URBAN . LEGEND
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

 

 SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
The Legend

The Legend


Nombre de messages : 143
Age : 31
Date d'inscription : 17/08/2008

SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Empty
MessageSujet: SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs   SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Icon_minitimeSam 2 Mai 2009 - 18:21

      La maison des horreurs
        « Scenario collectif no.6 »


Citation :
Lorsque le week-end arrive enfin, que faire pour se détendre ? Pour s’amuser et peut-être même oublier cette légende ? La réponse vous vient alors ; la fête foraine. Vous y passez alors une grande partie de votre journée. Entre manèges, sucreries, stands de tirs. Mais voilà que vous parvenez devant une grande maison enlaidie à l’excès. Une maison de laquelle vous parviennent des cris. Vos regards se croisent, vous n’avez pas peur. Vous ne croyez pas à cette légende. Vous avez bien envie de le prouver à vos camarades d’ailleurs. Et c’est ainsi que vous pénétrez dans la maison des horreurs. Mais si l’obscurité qui vous entoure abritait autre chose que des nappes de faux sang et de squelettes en plastique ? Et si le vent glacial qui vous frôlait n’était pas le résultat de quelque aération ? Alors…toujours aussi téméraires… ?

      PARTICIPANTS


  • Emerson D. McRivers
  • Elliot L. Thomson
  • Kate D. McDawn
  • Anthony J. D'Isanto
Revenir en haut Aller en bas
https://urban-legend.forumactif.org
Invité
Invité




SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Empty
MessageSujet: Re: SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs   SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Icon_minitimeMar 5 Mai 2009 - 5:14

SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Willa910
« Celui qui n'a pas peur n'est pas normal ;
ça n'a rien à voir avec le courage. » Sartre




    « Elle tourne, toujours au même rymthe, s'arrêtant seulement pour prendre ceux qui veulent voir le monde d'en haut, d'une autre persperctive.Similiaire à la vie, elle continue d'avancer chaques secondes un peu plus mais pourtant elles sont différence.L'une on la choisis par choix, dans l'autre, on nous pousse à l'intérieur sans avertissement.De l'une nous pouvons sortir alors que la frousse nous prend et l'autre nous inquiète un peu plus à chaque fois.Alors qu'une nous empêche de tomber, l'autre nous permet de nous engouffrer jusqu'à la fin.Tout est artificiel et magie dans cette endroit, mais jusqu'à quel point ? Et si vous vous laissiez prendre au jeu à votre tour ? Cours avant qu'il ne soit trop tard, ici n'importe quoi pourrait te surprendre, mais je n'ai jamais eu peur des méchants clowns ou des squlettes, voilà tout ce qu'il y a à savoir. »

    Un des seuls moyen pour raviver ses souvenirs d'enfance le temps d'une journée, est de participer au grand amusement qu'est la fête foraine.Retrouver l'odeur de la barbe à papa, les cris d'enfants émerveillés ou ceux apeurés provenant des montagnes russes, les ballons multicolors aux poignets des bambins, les dizaines stands de tir qui nous font cadeau de peluches démesurées, l'amusement que nous donnait la naïveté des temps anciens.Emerson idolatrait le carnaval dans sa jeunesse.Elle sudoyait ses parents chaque week-end dans l'espoir de monter un des chevals en bois cirés du carrousel qui projettait sa musique enfantine dans tout le site d'amusement.Il n'était donc pas surprenant d'apercevoir l'adolescente à la fête foraine en cette journée de printemps.Pourtant cette sortie qualifiée généralement de "familiale" ne caractérise pas un adoucissement du train de vie de la jeune étudiante en économie.La veille s'était déroulée comme à l'habitude, c'est-à-dire une longue nuit remplies d'alcool, quelques souvenirs flous et un réveil plutôt migraineux en ce samedi matin.Cependant, la demoiselle sentit à son levé une envie incroyable de manger des pommes d'amour, de relever la loi de la gravité avec un tour sur des rails rouillées.Elle se sentait tout simplement nostalgique.On veut parfois échapper au future qui fonce sur nous à pleine vitesse, en se replongeant dans le passée, oublié le présent et tous ses problèmes en repensant à hier.On veut fuir ce qui nous faire peur.Depuis son arrivée à Greenville il y a un peu moins d'un an, la jeune femme contrôlait plus que bien ses émotions envers la légende, mais ces temps-ci, l'inquiétude montait de plus en plus dans la ville des malheurs où plusieurs évenements étranges avaient vu le jour.

    Par contre, où serait le plaisir d'atteindre les limites de la peur sans avoir quelqu'un avec qui les partager ? Nulle part, justement.Emerson n'est pas une grande solitaire, c'est donc pourquoi qu'elle se rendit à la fête foraine acompagnée de Kate, sa meilleure amie et aussi d'Anthony et d'Elliot.Ils auraient surement jamais penser s'amuser dans des attractions cet après-midi, pourtant ils étaient bien là suite à la folie enfantine passagère de l'adolescente.Étant la plus jeune du quatuors, elle avait pris l'initiative de cette sortie en hommage à la fête foraine.Je vous l'accorde, la raison de l'âge ne peut être le point déclancheur de ce moments, car petits et grands s'amusent sur la grande roue ou teste leur courage sur le grand huit, mais il y a un jour où l'alcool et les fêtes vous satisfait plus que les sensations fortes que procure les attractions.

    Après des tonnes de sucreries, plusieurs tours de manèges et quelques essaies aux stands de tir, le groupe parti en quête d'une nouvelle attractions dans les quelques-unes non expérimenté par ceux-ci qui restaient à la fête foraine de Greenville.Cela devait bien faire des heures qu'il étaient là, à tourner en rond dans l'espace confinée du site de fête et pourtant aucun d'entre eux n'avaient encore signaler le désir de partir.Pour sa part, Emerson s'amusait comme une folle.Et c,était bien le cas de le dire.Elle criait de frousse dans les manèges, mangeait de la barbe à papa en quantité démusurée depuis son entrée et riait aux éclats.Elle s'amusait, c'était l'important.Ils continuèrent leur recherche losqu'ils tombèrent sur une maison, surement celle qui jouait le fabuleux rôle de maison hantée.La jeune adolescente, n'avait jamais vu une habitation aussi enlaidie que celle-ci, elle était digne des plus grandr filmr d'horreur.Il était même surprenant qu'elle tienne encore debout tellement le temps n'a pas eu pitiée d'elle.La peinture est écaillée, on peut presque que dire qu'il ne reste que des vieilles planches moisis, les carreaux sont cassée à plusieurs endroits et la seul chose perceptible à l'intérieur est noir, personne ne pouvait deviner ce qu'elle cachait.N'importe qui aurait pris la fuite en croisant cette horreur sur son chemin, pourtant les quatres étudiants restèrent sur place, se regardant longuement.Ils avaient bien une idée derrière la tête...

      Emerson - « Qui est cap de venir avec moi à l'intérieur ? »


    Elle était prête à affronter les squelettes de plastique et les fausses toiles d'araigné, car tous savaient bien que cette maison était seulement une illusion de peur.Ils était dans une fête foraine, toutes les sensations étaient au rendez-vous.Ils chechaient une nouvelle aventure, et bien ils l'avaient trouvé.Ils pouvaient toujours reculer, mais le défi était lancé.Quelqu'un de censé aurait refuser la propositon de la brunette pourtant tout dans leurs yeux indiquait le contraire.Ils étaient téméraires, forts, courageux et surtout ils ne croyaient pas en cette légende, alors que pouvait-il arriver ?




Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Empty
MessageSujet: Re: SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs   SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Icon_minitimeDim 10 Mai 2009 - 18:57


    ELLIOT « La fête foraine ? Mouais. Va pour la fête foraine. T'façon c'est ça ou j'passe l'après-midi avec l'autre blonde là. T'sais, celle qui s'prend pour ma p'tite amie. »

    Elliot eut tôt fait de décider son programme de l'après-midi. Et pour cause, cette fille là, cette blondasse, il ne la supportait plus. Parce qu'une fois, il avait eu le malheur de coucher avec elle et de lui laisser une rose sur l'oreiller avant de s'éclipser le lendemain matin, elle s'imaginait vivre le grand amour, ce qui était, il faut le dire, bien loin d'être le cas. Il s'en était amusé un certain temps, à la rendre folle, à la « tromper » à tour de bras, à écouter ses multiples crises de jalousie, à faire semblant de regretter. Mais au bout de quelques semaines, le jeu s'essoufflait et lassait le jeune garçon, qui avait constamment besoin de nouveauté, de changement. Il s'était donc mis en tête d'éviter … Carole ? Caroline ? Peu importait dans le fond. Tout ce dont il se souvenait, c'était que cette déesse avait des mensurations tout ce qu'il y avait de plus délicieuses, des fesses parfaites, une poitrine magnifique et de grands yeux bleus naïfs qui le scrutaient et l'avaient rendu dingue. Seulement, tout ça ne lui faisait plus le même effet. Elle était devenue soudainement sans intérêt, inutile. Voilà pour quelle raison il n'eut aucun mal à choisir la fête foraine face à une après-midi en tête à tête avec elle. Il se saisit alors de son portable et ses doigts filèrent sur le clavier : « Salut C. Pas possible de se voir cet aprem'. Je t'ai trompée. Je suis désolé. Je veux pas te faire souffrir, vaut mieux pour toi qu'on arrête tout. Sans rancune <3 ». Voilà la façon qu'il avait de se débarrasser de ses conquêtes, ou tout du moins, celles qui s'intéressaient un peu trop à lui et qui ne possédaient assurément pas les qualités requises afin de concourir au titre de 'femme de sa vie'.

    Elliot n'avait pas tellement l'habitude de passer ses après-midi à la fête foraine. Il n'aimait pas vraiment cela, pour tout dire. Non que cela lui soit désagréable. L'odeur de barbe-à-papa qui venait lui chatouiller les narines, les cris des enfants, les pleurs, les rires, les jeunes demoiselles particulièrement séduisantes qui ne demandaient qu'à être draguée, cet endroit avait tout pour plaire au jeune homme. Pourtant, il n'y mettait que rarement les pieds. En fait, la raison en était simple. Pas de temps à lui. Jamais. Car ce qu'il préférait, dans les fêtes foraines, c'était s'y balader seul, déambuler entre les manèges, les maisons hantées et les machines à guimauves. Cela l'aidait assez à réfléchir, en fait. Il ne lui fallut cependant que quelques instants pour enfiler une veste et se joindre à ses amis. Enfin … Ami était un bien grand mot, dans le sens où Arthur n'était pas de la partie, et qu'en plus, Anthony était là. Génial, il risquait d'y avoir une certaine ambiance. Entre eux, c'était véritablement tendu, ces derniers temps, encore qu'il n'était pas certain que ce dernier s'en soit rendu compte. Mais il était clair qu'Elliot ne ferait pas une croix sur Tara par simple prétexte qu'elle sortait avec Anthony. Participait également la jolie Kate, une blondinette un peu trop farouche à son goût et qu'il avait bien l'intention de dompter. Quant à Emerson, l'initiatrice du voyage, il ne la connaissait pas assez pour émettre un jugement à son sujet, mais supposait qu'elle n'était pas méchante. Les quatre adolescents déambulaient alors, par un temps légèrement couvert, marchaient, discutaient, riaient. Nul besoin de dire qu'Elliot avait une bière à la main, cela va de soit.

    Soudain, Emerson s'arrêta, et resta ébahie devant une maison hantée des plus banales. Oh. Pourquoi pas. Il est vrai qu'Ellie avait eu son lot de maison hantée pour le moment, mais pourquoi se refuser un tel moment de plaisir alors même que la petite Kate était là ? C'est donc un sourire calculateur qui vint s'installer sur ses lèvres lorsque la brunette leur demanda qui aurait le courage de la suivre. Il fit un pas en avant, grimaça -sa blessure à la jambe n'étant pas totalement guérie- et se tourna vers les deux autres. Il ne lança qu'un vague regard à Anthony, dans lequel ne transparaissait ni animosité ni haine envers lui. De l'amusement, plutôt. Comme un défi à relever. Et ces deux-là, ils adoraient les défis, pas vrai ?

    ELLIOT « Allez. Ca peut être marrant. »

    Et comme il s'y attendait, Kate et Anthony ne rechignèrent pas, et tous les quatre s'engouffrèrent dans la maison, après avoir chacun payé leur place, sans la moindre idée de ce qu'ils y trouveraient. Étrange tout de même qu'ils soient les seuls à profiter de cette attraction. Emerson passait la première, Elliot la suivait de près, et Kate ensuite. Il ne put s'empêcher de s'approcher de la demoiselle avec un sourire qui le caractérisait assez bien, bien qu'invisible vu l'obscurité qui les entourait. Se distinguaient quand même les peintures atroces sur les murs, le sang séché, les cadavres de plastique, les araignées et autres gentillesses de ce genre.

Revenir en haut Aller en bas
Kate D. McDawn
Petite Gourmandise à la Crème
Kate D. McDawn


Nombre de messages : 894
Age : 30
PSEUDONYME : American Coxy
PLAYLIST : Justin Nozuka~ After Tonight
Date d'inscription : 04/03/2009

{ Catch The Myths }
{ AGE: 20ans.
{ AFFINTÉS:

SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Empty
MessageSujet: Re: SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs   SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Icon_minitimeVen 22 Mai 2009 - 21:28

Solitude grandissante. Un appel, un sursaut. Une invitation à la fête forraine. L'on ne peut qu'accepter, juste pour être accompagné, pour soulager sa conscience, rien qu'une journée, ne plus avoir peur de cette maison vide, de cette présence étrange, de cette forêt lugubre. Elle raccrocha, un sourire figé sur son visage. Elle n'allait pas être seule en cette journée, allait pouvoir se divertir, oublier. Oublier la légère douleur derrière la tête qui la ramenait à chaque instant à la réalité, lui rappelant son experience qu'elle ne retenterait plus jamais. C'est ainsi que, une heure plus tard, elle quitta la bâtisse, direction le centre ville. La fête forraine, un lieu qu'elle adorait. Des bons souvenirs s'étaient crées sur cette immense place, la faisait sourire quand elle y remettait les pieds. Kate revenait en enfance, comme la plupart des étudiants venant ici pour se lâcher. Là bas, elle retrouva Emerson, une très bonne amie, avec qui elle aimait passer des bons moments, rire comme elles le faisaient si souvent. Il y avait aussi Anthony, un autre ami. Elle le trouvait sympa, parlait de tout et de rien avec lui. Ils ne se voyaient pas si souvent qu'avec d'autre, mais s'aimaient quand même. Et puis, il y avait Elliot, jeune homme qu'elle trouvait très charmant, dont le visage lui disait quelque chose mais ne se souvenait plus où elle avait pu le voir avant de devenir ami avec. Il était très sympathique avec elle, la faisait rire. Mais elle le trouvait étrange, un peu trop... proche. Ses regards... Bref, ils étaient réunis et allaient enfin pouvoir s'amuser. La journée pouvait enfin commencer.

Les quatres étudiants passaient de manèges en manèges, s'arrêtaient parfois quelques instants aux stand de tir, faisant jouer les garçons pour voir s'offrir de gigantesques et douces peluches. Il y avait aussi les barbe à papa, immenses et délicieuses, fondant lentement sur la langue, délivrant son sucre rosé. On aurait pu les comparer à des morceaux de nuages à lesquels l'on aurait rajouté un simple colorant. Les rires affluèrent en cette belle journée. Les regards se levaient, admirant cette grande roue qui donne le vertige. Ils y montèrent et c'était comme si le temps s'arrêtait. Le paysage, la ville, magnifique. Des visages émerveillés, un silence incessant devant cette étendue magique d'arbres. Si l'on avait ignoré toute cette légende, les frissons ne seraient surement pas montés le long de leur dos, de leur échine, pendant qu'ils se rappelaient leur escapage dangereuse. Et puis, le tour se termine et les sourires reviennent, cachant cette peur. La promenade continue, entre montagnes russes d'où parvenaient les cris amusés des gens, et manège pour enfants, assis sur des chevaux qui nous faisaient rêver dans une enfance que l'on regrette surement. Les deux jeunes femmes riaient aux éclats, s'éclataient, oubliaient le passage de la forêt. Ils passaient un bon moment, ne s'ennuyaient pas. Ils marchaient toujours, racontant n'importe quoi pour faire rire l'assemblée. Kate se sentait bien en ce moment. Elle n'aurait jamais echangé cette journée pour rien au monde. Cette sortie, c'était ce dont elle avait besoin. Un rien pouvait la rendre heureuse.

C'est alors que, marchant toujours dans une direction inconnue, les jeunes gens tombèrent sur une maison. La maison hantée. Elle était tellement bien faite qu'on aurait pu dire qu'elle fut vraie. Les vitres cassées, les fausses toiles d'areignées parmis les réels, ce silence macabre qui vous donne des sueurs froides, cette porte d'entrée entrouverte qui ne vous donne pas l'envie de vous y aventurer ainsi que ces rideaux déchirées et ces tâches de sang. Elle avait l'air d'être sortie d'un film d'horreur. La maison hantée, dans une fête forraine, était toujours d'habitude l'attraction la plus fréquantée et pourtant, en cet instant, il n'y avait personne. Comme si elle les faisait tous fuir. Sauf eux, les quatres étudiants, qui regardaient cette maison, immobiles, muets. Kate en eut des frissons mais resta tout de même là, observatrice, admiratrice. Devant cette étrange bâtisse se tenait un vieil homme, debout, dont les rides les vieillissait encore plus. Si dérrière lui ne s'était pas tenue une petite table sur laquelle était posé des tickets, l'on aurait surement pensé que la vieille maison appartenait à cet homme. Un défi, un accord. Il ne restait plus qu'elle et Anthony, à qui elle jetta un coup d'oeil interrogateur. Elle avança d'un pas et regarda dans les yeux le jeune homme qui se tenait devant elle. Elliot.

    Kate « Je vous suis »


Un vague sourire se figa sur son visage, cachant la peur qui commençait à se réveiller en elle. Elle n'aimait pas trop cela, mais que diraient-ils si elle faisait sa trouillarde, si elle les lâchait? Ils allèrent acheter les billets et pénétrèrent à l'intérieur de la maison. Emerson fut la première à y rentrer, Elliot la suivait, lançant toujours des regards à la jolie blonde et ralentissant le pas pour se retrouver à ses côtés. La jeune femme lui fit un sourire avant de s'attarder sur la décoration qui les entourait. Plus vraie que nature. Et ils s'enfoncèrent, inconscients de cette présence qui les guettait, continuellement.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Empty
MessageSujet: Re: SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs   SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Icon_minitimeDim 31 Mai 2009 - 12:19

Anthony avait eut, ce matin là, une offre qu’il ne pu aucunement refuser en éternel adolescent qu’il était. Emerson, la cadette du groupe, s’était levée, probablement nostalgique, et avec une soudaine envie de sucrerie et de folies ce matin là. Ainsi, elle leur proposa, à Anthony et aux autres, de l’accompagner à la fête foraine. N'ayant rien de prévue... Il accepta avec joie.

Au départ, le jeune italien ignorait que son « bon ami » Elliot serait de la partie. Il fut d’ailleurs très surpris d’apprendre qu’il serait de la partie. Ce n’était pas vraiment le genre d'Ellie, le pirate à la jambe de bois… Néanmoins, contre toutes attente et malgré ses premières réticences puisque la relation « amicale » qu’ils entretenaient auparavant avait bien changé depuis leur retour en ville et la nouvelle relation de Tara et Antho, l’après midi se passait merveilleusement bien. Certes il faisait, cependant, frisquet à l’extérieur et le temps était couvert… mais les quatre jeunes s’amusaient et ils n’y accordaient pas une grande importance. Seul quelques gouttelettes de pluie auraient pus les arrêter. Quoi que… Non, à moins d’une énorme averse, ils n’auraient été que difficilement arrêtable. Rien n'aurait vraiment pu leur gâcher la journée. Ils étaient arrivés depuis des heures déjà. Ils avaient ris et discuter. Emerson était retournée en enfance et Anthony ne regrettait aucunement d’être venu. Le simple fait de la voir ainsi le satisfaisait. Il en était de même pour Kate qui se prêtait volontiers au jeu. Elles étaient belles à voir.

C’est donc après avoir essayer la grande majorité des manèges, s’être essayer à plusieurs stands dont celui de tir, où Ellie et Antho s’étaient fait un plaisir de compétitionné l’un contre l’autre pour gagné quelques peluches pour Kate et Emerson - compétition que l'italien avait remporté haut la main d'ailleurs SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs 923137 - ainsi que dévorés toutes sortes de sucreries et bu de la bière fraîche du coin, dans le cas des garçons, qu’il se remirent en marche cherchant une nouvelle attractions. Ils cherchaient, en fait, un peu en vain puisqu’ils les avaient déjà toutes expérimenté... Toutes sauf cette maison hantée, aux allures des plus réalistes, sur laquelle ils venaient de tomber par hasard après avoir tourner en rond de longues minutes.

Ainsi c’est devant cette vieille et effrayante maison, où il n'y avait pas, à l'exception d'un vieil homme, de présence humaine, que la cadette s’arrêta, admirant la demeure qui semblait si réaliste. Elliot, Kate et Anthony s’arrêtèrent à leur tour alors que l’adolescente leur partagea son désir de la visiter. Antho en observa les détails. La peinture toute écaillée, les planches pourris, les carreaux cassés, les toiles d’araignées… Puis il se tourna vers Elliot qui, un sourire qu’il connaissait bien aux visages, accepta l’offre de la brunette. II fit un pas dans sa direction puis se retourna vers Anthony qui lui sourit, comme pour lui signifier qu’il acceptait le défi qu’il lui avait implicitement lancé. Après tout, il n’y avait rien à craindre. Pourquoi refuserait-il d’entrer dans cette cabane si bien décorée… Après ce qu’ils avaient vécues, tous, dans cette maudite foret, ce n’est pas une attraction de fête foraine comme celle-là qui le ferait reculer. C’était même un incontournable!

Kate lança un regard interrogateur à l’étudiant qui lui sourit avant de prendre la parole, suivant Kate, et de les rejoindre à son tour.

«Qu’est-ce qu’on attend ? Allons y… »

Ils achetèrent chacun leur billet puis ils entrèrent à tour de rôle avant que le vieil homme ne referme la porte grinçante derrière eux. Emerson fut la première à entrer. Puis Elliot et Kate. Anthony fut finalement le dernier, et non le moindre, à y pénétrer. La pièce dans laquelle ils se trouvaient était tellement sombre qu’ils ne pouvaient parvenir à distinguer que quelques détails. Ils n’arrivaient à voir que les étranges peintures accroché aux murs, troué à certains endroits et tâché de sang. Il y avait également quelques, très habituel, cadavres en plastiques et toiles d’araignée. Ce qui eut en fait, l’effet contraire que celui désiré sur Anthony… Au lieu d’en être effrayé, il en était plutôt amusé. Peut-être à tord… Puis alors que Ellie ralentissait le pas pour rejoindre sa nouvelle proie, Anthony l'accéléra pour rejoindre sa petite sœur de cœur qui se trouvait en tête de file de ce quatuor…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Empty
MessageSujet: Re: SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs   SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Icon_minitimeJeu 4 Juin 2009 - 5:16

    L'heure tournait et Emerson ne semblait pas s'en rendre compte. Elle avait le même sourire enfantin depuis son arrivé, celui qui n'a jamais quitter ses lèvres rosées. Elle s'amusait. Elle avait vécu toutes les sensations que lui procurait la fête foraine. Des frissions que lui ont transmis les montagnes russes à la joie de se voir offrir des peluches par les garçons qui se faisaient compétiton pour savoir lequel aurait le plus de succès aux nombreux stands de tirs où ils s'étaient arrêter. Emerson s'était méritée un lapin rose, lequel elle tenait par les oreilles. Elle ressemblait à une fillette qui traîne avec elle son ourson. Mais c'était bien ça l'effet de la fête foraine, elle vous laisse retomber en enfance. On oubliait les problèmes qui nous pèsaient, la légende qui opresse notre quotidien. C'était sûrement le plus bel après-midi que la jeune femme passait depuis qu'elle s'était installée à Greenville. Le quatuor de promenaient, laissant échapper des fous rire ici et là. Qu'est-ce qui pourrait les arrêter ?

    Ils l'avaient trouver en retrait, dans un coin isolé du site qu'offrait la fête foraine, loin des cris et des éclats de rire des enfants. Elle semblait ne pas être à sa place parmis ces engins de métal et de vis. Emerson imaginait qu'une habitation de la sorte serait plus crédible dans une forêt déserte, au travers des arbres. Cette maison ne pouvait être là. Elle semblait si réelle. La jeune brunette croyait qu'un jour, il y a longtemps certes, elle a déjà été habiter. Elle paraissait avoir un passé, une histoire. Tous ses vitraux cassés, sa peinture défraichie et disparu, les frissons qu'elle procurait ne pouvait revéler du hasard. Peut-être avait-elle été le témoin de terribles drames ? Peut-être avait-elle déjà vu ce " je ne sais quoi " qui rôdait dans la petite municipalité ? Peut-être tout cela se révellait être de l'imagination de l'adolecente ? Même si la dernière option était la plus plausible, l'adolescente ne démontrait pas de la peur avec ses dernières réflexions. C'était bien tout le mystère qui entourait la maison " hantée " qui la rendait si fascinante aux yeux de la jeune McRivers. Et si elle était seulement là pour attirer l'attention et faire peur aux plus froussards d'entre nous ? Dans ce cas, ils pouvaient se vanter d'avoir réussi, car cette mascarade, toutes personnes naïves y croiraient. Retenez bien naïve cependant, pour les autres qui comptaient si bien Emerson dans leurs rangs, c'était artificiel ou même totalement attirant. Soit qu'il n'y aura pas de fantôme, soit vous souhaiter faire la connaissance d'un d'entre eux. Soit vous avez peur de pénétrer ses murs, soit vous avec peur d'être déçu d'y trouver rien pour satisfaire votre envie de sensations fortes. Tous ont peur, mais pas de la même manière.

    Emerson attendait impatienment la réponse des trois autres étudiants, mais à voir leur sourire ou leurs yeux étincellants, ils acceptaient le défi lancer par la cadette. Ils étaient tous courageux, ils avaient tous passer au travers un séjour dans un bois suspect, ils avait confiance. Ce n'était pas une maison au décors à faire peur qui allait arrêter leur goût de découvrir ce que ses planches de bois dégarnis leur cachaient. Ils achetèrent des leurs entrées à un vieillard qui semblait jouer le rôle du " gardien " de la maison. Il ne placa pas un mot, prenant seulement l'argent que lui les étudiants, leur donna leur billet et les laissa d'engouffrer à l'intérieur avant de refermer la porter, voler le mince filet de lumière qui pouvait les aider à s'orienter dans ce labyrinthe d'obscurité. La porte grinca. Emerson se retourna rapidement. Les effets spéciaux été réussis, elle n'avait rien à redire. Elle avancait prudemment comme bonne première de file. Un pas trop violent pouvait être dangereux, elle ne savait pas où elle s'aventurait et les lieux ne faisait rien pour la rassurer. L'air était humide, froid et apportait avec lui une odeur de moisie. Les planches craquait sous son poids et ceux des autres. Le noir était total et le silence était lourd. Elle bougeait des toiles d'araignée, en plastique ou de véritable, peut-être même les deux. Il était certain que cette attraction a été visité la dernière fois il y a longtemps, trop longtemps. Des pas s'accélérèrent pour ralentir à ses côtés, ceux d'Anthony. Il laissait Kate et Elliot à l'arrière.

      Emerson - « Tu avais peur de rester seul derrière ? Je peux te passer monsieur lapin si tu veux. »

    De l'humour dans une maison hantée ? C'était paradoxal, pourtant l'adolescente ne pu s'empêcher de taquiner son bon ami. Elle lui montra sa peluche rose pour appuyer ses dires avant de lancer une rire enfantin. Celui-ci se répercuta dans le vide de la maison pour y faire une écho. Comme si il n'y avait rien autour d'eux, un gouffre. Il devait y avoir des murs, des objet pour arrêter le son, pourtant il s'échappait. Ils étaient où au juste ?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Empty
MessageSujet: Re: SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs   SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
SCENARIO COLLECTIF NO.6 ; La maison des horreurs
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» no.6 ; La maison des horreurs
» SCENARIO COLLECTIF NO.5 ; Que justice soit faite
» SCENARIO COLLECTIF NO. 8 ; Not alone
» SCENARIO COLLECTIF NO.5 ; Ouija

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
URBAN . LEGEND :: " GAME OVER ; :: » Cimetiere-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser