il soupira.
« Tu n’es pas mon fils, alors. » Dans sa voix, je ressentis une déception immense, et je sentis mon corps se glacer d’horreur. Pourtant, je savais que c’était ma faute.

J’avais quatre ans, bientôt cinq. Ma mère avait disparu de ma vie, brutalement et sans raison, quelques semaines plus tôt. Elle avait quitté le manoir familial sans que je ne m’en rende compte, et ce n’était que le lendemain, en demandant à mon père où elle était, qu’il m’avait annoncé la nouvelle. Froidement et sans paraître être affecté par son départ. Moi, j’avais été anéanti. Même si ma mère avait changé depuis la naissance de Shalymar et Roshan, même si elle ne me prenait plus dans ses bras et qu’elle semblait constamment agacée par mes actes, je l’aimais plus que tout au monde, et son absence avait été comme une trahison.
Je m’étais mis à pleurer, comme le tout petit enfant que j’étais, attendant sans doute que mon père me réconforte. Au lieu de ça, il m’avait toisé pendant plusieurs minutes, avant de quitter la pièce d’un pas vif. Il ne m’avait pas adressé la parole de toute la journée, alors que j’attendais désespérément une infime marque d’affection. Quand finalement, le soir, j’avais osé venir le voir dans sa chambre pour lui parler de mes peurs, il m’avait annoncé que je n’étais pas son fils. Devant mes yeux effarés, il m’avait calmement et froidement expliqué qu’un homme ne pleurait pas, surtout pas quand cet homme prétendait être un Hargreaves. Si j’avais peur, c’est que je n’étais pas digne de mes ancêtres, de sa confiance, et de mon nom. Mon âge ne m’excusait pas, bien au contraire. Si je commençais à avoir peur maintenant, je serais prisonnier toute ma vie. Et si je devais être l’esclave de mes peurs, alors il ne tenait pas à y assister.

J’aimais mon père, presque autant que j’aimais mes sœurs. Et plus jamais je ne voulais revoir la déception dans ses yeux comme je l’avais vu ce soir là. Alors je contins mes larmes et je carrais les épaules, luttant furieusement contre les sanglots qui agitaient toujours mes épaules. Mon père ne me laisserait pas mourir, si je ne le décevais pas.
Quand mes larmes se furent taries et que je pus à nouveau regarder mon père dans les yeux sans avoir honte de moi, je vis le sourire qui s’affichait sur ses lèvres. La fierté.

J’entendais leurs pleurs. J’entendais leurs suppliques et leurs menaces. Pourtant je restais immobile, je les regardais se débattre avec leurs peurs sans faire un seul geste pour les délivrer. Et si en de quelques occasions mon estomac semblait se rebeller contre ces traitements, je ne l’avais jamais montré. J’avais assisté pendant des heures à leurs larmes, à leurs hurlements, à leur visage crispé, jusqu’à ce qu’elles comprennent. Pouvais-je réellement faire montre de faiblesse alors que ma plus grande récompense était de voir, enfin, leurs yeux devenir secs et leur visage se fermer ?

« Tu as peur de l’eau, Shalymar ? »

Il suffisait que je voie leurs yeux grands ouverts pour comprendre leurs craintes. Elles étaient terrifiées par tellement de choses plus futiles les unes que les autres, j’en étais peiné pour elles. Comment voulaient-elles aller de l’avant si leurs peurs les paralysaient, si tôt ? Je ne voulais pas que leur vie se résume à rester pétrifiées devant le premier obstacle qui se dresserait devant elles. Je voulais qu’elles surmontent ces puérilités comme je les avais surmontées avant elles.

« Tu as peur du noir, Roshan ? »

Quand je les poussais à bout, je voyais la haine briller dans leurs yeux. Elles me haïssaient de toute leur âme, frêles jeunes filles à peine adolescentes qui ne voyaient en moi qu’un tortionnaire qui leur pourrissait consciencieusement la vie. J’étais parfaitement conscient de ça, mais cela n’avait jamais arrêté ma main. Je préférais qu’elles me maudissent en devenant plus fortes, plutôt que d’être aimé par des peureuses.

« SHALEE ! » Un hurlement de désespoir s’échappa des lèvres de Roshan, pathétique. Un sanglot hystérique lui répondit, une bonne vingtaine de mètres plus loin. Shalymar n’était même plus capable de prononcer le nom de sa sœur, pétrifiée par sa peur. A cet instant précis, elles ne valaient pas mieux l’une que l’autre et ne m’inspiraient que du mépris. Au moins, elles avaient cessé de hurler mon prénom, ayant finalement compris que je ne les aiderais pas.
J’aimais assez la situation où nous nous trouvions. Je ne voyais ni Shalymar, ni Roshan, pourtant je savais que ni l’une, ni l’autre ne pouvait m’échapper. Elles étaient toutes deux debout sur la corniche du manoir, et trois étages les séparaient du sol qui semblait tant leur plaire. Et tranquillement assis à égale distance de chacune d’elles, je n’avais pas à subir leurs visages ravagés. Entendre leurs plaintes était assez agaçant comme ça …

Vertige. Elles avaient peur du vide, comme je m’en étais rendu compte quelques heures plus tôt en allant les voir ramasser des cerises. Je les avais observé quelques minutes, et il était devenu très clair que monter à l’échelle ne les inspirait vraiment pas. J’avais tout de suite su comment les guérir de cette peur ridicule, le seul problème avait été de trouver le moyen de les y conduire. Roshan avait eu beau me supplier, elle ne s’était pas autant débattue que je l’aurais imaginé. Elle m’avait suivie en pleurant, mais elle m’avait suivi. Shalymar … Shalymar m’avait forcé à utiliser les grands moyens, comme souvent. Son regard brûlant de haine m’avait traversé sans trouver de réponse tandis que j’attachais ses mains dans son dos et que je la hissais à travers le manoir, jusqu’à la verrière menant au toit. Après ça, il avait été plutôt facile de les faire glisser sur les corniches : pétrifiées par leur terreur, elles s’étaient bien gardées de se débattre, de peur que mes mains ne les lâchent et qu’elles ne s’écrasent au sol. Une peur totalement infondée : pour rien au monde je n’aurais fait une chose pareille. Elles ne risquaient absolument rien, du moment qu’elles se tenaient tranquille … La corniche faisait à peine trois pas de large, assez pour pouvoir tenir debout sans risquer de tomber, mais trop peu pour pouvoir s’y asseoir tranquillement. L’équilibre parfait pour vaincre cette irrationnelle peur du vide qui les tenait.

Assis sur le toit, j’écoutais mes sœurs sans bouger. Quand le silence s’installa finalement, je haussais un sourcil. Cela pouvait être le signe que j’attendais … Ou seulement le calme avant une nouvelle tempête. Je me levais lentement et me dirigeais vers Roshan. Le dos collé au mur, deux mètres en dessous de moi, elle fixait l’horizon, totalement immobile. En entendant mes pas, elle tourna précautionneusement la tête vers moi : son visage était fermé, ses yeux froids. Contrairement aux fois précédentes, elle ne tendit pas ses bras vers moi pour que je la libère, elle se contenta de me fusiller du regard. Elle avait surmonté sa peur, et rien n’aurait pu me faire plus plaisir. Pourtant, je restais de marbre et tournais les talons pour aller voir comment Shalymar s’en sortait. Son visage ravagé par les larmes était à présent aussi figé que celui de sa sœur, mais elle ne le tourna pas vers moi quand je m’approchais d’elle. Et quand je lui tendis un bras pour qu’elle puisse remonter, elle ne daigna l’attraper qu’après m’avoir fait attendre quelques secondes. Sa vanité faillit me faire sourire, mais je repris mon masque impassible avant qu’elle ne puisse s’en rendre compte. Elle me haïssait déjà assez comme ça, je n’avais vraiment pas besoin qu’elle pense que je me fichais d’elle …

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH !!!!

LA FEMME DE MA VIE DANS LA PEAU DE MON ESHVAR

*tombe dans les pommes*

Sérieux, j'suis trop sur un nuage là.

Bon les gars, votre mission si vous l'acceptez est de faire de cette fiche le FLOOD OFFICIEL !!!!

Bienvenue!!!

On va remercier la belle Shaly de nous avoir ramené un membre, surtout quand le membre en question choisit un super avatar!!!D'ailleurs je file te le réserver.

Bon courage pour ta fiche.

Non mais c'est pire que ça j'vous ai ramené la crème de la crème du membre, c'est MON membre ! xDD

T'as vu ça un peu, la classe internationale quoi.

Ohlalalala.

Dire que je t'ai suppliée pendant genre trois jours, j'y croyais plus !

Shalyyyyyyyyyy ma Winniiiiiiiiiie !!!

Ma ptite soeur chérie qui veut embrocher mes bijoux de famille sur la girouette du manoir Moi aussi je t'aiiiime (LLLLLLL)

Et joyeux bac ! xD

Merciii October =)
Faut remercier Shalymar ... Mouais, parce que si elle m'avait pas TANNEE pendant des lustres avec Eshvar, Henry Cavill et tout ça ... Je serais pas là x)

Trois jours ??? Han, si peu ? xD Je suis faible.

Tigrouuuuu

Hahahah mais t'as un coup avec Roshan par contre, t'es son idole :p

Joyeux Bac... XDDDDDDDDDDDDDDDDDD

Ouais, franchement je devrais faire commerçante parce que j'ai grave vendu le forum et le perso pour que tu viennes xD

Oui ou meme un peu plus, mais enfin t'es là, c'est tout ce qui compte.

Un coup avec Roshan ?? Han ça me fait plaisir ça x) je suis le vieux pervers incestueux

Nan mais ces trucs là ça marche qu'avec moi, je suis INCAPABLE de te résister, pour quoi que ce soit. Alors bon, ça compte (presque) pas

Merciiiii Satine ! ^^ Le prénom sort de l'esprit dérangé de Shalymar (enfin je crois), et Henry ... Miam mioum, je suis d'accord ^^

Roh t'es pas vieux. Mais t'es un pervers incestueux c'est pour ça que je te kiffe.

Hahahaha t'es incapable de me résister c'est bien vrai. Qui me résiste ? MOUAHHAHAHAHA.

Oui il sort bien de mon esprit dérangé cette fois.

Hey Bienvenuuuuuuuuuuuuuuue !!!!!!!

Magnifique avatar !

les amies de Shaaaa' sont les miens, alors .. CALIN !

Oh ma pauvre Autumn... T'as aucune amie que tu pourrais forcer à s'inscrire ?

Héhéhé de rien, c'est mon plaisir *pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue, pas de pensée tordue...*

BIENVENUE
Superbe avatar
Bonne chance pour ta fiche et bienvenue dans la famille tarée d'UL

Eshvar S. Hargreaves a écrit:

Un coup avec Roshan ?? Han ça me fait plaisir ça x) je suis le vieux pervers incestueux

Et moi je suis une vieille perverse mais pas incestueuse!^^

Ma pauvre Autumn, t'inquiète, je sens que dans très peu de temps il y aura un de tes scénarios qui sera pris!!

Bella : haaaa, un calin sans qu'on me traite de pervers ou de pensées tordues, génial *caliiiin* Je t'aime déjà toi

Autumn : merci ^^ Mais faut pas désespérer ... Ils finiront par être pris, courage *allez, calin pour la route*

Oxanna : Thaaanks Une famille de tarés, génial (y'a qu'à voir la mienne hein ... N'est-ce pas Shalee !)

October : XD si t'es une perverse, alors il nous faudra un lien

Et tu n'as pas d'amis "d'ici" ? Rencontrés justement sur des RP, des forums de graphisme ou que sais-je ?

Tes scénars sont super, voilà comment elle le sait.

T'inquiète kékette.

EDIT : PTDR Eshvar qui apprend la vie là.

T'inquiète Kékette . Quelle chance elle a de t'avoir comme donneuse de surnoms !

Pourquoi "j'apprends la vie" ? Parce que je me cherche déjà des partenaires pour mes longues soirées d'hiver ? =D

Le prénom il est original, l'avatar aussi et tout ça grâce à la piiire des originales j'ai nommé : Shaly la folle !
Bienvenue parmis nous

Eshvar S. Hargreaves a écrit:

T'inquiète Kékette . Quelle chance elle a de t'avoir comme donneuse de surnoms !

Pourquoi "j'apprends la vie" ? Parce que je me cherche déjà des partenaires pour mes longues soirées d'hiver ? =D

Mouhahahaha exactement, pour les deux remarques. (L)

Kate aka Autumn > Arf c'est dommage ! Bah t'inquiète j'suis sure qu'ils seront vite pris !

Oui mais vu que toi et Autumn vous êtes la même personne (analyse la phrase, ça c'est du français) c'est pas grave, j'vais t'appeler Kékette de toute manière.


Callum > Oooooooooooooow trop mignon. Toi, tu vas vraiment finir avec moi dans un coin si tu continues.

Shalymar R. Hargreaves a écrit:

Callum > Oooooooooooooow trop mignon. Toi, tu vas vraiment finir avec moi dans un coin si tu continues.

Dis donc toi !!! Fais gaffe, je te surveille ! Et je permettrais pas de tels écarts de conduite. Je te ligote et tu reste à la maison jusqu'à tes 30 ans, naméoooo !!!

Callum : merci xD mais toi aussi jte surveille, bewaaare !