URBAN . LEGEND
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 Topic Collectif •• And now, are you... Afraid?

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Julian D. Bratford

Julian D. Bratford


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MessageSujet: Topic Collectif •• And now, are you... Afraid?   Topic Collectif •• And now, are you... Afraid? Icon_minitimeVen 11 Sep 2009 - 21:57

Topic Collectif •• And now, are you... Afraid? Chaceicone2 && Topic Collectif •• And now, are you... Afraid? 01 && Topic Collectif •• And now, are you... Afraid? Kings101_17 && Topic Collectif •• And now, are you... Afraid? 2zozt6c
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And Now, Are you... Afraid?
Alexis && Katheryna && Julian && Anthéia



Citation :
La nouvelle était tombée, un couvre feu avait été instauré sur Greenville. Après les événements récents, les autorités préféraient prendre le moins de risques possible quant à la sécurité des habitants.
Chose qu'il aurait peut ètre fallu rappeler à quatre jeunes se trouvant assez malins pour braver les interdits et tenter de prouver que la soit disant légende entourant la ville n'était rien d'autre qu'une supercherie. Comme si les gens pouvaient vraiment ètre possédés, comme si les esprits existaient. Soyons sérieux, il ne s'agissait là que d'histoire de bonnes femmes trouillardes. Vraiment? Mais ne vous a t-on donc jamais dis que la plupart des légendes se basaient sur des faits reels?

Pourquoi les jeunes ne croient ils jamais ce qu'on leur dit? Pourquoi faut il qu'ils essaient toujours de contourner les règles?
Une chose est sure, chacun d'entre eux se souviendra de cette nuit, chacun verra sous un oeil nouveau cette légende dont ils auraient du se méfier des le début.

    ♠ Julian D. Bratford
    ♣ Alexis S. Morrison
    ♥ Juliette E. Macdonald
    ♦ Anthéia C. Bosseli


Dernière édition par Julian D. Bratford le Jeu 17 Sep 2009 - 16:21, édité 2 fois
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Julian D. Bratford

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MessageSujet: Re: Topic Collectif •• And now, are you... Afraid?   Topic Collectif •• And now, are you... Afraid? Icon_minitimeVen 11 Sep 2009 - 22:14

    C'est toujours quand l'on pense que les choses ne peuvent plus empirer que justement, elles empirent. Ces derniers jours, tout s'emmélait dans ma tète, les choses perdaient tout leur sens. Et, plus j'essayais de régler mes problèmes, plus ceux ci semblaient s'aggraver. Mais au fond, je n'étais pas bien sur de vouloir essayer, pas bien sur de vouloir encore me battre pour garder la tète hors de l'eau. A quoi bon de toute facon? Pour qui devrais je me battre? Pour sauver les apparences? Et bien, je commencais a en avoir sérieusement marre d'essayer de sauver les apparences. Et puis, de toute facon, plus on se débat pour tenter de sortir la tète de l'eau, plus l'on s'enfonce. C'était un fait.

    Alors, ce soir, je voulais juste... Cesser de me débattre, oublier pour un temps tous les tracas de la vie quotidienne, m'amuser. Comme quasiment tous les soirs, c'est vrai mais, je devais bien avouer que depuis que j'avais revue certaines personnes de mon passé, je ne ressentais plus vraiment l'envie de m'amuser comme à mon habitude, je n'avais pas envie de sexe facile. Je n'avais envie de rien, sinon de boire jusqu'à n'en plus pouvoir. Je voulais boire pour oublier. Oublier qui j'étais, oublier ceux qui m'entouraient, oublier la vie elle mème. Malheureusement pour moi, comme chaque vendredi soir, je me trouvais au domcile familiale, a écouter mon père me faire la morale sur mes trop nombreuses absences en cours, sur le fait que je devais me responsabiliser d'avantage. J'avais juste envie de lui dire de se la fermer, envie de lui dire que je n'en avais rien a foutre de ce qu'il pouvait bien me dire. Mais, je n'en avais pas la force. Pas la force de me rebeller, pas la force d'essuyer les coups, pas ce soir. Alors je restais là, bien tranquille sur l'une des chaises de la cuisine tandis que mon paternel tournait autour en agitant ses mains dans tous les sens. C'était dingue comme il était doué pour cela. Hurler après les gens, leur faire la morale. Alors je l'écoutais, pensif et silencieux. Ses mots glissaient sur moi. Je n'y prétaient plus vraiment d'attention depuis un mot. Je me moquais royalement de ce qu'il pensait de mes faits et gestes, tout ce que je souhaitais était qu'il ait honte de moi, honte du fils qu'il avait engendré et éduqué, je voulais qu'il craigne pour sa réputation et, je réussissais pas trop mal mon coup.

    Mes bras croisés contre mon torse, je laissais échapper un petit soupir, cela devait faire quoi? Vingt minutes qu'il parlait tout seul comme s'il était en pleine réunion, comme si j'étais l'un de ses associés qu'il devait convaincre d'accepter ses idées. Mais, je n'étais pas l'un de ses employés, ni l'un de ses clients ou associés et, quoi qu'il me dise de faire, je ferais l'inverse.C'était dans ma nature et, il le savait. Il savait pertinnement qu'il usait sa salive pour rien mais, il le faisait quand mème. Parcequ'il savait très bien qu'il ne pouvait pas lever la main sur moi sans la moindre raison. Bientot, il commenca a hausser le ton. Le fait que je soupire ne lui avais pas plu. Mon air nonchalent et je m'en foutiste n'arrangeait pas les choses. Je sentais que l'instant fatidique n'allait pas tarder. Et, je ne chercherais pas à l'éviter. De toute facon, je ne l'écoutais deja plu. Soudain, la chaise fut tirer en arrière. Surpris, je sursautais, me trouvant nez à nez avec mon père, énervé. Je ne mouftais pas, me contentant de soutenir son regard. Je savais qu'il était moins fort que moi à ce jeu là. Je savais qu'il ne tarderait pas à perdre patience. Je savais qu'il allait lever la main dans les minutes, voire dans les secondes qui suivraient. Mais, je ne baissais pas les yeux pour autant. Il ne baissait pas les yeux non plus et, je pouvais lire la haine monter en lui. Je pus deviner ses poings qui se serraient. Son bras prèt a s'élever pour venir attirer sur mon visage. Trois... Deux...

    La sonnerie de la demeure familiale se mit a retentir. Mon père sursauta, étant surement quelque peu déconnecté de la réalité puis, il se détendit brutalement, prenant une profonde inspiration. Son regard était toujours posé sur moi mais, la colère n'était plus là. Seule la deception subsistait. C'est alors que la domestique débarqua dans la cuisine.
    « Monsieur Julian, votre ami monsieur Morrison est là. Il demande à vous voir! »

    Je crois que c'est ce que l'on appelle ètre sauvé par le gong. Je n'attendais pas d'avantage, je bondissais de ma chaise tout en lancant à mon père un regard à la fois noir et moqueur, le narguant franchement. Mais, je préfèrais ne pas m'éterniser et attrappais ma veste sur le canapé en passant par le salon. Suite a quoi, j'arrivais enfin dans le hall principal où Alexis attendait. Je n'attendais pas de savoir ce qu'il voulait, je l'entrainais dehors tout en enfilant ma veste. Il fallait avouer que pour le coup, il venait de me sauver la mise.
    JULIAN _ « Devine quoi? Je te dois un verre » Le jeune homme esquissa un sourire tout en me suivant à l'éxtérieur.

    Quinze minutes plus tard, nous entrions dans un bar. Il ne fallu pas longtemps avant qu'Alexis ne remarque une jeune femme installée à une table non loin de l'entrée. Je me retournais pour suivre son regard alors qu'il m'expliquait qu'il s'agissait d'un ancien flirt qu'il n'avait pas revue depuis quelque temps. Mais, je ne lui prétais pas attention à la fille en question, mon regard s'étant deja posé sur la jeune femme à ses cotés. Qui a dit que je n'avais pas la tète a jouer les séducteurs ce soir? A croire que mes humeurs sont bien plus changeantes que je ne le croyais. Alors qu'Alexis hésitait entre rejoindre la fille en question, une certaine Kate quelque chose, et se diriger vers le bar comme si de rien n'était, je le retenais par le bras, un léger sourire au coin de mes lèvres. Quelque chose venait de faire tilt dans mon esprit, je venais d'avoir l'idée du siècle. Ou plutot, mon esprit malsain venait de trouver l'idée la plus stupide que je n'ai jamais eue. Selon les points de vue... Toujours est il que j'exposais l'idée à Alexis.

    JULIAN _ « Dis, ca ne te tente pas un petit flirt au milieu des bois? Nous, ces deux jeunes femmes et un peu d'alcool? J'affichais un large sourire alors qu'Alexis tournait la tète vers moi, me regardant comme si je parlais chinois. Je levais les yeux au plafond avant de reprendre ma phrase.
    « Bon sang, faut toujours tout t'expliquer à toi. Tu sais, les conneries que l'on raconte sur les bois, la légende et tous ces bonniments. Les nanas, ca les fait flipper alors, imagines un peu la situation. On amène ces deux là à l'orée du bois, on essait de les convaincre que la légende et reelle, histoire de les faire flipper un peu. Et hop, le tour est joué, on a plus qu'à les ceuillir. Et crois moi, cette nana là, à coté de ta copine, je compte bien me la faire et ce, des ce soir!
    Je ne laissais mème pas le temps à Alexis de réagir, ni mème de me répondre, je lui assenais un coup amical derrière l'épaule tout en affichant un sourire fier, juste avant d'ajouter.
    « Toi, tu vas faire ton tombeur avec les nanas et moi, je m'occupe de ramener à boire!

    Aussitot dit, aussitot fait. Je laissais Alexis en plan, lui confiant la mission de convaincre les filles de nous accompagner, et continuais ma route vers le comptoir tout en sortant mon portefeuille de la poche arrière de mon jean. Une fois à destination, je sortais deux gros billets et les posais sur le comptoir, juste devant le barman, histoire de passer commande. Il m'apportat alors les deux bouteilles de vodka demandées et, je fis volte face, tout fier de mon plan. Pour le coup, j'étais plutot sur de moi, sur de mes chances avec cette fille, sur que tout se passerait pour le mieux une fois que nous serions à destination. Après tout, la moitié des filles du coin se mettaient a flipper pour un rien une fois la nuit tombée depuis que les rumeurs autour de la légende s'intensifiaient. Pourquoi n'en profiterais je pas un petit peu moi? Avec toutes ces histoires, nous étions obligés de nous enfermer le soir, avec interdiction formelle de mettre le nez dehors, comme des gamins. Et tout cela avait le don de m'énerver. Bon sang, ce que j'aurais donné cher pour faire taire tous ces imbéciles qui ne parlaient plus que de ca, qui flippaient de voir leur voisin venir les tuer pendant la nuit. Tous des paranos totalement conglés. Comme quoi vivre dans une petite ville, ca ne rend pas malin, ca vous ramollit le cerveau plus vite que prévu. Non mais c'est vrai quoi, il fallait vraiment ètre débile pour croire que des gens pouvaient ètre possédés. Que des esprits rodaient dans ces bois, se rapprochant de la ville petit à petit, prenant possession de nos corps, nous poussant à commettre des actes contre nos volontés. J'admirais celui qui avait eu la brillante idée de masquer ses crimes grace à la légende. Les gens étaient si crédules ici des qu'il s'agissait de cela. Mais quand bien mème il y aurait vraiment un tueur en série qui roderait dans les environs, que craignions nous? Nous étions quatre dont deux mecs plus ou moins musclés et, pas assez trouillard pour partir en courrant au moindre bruit suspect. D'ailleurs, ce soir, nous serions les rois de la soirée, nous allons démontrer à quel point la gente masculine était d'un naturel gentleman, combien nous étions protecteurs et attentionnés... Oui, c'était décidé, ce soir, j'allais faire d'une pierre, deux coups, séduire et démontrer combien les gens du coin se trompent sur la légende.

    Tout en réfléchissant, j'avais rejoint le petit groupe formé par Alexis, sa groupie et l'autre fille. Les présentations furent vite faites. Comme prévu, Alexis leur avait deja exposé notre plan pour la soirée -mon plan en l'occurence. Visiblement, son amie Katheryna semblait réjouie à l'idée de passer du temps avec lui. Et l'autre fille, Anthéia, semblait d'avantage réticente mais d'avantage curieuse de démontrer que la légende entourant Greenville n'était que pure invention. Il ne fallut pas parlementer bien plus longtemps alors que j'aurais cru que nous aurions du mal à les convaincre de nous accompagner. Mais, je n'allais pas m'en plaindre. Quelques minutes plus tard, nous étions a bord de la voiture d'Alexis, direction la lisière du bois... Quand la voiture s'arréta enfin a destination, j'échangeais un regard avec mister Morrsion avant d'ouvrir la portière afin de descendre.
    JULIAN _ « T'as pas intéret à me laisser en plan à la première branche qui craque mon grand!
    Suite a quoi, je lui adressais un large sourire, sur de moi puis, je sortais du véhicule.

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