| | | pain in the ass reporter ; (building site) |  |
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|  Sujet: pain in the ass reporter ; (building site)  Mer 12 Aoû 2009 - 19:45 | |
|  ft. rodriguez ! rodrigo santoro. JAVIER
PILAR IBARRA ;28 ans,
né un 3 avril à Progreso (Yucatan, Mexique)
exerçant l’honorable métier de fouille-merde professionnel,
associé au SUN HERALD de Gulfport (Floride).
crazyness and freedom from care.
RUSTON - WINNFIELD
6:02 pm
Un ricanement de hyène.
- Il est beau, le raccourci. Rappelle-moi pourquoi on a quitté la 167, tu sais cette route toute droite qui était censé nous amener à Winnfield en une heure ?
Michelle a reçu un regard noir en réponse, mais ne s’en est pas formalisée.
- Ça fait des plombes qu’on n’a pas croisé de maisons, la route est même pas marquée, il y a des arbres partout et tes feux éclairent que dalle, bon sang t’attends qu’il neige pour faire demi tour ?
- J’attends le prochain panneau pour voir où on est…
- Javier, je voudrais surtout pas casser l’ambiance mais ça fait quinze kilomètres qu’on se promène sans voir de panneaux.
- Là, là, là !
Mon pied a brutalement appuyé sur l’accélérateur, propulsant le pick-up en avant. Puis ce fut au tour de la pédale de frein d’être malmenée et la Ford s’est immobilisée dans un crissement de pneus, nous coupant le souffle. Je me suis penché sur le volant, plissant les yeux pour tenter d’apercevoir quelques lettres dans le faisceau des phares.
- Cotton Plant.
- Cotton Plant ?
- Oui, Cotton. Plant. Fais voir le plan.
Froissement de papiers. Michelle a déplié un morceau de carte sur le tableau de bord, pointant d’abord un doigt sur Winnfield puis cherchant vaguement de l’index où pouvait bien être ce foutu Plan de coton.
- Je vois rien, chef. T’es sûr que tu l’as prise dans le bon sens, la 167 ?
Je n’ai pas répondu, trop exaspéré par le ton ironique qui ponctuait toutes ses phrases, sa marque de fabrique, et cet accent anglais qui partait dans les aigus, hachait les syllabes, insistait sur tout ce que les Américains mangeaient, faute de temps. Michelle O’Neal, sponsor pour aspirine. Elle terminait sa première année d’échange universitaire à la Louisiana TU et clamait sur tous les toits qu’elle ne serait rentrée à Oxford pour rien au monde, puisqu’elle avait toute l’université à ses pieds, étant rentrée dans une confrérie dès sa première semaine sur le campus et en ayant mis plein les mirettes aux galeux du département journalisme dès qu’elle y avait posé le pied. Michelle vivait à Ruston comme une princesse. Qui plus est, elle mettait en avant le métissage culturel que vantaient les prospectus de l’université, avec ses origines thaïlandaises, bengalies ou indiennes – dans ce coin-là – que rappelaient ses longs cheveux, noirs et brillants comme tous les asiatiques. Complétez ça avec des grands yeux sombres, une bouche en cerise et un petit nez parfait, et les mecs tombaient comme des mouches. Sauf qu’elle avait un caractère de merde.
- Donne-moi ça.
J’ai attiré la carte sur le volant, tâtonnant de la main droite le plafond à la recherche de lumière. Un clic s’est fait entendre et un faisceau jaunâtre s’est faufilé jusqu’au plan.
- Ici. Cotton Plant. Et Winnfield est juste à côté, regarde… Oh non.
- Quoi « oh non » ?
- Euh… pas exactement sur notre route, Cotton.
- Pas exactement, je suppose que c’est dans un rayon de plus de 10km ?
- Cinquante, à vue de nez.
- Tu te fous de moi ?
- J’en ai l’air ?
Toutes les tensions accumulées depuis le départ ont brusquement refait surface, menaçantes, électriques. Après m’avoir fusillé du regard pendant cinq secondes, Michelle a détourné les yeux et laissé échapper un soupir qui n’avait besoin d’aucune traduction.
- J’aurais dû prendre le volant. Quel imbécile irait se balader sur des routes de campagnes quand on a une nationale à portée de main, franchement… On a déjà une heure de retard et il nous faudra une autre heure pour rattraper notre retard. Elle se tourna soudainement vers moi. Et tu attends quoi pour redémarrer, au juste ?
J’ai tenté de ravaler cette avalanche de plaintes en prenant une grande inspiration, même si je doutais qu’elle puisse arranger un mal de tête de plus en plus tenace. Le moteur a toussé pendant que je tournais la clé et puis… et puis, plus rien.
- Javier, si tu essayes de me faire le coup de la panne, ce n’est pas drôle.
- J’aurais plutôt envie de t’abandonner sur le bord de la route…
Nouvelle tentative. Toussotements qui ont fait vibrer l’habitacle, puis un silence pesant s’est installé. Troisième essai : identique.
- Non non non non non non NON !
J’ai claqué la porte, ouvert un capot fumant, et plongé les mains dans la marée de fils encore brûlants. Juste pour la forme, juste au cas où l’esprit d’un mécanicien s’infiltrerait en moi et me dicterait la conduite à adopter, juste pour voir de mes propres yeux l’éternelle Ford F-150 rendre l’âme. C’était un cauchemar. La fin du monde. L’apocalypse en avance. Et cette fille qui piaillait, qui n’arrêtait pas de gesticuler, de trembler, de crier à quel point on était foutus.
- MICHELLE, s’il te plait, ferme-la !
- Ne compte pas sur moi pour passer la nuit dans ce break pourri avec toi.
- On va appeler une dépanneuse, on va…
- Oh, parce que tu crois pouvoir capter quelque chose, au milieu de la forêt ?
Un point.
- Je vais visiter Cotton Plant.
Et sur ce, elle a tourné les talons et s’est élancée dans l’obscurité.
- Michelle, attends !
- Quoi ?
- Tu peux pas y aller toute seule, il fait nuit et…
- Parce que tu restes là, toi ?!
- Oui. Enfin, peut-être, je veux pas qu’on me la vole et…
- HAH. Tu crois que quelqu’un voudrait de ce tas de ferraille ?
Deux points. Silence de break.
- D’accord, je te suis. Mais si elle n’est pas là demain matin, je te jure que tu remonteras à pied à Ruston, c’est clair ?
- Très clair, chef.
Un sourire insolent, puis nos silhouettes se sont lentement effacées, laissant une épave grise de 92 fumante sur le bas-côté.
Le vrai début, c’était là. Dans une chambre d’hôtel miteuse qu’on avait trouvée à la sortie de Cotton Plant. Deux lits séparés par une table de nuit minuscule, des rideaux poussiéreux, quelques toiles d’araignée au coin des fenêtres, avec parfois leurs habitantes pendues à l’intérieur, et la source tamisée de la Lune. Javier avait appelé le garage le plus proche qui lui avait promis de venir jeter un coup d’œil à son bébé, à la première heure du matin. Après son coup de fil, il était allé à la supérette du village et nous avait rapporté de quoi grignoter. On avait mangé en silence, fatigués sans savoir pourquoi, lasses, déçus, indifférents. L’interview du semestre, celui qui permettait aux deux meilleurs journalistes du canard universitaire de se démarquer en allant fouiller en dehors du campus, celui qui faisait la une et occupait cinq à dix pages du journal, laisserait un blanc autour des agrafes et une marque indélébile dans nos egos déjà démesurés. Pour pallier à l’amertume et meubler les longues heures qu’il nous restait à passer en tête-à-tête, Javier avait donc déniché une bouteille de tequila et un citron. Je n’avais jamais éprouvé autant de gratitude envers ce garçon. Il m’a avertie cependant, mi-figue, mi-raisin, que je n’avais pas intérêt à déborder – sa façon de refuser le cliché des deux étudiants perdus, imbibés comme des nappes de mariage et finissant sous la même couette. Trois margaritas et une fumette plus tard, l’atmosphère s’était nettement détendue. Une légère odeur de chanvre planait, dessinant des volutes et des vagues grisâtres au plafond, ou peut-être n’était-ce que mon imagination qui planait, elle aussi, alors que je tirais sur le joint savamment confectionné par Javier. Notre vie étudiante se résumait à peu de choses : bosser, un peu, boire, fumer et visiter des chambres, beaucoup. C’était un cliché que je m’étais jurée d’éviter, connaissant les frasques des américains avant même d’avoir posé le pied sur leur territoire, mais il avait été dur de se consacrer aux études, et uniquement aux études, quand mes camarades clopinaient jusqu’aux bars tous les soirs après les cours. Lasse de les repousser, parce que le sérieux ne me convenait plus et que j’étais avide d’expériences, je les avais peu à peu suivis. Des étudiants en art, en biologie, en commerce, qui partageaient les mêmes passe-temps, toujours les mêmes. Des gosses désillusionnés qui n’avaient pas encore découvert le monde, qui se défonçaient en sachant déjà ce qui les attendait, là, tapie dans l’ombre. La vie de leurs parents. Le même schéma qui se reproduisait à l’infini. Un diplôme, un semblant de métier, une rencontre, un mariage, une banlieue, des gamins braillants, la routine, le bonheur au fond d’un verre, les engueulades, un divorce, toujours plus d’alcool, des adolescents aigris, des séjours répétés à l’hôpital coûtant la peau des fesses, jusqu’à la fin, et pas forcément dans ce sens-là. Je me suis rendue compte que je lui disais tout ça à voix haute, brisant le silence, la frontière.
Lui mexicain, moi anglaise. Il me regardait à moitié, avachi sur un oreiller sans couleur, ses yeux noirs perdus entre mon épaule et la porte qui hurlaient d’épuisement. Il était jeune, sale, mal rasé, presque beau. J’avais envie de venir me coller contre lui, tout à coup, plonger mon nez dans le col de sa chemise, tout défaire, tout jeter par terre, caresser ses lèvres et bouffer les clichés. À la place, je me suis entendue lui demander comment il était arrivé là, d’une voix lointaine, comme dans un rêve. Il a posé un œil voilé sur moi, un point d’interrogation au fond du regard, avant de s’allonger complètement, le nez au plafond, la marijuana roulée au coin de la bouche. Un long silence s’est installée avant qu’une voix ne s’élève, éraillée, nasillarde, rythmée par des accents du sud.
TO BE CONTINUED... 
(c'est à chier, oui, je sais.)
Dernière édition par Javier Pilar Ibarra le Sam 15 Aoû 2009 - 16:44, édité 6 fois |
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 19:46 | |
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 19:46 | |
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 19:47 | |
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Dernière édition par Javier Pilar Ibarra le Ven 14 Aoû 2009 - 19:44, édité 1 fois |
| | | | Enzo G. Stevenson
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:01 | |
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:12 | |
| je l'ai épluché le règlement, quand même (=lu passionnément), à la recherche d'un code secret divisé en cinq.
quelle surprise, de ne pas en découvrir ! ou alors il y en a un, et je me prends une gamelle ? 
ce qui fait peur, donc, c'est le fait d'être banni s'il n'y a pas de RP actif.
et le flood immense et oh, la nouveauté, tout ça. 
mais puisqu'à la rentrée, c'est la fac, ce sera la continuité de la glandouille j'imagine.
en principe. 
(l'abondance de smileys me rend toute chose.)
et euh. merci  |
| | | | Bella Parker
Je viens dévaster ta pensée.
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:19 | |
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| | | | Enzo G. Stevenson
ADMINISTRATRICE ; Dieudesfougères
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:21 | |
| Je crois qu'on serait apte à faire une conversation rien qu'en smilies ici ; tu ne trouves pas . ca rend vraiment toute chose 
et donc ... quand ca arrive . JE SUIS FIERE . FIEREMENT CRUELLE , PERFIDE , MALSAINE. VILE , SADIQUE .. .enfin la pire admin qui soit quoi C'est que ceux qui ne comprennent pas qu'il n'y a pas de code, ils auraient au moins enregistrer l'entierté du reglement *bancal*
et donc, je ne suis pas aussi vache que pour te bannir . Je juge dans l'ensemble, si tu es active en général, flood, rp, etc . bien integrée -juste sadique pour le reglement, ca s'arrete là- 
et le flood immense ?
ET DONC, je fais aussi toujours des romans | |
| | | | Tara L. O'Collins
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:34 | |
| Bienvenue !  | |
| | | | Mànùeyla Dewèn
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:37 | |
| Bienvenue, monsieur le trentenaire très sexy  | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:49 | |
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| | | | Tara L. O'Collins
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:51 | |
| Oui oui, très sexy le Rodrigo. En plus j'adore Javier comme prénom, avec l'accent itout ♥ | |
| | | | Enzo G. Stevenson
ADMINISTRATRICE ; Dieudesfougères
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:54 | |
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| | | | October Elwood
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 20:58 | |
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| | | | Invité
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 21:04 | |
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| | | | Enzo G. Stevenson
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| | | | | Mànùeyla Dewèn
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 21:43 | |
| - Javier Pilar Ibarra a écrit:
Et Tara, et Manu... qué ? bon, Manu. (d'où ils viennent ces accents, c'pas du azerty ça) :
il est beau rodrigo, hein hein ?
et le tabac, combien de morts ? 
Mànùeyla, c'est beau les accents voyons, ça fait toute la créativité de ce prénom. Ouais il est beau, je vois pas qui c'est mais j'aime. Liseur de signature ^^ | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Mer 12 Aoû 2009 - 21:45 | |
| BIENVENUE.  |
| | | | Raphael J. Emingwen
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| | | | | Agnessaa Z. Ivanova
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Jeu 13 Aoû 2009 - 19:02 | |
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| | | | Invité
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Jeu 13 Aoû 2009 - 21:08 | |
| Bienvenuuue  Je suis FAN de ton style <3 J'adore et j'ai hâte de pouvoir lire la suite ;) |
| | | | Jude A. O'Collins
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Jeu 13 Aoû 2009 - 21:25 | |
| 28 ans ? Mais c'est que c'est un vieux !   Et un mexicain en plus ! Nous refiles pas ta grippe A  xDDD J'ai bien aimé le début de ta fiche, bon courage pour la suite  Et bienvenue sinon  | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Ven 14 Aoû 2009 - 19:24 | |
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| | | | Agnessaa Z. Ivanova
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| | Sujet: Re: pain in the ass reporter ; (building site) Ven 14 Aoû 2009 - 19:30 | |
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par contre je me shoote aux pavés, alors euh 
) bah je voulais être dans les premiers; alors je me sens naze 
. Et là je ferais mieux d'arrêter de raconter ma vie, mais il faut tout de même que je te souhaite la bienvenue et te félicite pour ton goût aux prénoms, j'adhère, j'adule, tu gères. Bon courage pour la suite de ta fiche 
