A history of violence? Yes, I like. [Terminé]

Qui a nourrit le Shâ?

Je m'approchais a pas de loup de la silhouette immobile sur le canapé, j'avais peut-être six-ans et j'avais surtout faim. Vous connaissez cette sensation? Peu de gens la connaisse vraiment, beaucoup le prétendent, mais c'est rarement la vérité. La vrai faim c'est quand cela fait trois jours que vous n'avez rien avalé de solide, vous sentez que votre estomac va exploser tant il n'est remplit que d'air, votre tête tourne et vos mouvements son moins fluides. Tout se fait dans une lenteur inimaginable alors que vous êtes pressé, pressé de retrouver un vieux biscuit rassis sous un coussin du canapé, pressé de retrouver une pomme a moitié rongé par les vers, non franchement la vrai faim c'est quelque chose d'insoutenable et d'obsédant.
J'avais six-ans, encore une pauvre gamine aux cheveux blonds crasseux et en batailles, aux fringues délavés et trop grand parce qu'ils appartenaient a un de mes grand frère quand il avait approximativement mon âge. Moi je connaissais déjà cette sensation, c'était un manque auquel j'étais habitué. Et justement il fallait le combattre, je ne pouvais pas crever sur la vieille moquette poussiéreuse du salon du minuscule appartement dans lequel on vivait.
J'étais déjà une battante a cette âge, ça faisait ma fierté, mais bon comme je le disais quand on crève de faim on oublie ce que veux dire fierté.
Mon frère avachit sur le canapé ronflait voluptueusement, la vérité c'est que ce connard c'était bourré la gueule toute la nuit avec le peu de fric qu'on avait et qu'en rentrant il s'était effondré sur le vieux canapé sans prêter attention à sa petite sœur.
Ça aussi j'y étais habitué, mes frères se foutaient pas mal de ma gueule et ils pensaient rarement à quelque chose vu qu'ils étaient défoncés 24heures sur 24.
En réalité ils ne rentraient a l'appartement que lorsqu'ils ne tenaient plus debout et qu'ils avaient besoin de repos, ils restaient deux ou trois jours a dormir non-stop puis repartaient en tremblant, être en manque une sensation que je ne découvrirais que plus tard.

Son cadavre comateux étalé sur le canapé trop petit et trop usé pour être confortable me ramenait a des instincts que peu de personnes connaissent, s'il n'avait pas été la pour ramener quelques fois un beignet je lui aurait surement bouffé une main, juste pour voir le goût et combler un peu mon ventre maltraité par les crampes. Mais Jean se montrait parfois gentil, quand il n'était pas trop défoncé, c'était le seul de mes frères a penser à nourrir le Shâ, le chat dans l'histoire c'est moi.
Je m'approchais donc silencieusement de lui, peut-être quand s'effondrant sur les coussins poussiéreux il avait oublié de me donner mon dût, si ça se trouve la confiture de framboise se déversait à l'instant même sur le tissus moisit. L'idée faisait gargouiller mon ventre un peu plus, Jean se retourna rendant ses poches inaccessible a mes petits bras, le crétin!
Et alors? Je n'allais pas rechigner pour fournir un effort supplémentaire, cela faisait deux jours que j'étais ici, hier maman était partie gagner de l'argent pour ses médocs et elle m'avait demander de pas emmerder mon monde et de poser sagement mon cul sur la moquette grisâtre en attendant son retour. Elle ne rentrait pas et j'avais la dalle, de plus je n'enfreignait pas vraiment la règle puisque mes pieds touchaient encore la dite moquette.
Bientôt je fus devant l'immonde corps malodorant de mon frangin, qui ronflait avec allégresse.
S'il avait vu venir ce que je lui réservait il aurait abattu son point sur mon petit crâne blond, mais il pionçait et donc il ne voyait rien venir.
Je bondis sur le corps protégé par une épaisse veste noirâtre, il lâcha une plainte roque parce que mon pied s'était écrasé sur son entre-jambe.
Je me soulevait le regardant avec un sourire triomphant, mon pied toujours en appui sur cette zone sensible, j'avais rarement recours a la violence mais quand on a la dalle on change. J'avais ce regard hautainement supérieur de ceux qui ont gagné une bataille, mais la guerre était perdue d'avance.

Misha: J'ai faim s'il te plait, lâchais-je en fondant en larmes.
Jean: Bordel Shâ dégage, grogna t-il en la faisant tomber par terre.
Misha: Jean... Jean s'il te plait... pleurnichais-je agenouillé devant le canapé.
Jean: Va chier! T'es la même emmerdeuse que maman. S'il te plait Jean, c'est tout ce que vous savez dire? Mais Jean a ses propres affaires va voir ailleurs si j'y suis.
Misha: S'il te plait... murmurais-je en me laissant tomber sur la moquette.
Jean: Mimi? Mimi?! Bordel t'es conne ou quoi? Allez debout la gosse, dit-il.

Sa voie lointaine semblait soudain inquiète, mais en même temps mes yeux ne voyaient que du noir et quelques étoiles scintillantes. Rien de franchement agréable a regarder, ça me donnait le vertige.
Je sentis sa main se poser sur ma gorge, bien que j'en étais certaine il n'avait pas prit la peine de se lever. Pourquoi l'aurait-il fait? Il me croyait morte et mon cadavre aurait pu attendre la fin de sa sieste. Il poussa un soupire en comprenant que je faisais simplement un malaise, fallait dire que je lui faisait le coup presque a chaque fois.
Le froissement du papier, une odeur sucré me chatouillant les narines, je me redressait dans un mouvement mécanique. Les yeux fixés sur le Saint-Graal, le beignet a la framboise écrasé.
Il en écrasa l'extrémité sur mes lèvres gercées et je ne pris qu'une seconde a croquer dedans.
C'était délicieux, c'était sec mais encore sucré, c'était mangeable.
J'attrapais finalement le beignet alors qu'il recommençait a dormir en poussant un soupire.
Une journée habituel, j'aurais bien dit normal mais c'est sans compter les petits Bourges grassouillets qui mangent jusqu'à plus faim, moi un beignet a six ans ça rendait vie splendide.

Evoluer c'est céder à la fatalité.

Fatalité, se dit de quelque chose qui est inévitable.
Je pense que c'était une fatalité génétique pour moi de devenir ce que je suis devenue, c'est ironique je trouve, mais l'ironie est amusante n'est-ce pas? Moi personnellement je ne me plains pas j'assume pleinement et je vie ça parfaitement bien. En réalité c'est un choix personnel, un choix que j'ai fait toute seule et qui ma permit de comprendre beaucoup de choses, d'en vivre d'autres.
Je crois que c'est a quatorze ans quand quelqu'un a emmené maman a l'hôpital que j'ai compris, ou alors c'est quand les services sociaux ont voulu m'embarquer?
C'est sans importance ce qui compte c'est que j'ai compris ce qu'avait trouvé comme plaisir mes frères à cette vie en apparence terne, la liberté. Quand personne ne s'occupe de vous et que vous ne comptez pas vous vous rendez compte que vous êtes différents, une différence qui tient a un fil mais qu'il faut exploiter au maximum. Ce que j'ai fait sans hésitation, j'ai quitté la moquette sur laquelle on ma consigné pendant douze ans, à l'époque ma mère était encore chouté au médocs à la maison et mes frères choutés a ce qu'ils voulaient. Moi je me faisait chier et c'est en sentant un courant d'air pendant que ma mère vidait une boite d'antipsychotiques, c'est en voyant cette fenêtre ouverte que j'ai comprit qu'elle l'était pour moi. Que moi aussi je pouvais profiter de ma liberté comme ma famille, il fallait que je fasse attention a ne pas en abuser, pas comme mon père puisqu'il s'était retrouvé en taule a cause de ça.
Bref je suis passé par cette pour la première fois et depuis je ne connais que cette sortie, ça fait au moins quatre ans que je me suis prise en main.
Maintenant je traine dans les rues, les ruelles sombres et étroites sont mes compagnes. Autant que le shit et autres drogues que je consomme, grâce à Jean d'ailleurs.
Bon d'accord la fatalité dans tout ça c'est que du coup l'école ça ma semblé emmerdant et que j'ai quelque peu arrêter d'y aller. De toute façon j'ai toujours eu des résultats satisfaisants sans faire d'efforts, du coup je me contente de la moyenne et je profite de la vie moi.

Je dit moi vous vous en rendez bien compte? Et bien c'est parce que j'ai découvert une espèce bipède avançant avec un balais enfoncé dans le … enfin vous avez compris.
C'est ces êtres exagérément coincés qui on dicté mon arrivée ici, il faut dire que je n'étais pas a proprement parlé invité a la petite sauterie, mais ce n'est pas grave puisque je suis tout de même entrée. J'avoue que ce n'est pas en passant par la porte d'entrée que j'ai réussis a me mélanger à cette société étrange, mais c'est le résultat qui compte comme on dit.
Faut dire que j'ai été impressionnée par ce beau monde, on voit rarement des fringues si beaux portés par des gens raides comme des serpillières avec des sourires hypocrites ou niais.
J'ai avancé dans cette foule et j'attirais les regards, j'aurais pu être flatté, mais je soupçonne que ce soit le jean déchiré que je portais et le débardeur décolleté qui ont eu cette effet.
Enfin bon tout le monde ne tire pas cette tronche en me voyant, ou pas pour les mêmes raisons en tout cas, mais c'était assez amusant ces Bourges aux visages poliment gênés.
Je me suis approché du buffet, fallait voir l'abondance de bouffe, moi qui est toujours été une crève la faim je ne pouvais pas rester la sans rien faire et j'avais en tête que ça ne pourrait qu'être plus amusant.
Je fourrait donc dans ma bouche grand ouverte la plus grosse quantité possible de petits fours, il fallait entendre les remarques chuchotés aux oreilles du voisins c'était risible.

Misha: La bouffe est bonne vous pouvez venir, criai-je en jetant un coup d'œil a la foule outrée.

Je devais me retenir de ne pas éclater de rire, c'était ça le plus dur, les gens bien habillés avaient pour la plupart reculés d'un pas. Je dût retenir la furieuse envie de me mettre a baver et aboyer, ce qui leur aurait donner une raison d'avoir peur, parce que la sécurité commençait a me lorgné.
Les gorilles ne sont pas réputés pour leur intelligence, mais ceux-là battaient des records de débilités, ils semblaient encore se demander si je faisais parti des invités ou pas.
Bof rien à foutre, je m'appropriais un verre de champagne que je descendis d'une traite, avant d'en prendre un autre que je siroterais avec plus de retenue. Il fallait croire que les petits plats étaient devenus ma propriété puisque personne n'y touchait plus.
Sans importance j'avais toujours le ventre trop vide a mon goût, manger en rigolant me permettrait de faire passer plus de petits fourrés, c'est du moins ce que j'imaginais quand l'improbable arriva.
Une main attrapa un autre des biscuits et le ramena délicatement de la bouche qui appartenait au même corps, une jeune fille absolument adorable a regarder et habillé aussi impeccablement que les autres, pourtant quelque choses trahissait qu'elle s'était royalement ennuyée ici et que je devais sans doute être un divertissement pour elle.
Elle était si mignonne et innocente que je n'eus pas le cœur de dire quelque chose et la fixant je mangeais un énième gâteau, elle me souris et je me sentis rougir.

Feather: Ils sont bon effectivement, dit-elle comme pour m'appuyer.
Misha: Évidemment si je le dis c'est que c'est vrai, me récriais-je en me reprenant.
Feather: Je m'appelles Feather Holloway, et toi?
Misha: Misha, mais tu peux m'appeler Shâ si ça te chante.

Holloway ce nom ne me disais strictement rien, pourtant il rythmerais bientôt ma vie.
Le nom d'une riche famille en effet, mais l'importance n'était pas là, c'était le nom de ma future meilleure amie, de mon futur dealeur préféré aussi.
A croire que j'allais me coltiner toute la famille, m'enfin c'était aussi une fatalité dont je parlais tout à l'ai et je m'y accoutumerais sans souci. Ils deviendraient un peu ma famille en y réfléchissant, Lust deviendrait un peu le père que je n'avais jamais connu, si on considère qu'un père a parfois des relations sexuelles avec sa fille. Mais ça ce serait la faute de Joshua, mon Joshua et c'est une toute autres histoire.

Mon âme-soeur... totalement ironique paraîtrait-il.

Je frissonnais, pas besoin d'ouvrir les yeux pour savoir que mon corps nu n'était pas couvert, un nouveau frisson. Pas de quoi me faire réagir plus que ça, j'avais prit l'habitude de ne plus réagir excessivement à cela. C'était toujours comme cela lorsque l'on passait une nuit ensemble,
on faisait l'amour et c'était bien, on s'endormait et comme toujours il passait ses nuits a faire des rêves agités. Il grognait, il bougeait et il... tirait la couverture.
Voilà pourquoi je me retrouvais sans rien pour me tenir chaud, cette nuit j'avais de la chance, la plupart du temps je me réveillais parce qu'il me faisait tomber du lit. Mais la nuit il avait l'air innocent et fragile, c'était des expressions tellement inhabituelles chez lui que je n'arrivais pas à m'énerver. Parce qu'en temps normal il n'était pas fragile, il faisait le gros dur et était le pire petit ami qu'on puisse avoir, me faire souffrir c'est un jeu qu'il affectionne particulièrement et je le sais très bien.
On m'a souvent dit que j'étais idiote de rester avec lui parce que je l'aime, la vérité c'est que ce n'est même plus de l'amour. C'est quelque chose de plus fort et de plus précieux qui me lie à lui et je sais qu'au fond il ne supporterait pas que je le quitte, il ne l'accepterait surement pas.
Je ne l'ai jamais pris pour un gentil, avant que je le rencontre Lust m'avait dit un truc du genre «Joshua n'ai pas un type pour toi, alors reste a distance.», c'était peut-être ça qui m'avait d'abord attiré et je ne le regrette pas.

Je décidais donc de m'approcher de lui, me blottissant contre son dos et profitant de la chaleur qui s'en dégageait sans en demander d'avantage. Je n'étais pas habitué au confort et je n'en avait pas besoin, son dos chaud et le matelas moelleux étaient pour moi le paradis.
Il se retourna brusquement et m'attrapa dans ses bras, un geste auquel je n'étais pas habituée. Il fallait dire que Joshua ne se montrait affectueux que lorsqu'il voulait le faire et il ne fallait pas être savant pour voir qu'il dormait et donc qu'il ne tentait pas de me sauter.
Un sourire étira mes lèvres, Lust disait que j'étais une cause perdue et totalement sans espoir, mais si ça ce n'était pas de l'espoir qu'était-ce alors?
Oh oui on pouvait me renvoyer au visage qu'il était endormi et qu'il ne se rendait pas compte de ce geste trop affectueux pour lui, mais personne ne le ferait parce je mord si on me cherche trop, sur ce point. Oui mon beau petit ami c'est la corde sensible qu'il ne faut pas toucher, je ne contrôle plus mon comportement quand ça le concerne.
Il poussa un soupir a fendre l'âme et je décidais que c'était trop pour moi, me détachant de son étreinte je posais mes pieds sur le planché et me dirigeait d'un pas pressé vers la petite commode à l'autre bout de la chambre.
Sachant très bien ce qu'elle contenait et sachant aussi parfaitement que c'était un peu un des avantages de notre relation, mon petit copain dealeur y rangeant toujours les poudres.

J'attrapais un sachet et m'agenouillant par terre déversait le contenu sur une planche, en prenant le soin de former une fine ligne blanche. Je me penchait d'avantage jusqu'à ce que ma joue frôle le bois frais et respirant un grand coup par le nez inhalait la totalité de la poudre.
J'étais une habitué et une si petite quantité arrêté juste la sensation de manque, je me relevais et m'approchait du corps endormit de Joshua.
Qu'il était beau à cet instant, il était rare que dans son sommeil son visage soit si serein.
Je m'allongeais a nouveau a ses côtés et il remua en sentant inconsciemment ma présence, se rapprochant de moi il ouvrit brusquement les yeux alors que d'une main je caressait sa joue chaude.
Il me fixa un instant et les expressions se bousculèrent:
fatigue, surprise, agacement, colère. Une palette qu'il arborait régulièrement avec moi.
Je me sentais blêmir et attendit simplement qu'il se décide a bouger, ce qu'il fit en se redressant sur le matelas. Il m'observa un peu plus et je restais allongée et immobile mes grands yeux bleu posé sur son visage.

Joshua: Putain tu fais chier, t'es gelée et tu viens te coller a moi, grogna t-il mécontant.
Misha: C'est toi qui t'es serrée contre moi mon amour, murmurais-je inquiète.
Joshua: Me joue pas la petite amie épeurée par pitié Shâ! J'en est marre de ta tronche et de tes yeux larmoyants, dégage! hurla t-il.
Misha: Mais putain Josh il est deux heures du matin et j'ai nul part ou aller, dis-je surprise.
Joshua: Rien a battre, j'ai quelqu'un a voir et tu reste pas chez moi quand je suis pas là, dit-il avec un sourire en coin.
Misha: Me dit pas que tu retourne chez elle? demandais-je.
Joshua: Si et tu n'as rien a dire à ce sujet. Bordel Misha tu te barre maintenant, dit-il entre satisfaction et colère.

D'un geste brusque il me poussa et je tombais par terre en grand fracas, me redressant à grand peine sur les coudes je dégageait la mèche de cheveux qui me couvrait les yeux.
Juste a temps pour le voir se lever et se placer devant moi, il m'attrapa en passant ses bras sous mon dos et se redressa d'un mouvement sec. J'étais dans ses bras alors qu'il avançait en direction de la porte d'entrée, je connaissais la suite mais ne râlais plus regardant juste son regard éteint et son visage fermé. Pas la peine de répliquer je le savais, mais il me brisais le cœur, une fois de plus.
Je réalisait brusquement que j'étais toujours nue et qu'il allait me foutre a la porte comme ça, m'agitant légèrement j'essayais d'attraper, alors qu'on passait devant le porte manteau, une de ses vestes. Peine perdue ma main glissa sur le tissu et après le bruit sec de la poignée je me retrouvais le cul par terre, devant chez lui alors que la lune était encore haute dans le ciel.
Il me regarda de seconde et dans ce qui était pour lui un élan de générosité il enleva son T-shirt et me le balança au visage avant de prendre un de ses manteaux noir et de claquer la porte en sortant lui aussi.

Misha: Bordel Joshua ne va pas chez cette salope, l'appelais-je.
Joshua: T'es autant une salope qu'elle Mimi!
Misha: Je t'ai jamais trompée moi.
Joshua: C'est le moment d'essayer, dit-il en m'adressant un sourire moqueur.
Misha: Connard, lâchais-je alors qu'il disparaissait au coin de la rue.

Les plus de la fille sans inspiration.

-Est complètement addict de la cocaïne.
-Aime mélanger la drogue aux alcools forts.
-A toujours faim.
-N'aime pas les petits bourges pompeux.
-A tendance à bien aimer toucher les gens.
-Quand elle a une idée en tête elle a du mal à s'en détourner.
-Reste avec son petit ami alors qu'il la traite comme si elle était son jouet.
-Comme le reste du petit groupe souffre d'un accent "british très prononcé
-Adore mettre les gens mal à l'aise... elle trouve ça marrant.
-Se fait souvent prendre pour un mannequin, ce qui l'horripile puisqu'elle veut être styliste.

Bienvenue soeur de Mànùeyla!!

Décidément les nouveaux membres prennent toujours des excellents avatars!! Je file te réserver Jessica Stam!!

Putain ta fiche est très bien avancée , elle est peut-être même finie???.

De la violence????XD

Elle n'est pas finie non

En réalité pour le vava j'hésite:
je voulais Misha Barton, mais il semble qu'une autre fiche en construction l'ai et je sais pas si je peux postuler.
Ensuite j'hésite entre Jessica, Sasha, et pleins d'autres que faire....

Oui, Mischa est déjà prise, désolée. La fille que l'a prise n'a pas encore finie sa fiche, mais elle a du s'absenter donc on lui a réservé jusqu'à ce qu'elle revienne.

En ce qui me concerne, j'aime beaucoup Jessica, je la trouve très énigmatique,elle dégage un truc de fou! Après Sacha, j'avoue aussi que j'aime bien, mais j'ai une préférence pour Jessica.

T'as raison je reste sur Jess donc et je tente de continuer ma fiche.

Très très très bon choix, et donc forcément j'exige déjà un lien avec toi!!!

Je viens de me rendre que toi et ta soeur vous avez le même âge, donc comme j'ai une très très très grande logique, je suppose que vous êtes jumelles???^^

Sinon bon courage pour la fin de ta fiche.

yeah ma Misha, good luck

October: Effectivement bon sens de la déduction, on est jumelle oui;
mais j'hésitais beaucoup a m'inscrire je venais regarder parfois quand elle était là, c'est ce perso de Lust qui m'a décidée.
Merci j'essaye d'avancer et d'écrire des truc sympa, mais pour le moment c'est moyen.

Lust: Hiiiiiiiiiiiiiiiii merci baby.
Ca ne te gène pas Jessica?

Naaan, Jessica est parfaite (elle déchire encore plus sa race en jaccuzzi que Misha B. )

Merci
j'espère que ma fiche sera a la hauteur de ce que tu as imaginé.

elle le sera <<3
en tout cas elle est très bien partie

Oh Merci

J'espère que Feather finira vite sa fiche et que Joshua arrivera aussi rapidement que nous

oui pour jouer les retrouvailles au plus vite

(Au début j'ai pas compris, mes yeux voyaient Misha "Pregnant", et j'ai du mettre 15 secondes pour comprendre que c'était Penright, ah la la...)

"WELCOME , LALALALA, WELCOME, LALALALA, WELCOME..."
dit la fille en Dulce-Mobile (Je comprend toujours pas comment j'arrive à me faire tripper toute seule! Je m'auto-satisfait, c'est cool, je peux rester célibataire jusqu'à la fin de ma vie... )

Enfin voila, Bienvenu chez le fous!

Tant que tu as réussi a comprendre a la fin c'est qu'il y a de l'espoir
SBAFF
Oki oki jme la ferme, merci de l'acceuil la fille en Dulce Mobile.

Lol Enzo ROB <3
Ouais on s'est jeté sur ses scénar, mais en même temps c'est trop de la bombe atomique.
Je sens que ça va me suivre d'être sa jumelle par ici mdr J'AIME
Oui Jess es trop et les vavas que t'as fait sur elle aussi par ailleurs....

J'adore les acceuil aussi ça mériterais bien une petite tooz

Enzo G. Stevenson a écrit:

n'empeche que bordel, tes scenars lust, ils sont vite prit . :

c'est parce que je les paie *je dirais pas de quelle manière *

oh yeah Sha je t'aime déjà

Tout le monde sait comment tu fais

Mais moi aussi je t'aime IN MY BED

Enzo G. Stevenson a écrit:

nos acceuils, mais là, on est même pas à un sixième de notre forme
une immense toooooooz les amis ici ?

n'empeche que lust, tu n'as même pas besoin de dire . on a tous bien cerné ton jeu , tu les echetes , tu les paies . tu les revends ? *j'aime tes méthodes*

owiiiii yeah je les revends, je fais du trafic de jolies filles oui on appelle ça du proxénitisme ( )
No chérie, je les emmène seulement visiter des bosquets (a)