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 rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.

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MessageSujet: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:19

rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Amberbann2

« Dans une avalanche, aucun flocon ne se sent jamais responsable. »
Stanislaw J. Lec.

Adelle Rogues
        Feat. Amber Heard



Carte d'identité;

    Nom : Rogues.
    Prénom : Adelle, Michelle & Marybeth.
    Surnoms : individus potentiellement attirés sexuellement par Adelle : Le Requin au Dents Longues ; Taille 36; individus ne pouvant se la voir en peinture : La Junkie, La Toxicomane, Le Paillasson etc.
    Age & Date de Naissance : 22 ans ; 7 Aoüt 1987.
    Groupe : Serenity, as king of your thoughts



Étude;

[list]
    « Spécialité »


    Psychologie. Comme ma mère et mon père, j’ai un don inné pour écouter les autres déballer leurs question existentielles, y répondre par un signe de tête et gagner le respect de mon entourage. Non, vraiment, l’esprit des autres est si clair et simple à comprendre que cette branche de la médecine coulait de source. Je suis diablement intelligente et on ne pourrait rien tirer de moi si l’on me faisait m’allonger sur un divan. Il est donc logique que je pose les questions.


    « Loisirs »


    Mis à part le sexe, la drogue, l’alcool et l’humiliation, je joue au cricket. Je suis capitaine de l’équipe de l’université, et l’on me doit nos trois victoires nationale consécutives, soit depuis que j’ai intégré l’université. Le reste du temps, je me morfonds en compagnie d’hystériques aussi blessés dans leur égo que je le suis.


    « Place dans la Confrerie »


    Je suis la présidente des Sigma Omicron.
    Ma supériorité financière, sanguine, physique et intellectuelle sur le reste du monde est incontestable et il était donc évident que je serais la présidente de la confrérie la plus huppée de l’université. Je suis sans aucun doute LA personne la plus importante du campus, puisque je mène le directeur par le bout du nez, et ce grâce à une relation purement sexuelle. Ma connaissance des hommes et de leurs désirs me permet d’avancer dans la vie avec une rapidité folle. Je décide de qui reste dans cette université, et de qui se fait virer. Je contrôle toutes les fêtes « officielles » de l’université tout en continuant d’organiser de joyeuses réunions entre les confréries, des rencontres avec les plus grands experts dans les domaines que nous étudions et ce pour motiver mes troupes. Je suis en tête de l’escadron doré de Greenville, celui qui est sûr de réussir dans la vie malgré ses névroses
.

Biographie;

[list]
    « Caractère »


    Adelle possède une personnalité impossible à cerner. Elle pioche dans tous les stéréotypes existants pour les éditer et les mélanger ensuite les uns aux autres. Elle est avant tout sensible, très sensible, à un point que c’en est dangereux. A fleur de peau, un rien peut la faire fondre en larmes, tout comme un rien peut la faire entrer dans des colères effroyables. Elle a évidement tendance à camoufler cette facette de son caractère derrière des airs froids, hautains et inaccessibles. Pourtant, elle ne considère pas cela comme un défaut, au contraire. Ses airs de mademoiselle-je-sais-tout ne sont pas que des airs, puisqu’elle est très intelligente. Ses capacités intellectuelles relèvent du géni, et elle le sait pertinemment. Trop lucide, elle est si désabusé que la vie lui apparaît comme un supplice. Ne parvenant pas à être heureuse, et persuadée qu’elle ne le sera jamais, elle se drogue, boit et fait l’amour pour passer le temps. Fêtarde, elle ne ressent pourtant aucun plaisir à faire la fête. Elle se sent juste aérienne, et ça lui permet de passer outre la douleur qui la tiraille en permanence. De plus, son âme est noire et vile, elle est donc cruelle sans que ça ne soit une parade où quoi que ce soit. C’est un véritable trait de caractère, elle est mauvaise et ne le nie pas. Faire souffrir les autres ne lui apporte pas satisfaction, mais ça lui semble naturel. Elle excelle en la matière, d’ailleurs. Très cultivée, elle sait tout sur tout et peut tenir une discussion avec nombre d’intellectuels, ce qui donne l’impression constante aux autres étudiants qu’elle a une longueur d’avance sur eux. Lucide, elle a pleinement conscience de ce qu’elle vaut, de qui elle est et de qui elle deviendra, tout comme elle analyse avec pertinence ses amis et ennemis. Adelle en sait plus sur vous que vous-même, et ça ne fait aucun doute. Elle a étudié le langage corporel par pur ennui et sait déterminer qui lui ment ou non. Passionnée, elle n’est jamais tombée amoureuse et y veille, car elle sait que cela se terminera d’une manière des plus morbides. Elle est aussi changeante, soudainement fasciné par quelque chose pour s’en désintéresser le lendemain. Vénale, elle aime la notion de propriété et achète. Elle achète de tout, tant que c’est rare, cher et occasionnellement joli. Colérique, la demoiselle renferme en elle tellement de haine qu’elle peut éclater à n’importe quel moment et faire de la vie des autres un enfer. Néanmoins, elle est craintive et est d’une immaturité émotionnelle rare, semblable à une petite fille apeurée qui se transformerait en pitbull au lever du soleil.


    « Histoire »


terminator


    Une des particularités de l’université de Greenville est sa diversité. Diversité ethnique et sociale de ses étudiants, diversité des cursus proposés, et diversité des sports pratiqués. C’est en ce dernier point que réside sa plus grande spécificité. En effet, cela faisait maintenant soixante-dix ans que l’université de Greenville était la championne nationale de criquet. Pratiqué sur un gazon verdoyant lors des jours où le soleil brillait haut et fort, humblement perché dans un ciel au bleu azur dénué du moindre petit nuage, c’est avec une courtoisie teintée de sournoiserie que les étudiants se livraient une bataille mémorable. Une autre raison de dissocier les perdants des gagnants. Tous se doutaient éperdument que les résultats des parties étaient annonciateurs de qui réussirait sa vie et qui finirait minable petit cadre sous-exploité. C’était sans doute pour cela que le club de criquet de l’université de Greenville ressemblait à une fosse au lions. Et chaque meute a son chef.


    La balle passa les obstacles avec dextérité, comme si elle eut été télécommandée. La boule de bois finit par s’arrêter, et se contenta de stagner, droite et fière, sur cette herbe d’un vert éclatant. Un silence s’en suivit, puis un tonnerre d ‘applaudissements lui succéda. Il n’y avait que des femmes, ou plutôt des jeunes filles, toutes vêtues de trench courts ou pas, leur sourire semblables à ceux des pubs pour dentifrices. Elles ne cherchaient pas à donner de la profondeur à leur personnage. C’est dans ces sourires éclatants que l’on pouvait lire la jalousie, la haine et les complexes d’infériorités. Un instant triste, Adelle se ressaisit bien vite. Elle redressa le buste, mettant en valeur son chemisier rouge sang, audacieusement glissé dans une jupe longue d’un noir de jet, surmontés d’une ceinture blanche. La frange sage de la demoiselle ne bougea pas, et sa chevelure brune resplendît de prétention. Sa bouche superbement triste s’étira bien vite en un joli sourire, magnifique sourire, merveilleux sourire, resplendissant d’une hypocrisie non-dissimulée. Sa voix fluette, quelque peu grave, s’éleva dans les airs :

      ADELLE - Quel est l’imbécile qui a dit qu’on ne gagnait pas à tout les coups ?


    La réplique ne tomba pas à plat, tout simplement parce qu’elle était prononcée par Adelle, et que les répliques d’Adelle étaient toujours suivies de l’effet escompté. C’était une des lois élémentaires de la physique. C’est ainsi que l’assemblée, que dis-je ? , c’est ainsi que la cour de la reine se fendit d’un rire tonitruant, fluet, léger, semblable à la symphonie d’une flûte. Adelle en eut la nausée, et une incroyable envie de leur hurler leur haine à tous s’empara d’elle. Incroyable, mais pas irrépressible. Elle sut donc se contenir et les invita à poursuivre la partie, s’éloignant du groupe pour rejoindre les gradins. Le jeu avait en effet lieu sur le terrain de sport en extérieur de l’université, et le superbe gazon de l’endroit était entouré de tribunes de béton armé, pour les grands matchs de foot universitaires qui avaient lieu tous les 36 du mois.

    Sa démarche de top-modèle, sa silhouette gracieuse, son élégance tout bonnement hallucinante, tout donnait envie de la détruire. D’y mettre le feu. Que les flammes la subliment, l’illuminent puis la noircissent, la traversent en un amour incandescent pour l’annihiler dans la cendre. Et elle continua de marcher, sans s’arrêter, divine créature qui se riait des égards des autres, camouflant habilement ses pleurs hystériques. Saisissant fermement un sac de sport, elle y rangea sa batte et soupira. Les dix autres joueurs de son équipe ne tarderaient pas à la rejoindre, et elle se sentait à peine la force de jouer la comédie. Pourtant, dieu sait comme elle était rodée à l’exercice depuis le temps. Un éclat de rire la tira de sa torpeur, la plongea dans un rictus facial semblable à celui d’un terroriste shiite à qui l’on aurait volé une ogive nucléaire. Les deux situations possédaient leurs similitudes. Naomi Jefferson. Naomi Jefferson était l’antithèse même de la décence aristocrate. Naomi Jefferson était une américaine vulgaire, dont le père était propriétaire d’une chaîne d’hôtels réputés. La demoiselle, si l’on pût dire, passait sa vie la tête entre les jambes de garçons et d’autres. Ca ne dérangeait pas Adelle. Ce qui la dérangeait nettement plus, c’était le principal passe-temps de cette dernière, soit se faire accepter de la confrérie. Et la demoiselle insistait plus qu’un alcoolique face à une adolescente à peine pubère. Il lui fallait à tout prix faire partie de la confrérie la plus huppée de l’université. Aussi, elle n’avait pas idée que la légèreté de ses mœurs nuirait à la réputation des Sigma Omicron. C’est pour cela qu’Adelle se devait d’être ferme dans ses refus, courtoise dans ses expressions, mais directe dans ses paroles. Très directe, et ce du fait qu’elle s’adressait à celle que tout le monde haïssait.

      NAOMI - Excuse moi, Adelle, pourrais-tu m’accorder une minute de ton temps ?
      ADELLE - Euh… Actuellement, non. Je suis bien trop occupée à rester belle. C’est BEAUCOUP plus dur qu’on ne le pense, crois-moi.
      NAOMI - Mais ce serait juste quelque sec…
      ADELLE - J’ai dit non. Ta réputation te précède, malheureusement.
      NAOMI - Tu ne peux pas juger les gens sur …
      ADELLE - Continue et je te fais bouffer cette batte, et pas par l’orifice buccal si tu vois ce que je veux dire…
      NAOMI - … Estime-toi heureuse que je ne t’étrangle pas sur le champ.
      ADELLE - Ne dis pas ça, on sait toutes les deux que tu n’es pas étrangère à ce genre de pratiques.
      NAOMI - Crois-moi, je vais VRAIMENT t’étrangler.
      ADELLE - Oh mais ne te gène pas ! Ca ne changerait rien, de toute manière. Je me régénère, comme Terminator.
      NAOMI - La comparaison est judicieuse.
      ADELLE - Sans doute plus que ta garde-robe. Tu te mets aux ventes de charité ?


    La conversation s’arrêta là, et l’humiliation publique aussi. Le poing de Naomi en pleine figure, la présidente avait été stoppée nette dans ses vilaines élucubrations. Déjà, la cour de la reine s’affairait autour d’elle, se chamaillait avec la dite Naomi, piaillait, leurs voix occupant tout l’espace possible. Adelle était au dessus de ça. Allongée au sol, ses cheveux blonds or parfaitement étalés sur l’herbe, comme une rivière dorée que le soleil faisait resplendir avec goût., un filet de sang coulait de son nez, et elle se surprenait pourtant à sourire. Elle fixait le ciel, qui ne lui avait jamais paru aussi bleu.


Dernière édition par Adelle M. Rogues le Ven 8 Mai 2009 - 16:23, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:20

enzo



    L’amour est une drogue douce, et il est dur d’en décrocher. Je trouve assez drôle que moi, toxicomane de renom, n’ai jamais goûté à cet addiction. Je suis trop bien pour n’importe quel garçon ou pour n’importe quelle fille, et en suivant cette logique, tout le monde m’aime et tout le monde m’indiffère. Et malheureusement, il n’y a pas plus logique que moi sur terre.


    Il me mord la peau, j’aime bien ça. En fait, j’aime tout. Un vil démon lubrique s’est emparé de mon corps, qui n’est plus que braise. Je brûle, et c‘est presque littéral. Fiévreuse, mes mains superbes se faufilent dans ses cheveux, glissent sur son visage, s’emparent de ses épaules et s’agrippent à son dos. Il me saisit par les hanches, me renverse sur le lit et je lui griffe les omoplates, jusqu’au sang. Je veux qu’il souffre, je veux qu’il meure. Je veux qu’il m’aime, et je veux qu’il me frappe. Je veux que ses yeux ne me regardent que moi et j’ai pourtant une furieuse envie de les lui crever. Il me sourit et je le gifle, sans qu’il ne comprenne, mais déjà je suis à califourchon sur lui, seulement vêtue de ma robe noire Gucci, qui va avec mes lunettes. J’enfourche ce qui fait de lui un homme et me déchaîne, le laissant sans voix. Je croix qu’il n’a jamais rien connu de tel. Mon corps est comme une mélodie, je lui échappe et me fait pourtant abrupte, merveilleusement douloureuse, nôtre souffrance est belle. Ses mains enserrent mon cou, comme s’il allait m’étrangler (je crois qu’il y songe) mais finissent par saisir mon visage. J’ai l’air vulnérable, un instant. Un seul instant, furtif, volage. Déjà, je lève les yeux au ciel, gémit, cri, et reprend de plus belle. J’ai l’incroyable sensation d’être belle. J’ai toujours été belle, plus belle que tout le monde, si belle qu’aucune concurrence n’était envisageable, et c’est encore le cas aujourd’hui. Mais cette fois là, ce fut différent. Je le dominais de toute ma stature, et relevais mon visage, perdu dans une cascade de cheveux blonds. Ma bouche sale, mon corps harassé, mon œil torve, tout ne me semblait plus n’être que détails. Une sensation nouvelle déferlait en moi, j’était belle. J’étais sublime, magnifique, orgasmique.
    J’étais en vie.


    J’ouvris les yeux doucement, comme une enfant que l’on tirait lentement de son sommeil. Me redressant délicatement, je me retrouvais assise sur le lit terne dans lequel j’avais apparemment dormis. Amenant mes mains à mon visage, je constatais qu’il était trempé. Trempé de larmes. Cela m’arrivais, parfois. Sans que je sache pourquoi, je pleurais la nuit, et me réveillait tel quel.
    Mes yeux roulèrent et j’aperçus une silhouette au coin du lit. Enzo. Je lui vociférait, de ma voix charmante :

      ADELLE - Qu’est-ce que tu fais encore ici ?
      ENZO - Je t’ai regardée dormir.


    La réponse avait fusé, naturelle, sans émotion. Pragmatique, il m’avait juste répondu, sans que cela n’induise quoi que ce soit. Il m’avait regardée dormir, point. Je soupirais discrètement, et détournai le regard. Enzo m’avait regardée dormir. Ca virait au mélodrame. Nous aurions fait un joli couple, digne d’un film à l’eau de rose moderne. Sans doute. Mais ça aurait finit dans un bain de sang, c’était évident. Chaque fois qu’un garçon s’amourachait de moi, c’était passionnel et à sens unique. Il tentait alors d’attirer mon attention par tout les moyens, que ce soit en se scarifiant, en agressant mes prétendants, en tentant de se suicider, en me frappant ou en attentant à ma vie. Que les hommes sont simples.

    La chambre était obscure, décrépite. Le plafond était lézardé, les tapisseries décollées par endroits, le plancher écorché, les carreaux fissurés, les rideaux déchirés. C’était d’un glauque has been. Me levant élégamment, je m’avançait à la fenêtre, écartait le tissu d’une main timide et approchait mon visage de de l‘embrasure. Le verre était épais et sale, et je ne distinguais que des formes floues au dehors. Il devait être quatre ou cinq heures du matin. Le ciel était d’un bleu glacial, la lumière froide me terrifiait. Je me mis à trembler dangereusement, soudainement paniquée. Le monde me semblait si hostile, et ma peau me brulait comme de la neige, mes lèvres se glaçaient et vite des larmes recommencèrent à couler le long de mes joues. Me laissant tomber sur les draps défaits du lits bancal, j’enfouis mon visage dans mes mains. Prises de hoquets violents, ma stature maigrelette fut soudainement animée de soubresauts et je me mit à gémir. Je n’étais pas triste, j’étais apeurée. Une terreur sans nom me saisissait, je voulais disparaître. Alors qu’une haine incommensurable naissait en mon ventre, je fermais mes poings et me mordit la lèvre avec violence, tachant mon menton de sang. J’étais en sous-vêtements, un soutien gorge blanc à pois rouges, et la culotte assortie. Ma peau était toujours douloureuse, comme mille plaies qui s’ouvraient sans cesse sur chaque parcelle de mon corps. Très vite, je sentais le regard d’Enzo sur moi. Comme il devait m’aimer, comme il devait me prendre en pitié, comme il devait souffrir. Nous étions de la même espèce, et je l’avais sût dès le premier regard. Je commençais à virer à l’hystérie quand, soudainement lucide, je me mit à souffler précipitamment, évacuant ma terreur. Je finis par reprendre un rythme cardiaque normal et cessait de trembler. Il continuait de me regarder, j’en étais persuadée. Silencieux comme la mort, et pourtant si présent. J’aurais voulu qu’il me tue. Au lieu de cela, je lui murmurais un « va-t-en » à peine audible, mon visage toujours caché dans mes mains blanches. J’entendis des pas sur le parquet, une porte qui claquait. Il était partit.
    Tranquillement, j’attirais mon sac contre moi, en sortait une boîte de plastique orangé, et avalait les quelques pilules qu’il restait. Je n’irai pas mieux, mais je cesserai de m’en rendre compte. Je m’écrasais de toutes mes forces sur le lit, fixais le plafond, suivais les lézardes du regard. J’y cherchais une réponse, espérant ensuite y trouver la question. Je n’avais plus qu’à attendre. Attendre que la mort me cueille, telle la rose de choix que j’étais. Ma lâcheté rejetait la faute sur le destin, c’était si facile. Je n’étais plus actrice de rien, juste spectatrice, et même le spectacle me terrorisait. Je ne voulais plus voire, je ne voulais plus savoir. Cacher mes yeux ne suffisait plus, il fallait mettre un terme à la souffrance.
    Que l’on m’achève.


      « Mystères, Secrets & Regrets »


J'ai tué un enfant, une fois .



    Ma main palpe mon ventre, le tâte avec tant de force que mes doigts blanchissent, tellement ils se crispent dessus. J’ai le souffle coupé, je crois que je vais vomir. Des larmes dans mes yeux, ça n’est pas la première fois. Pourtant… pourtant, cela faisait longtemps, si longtemps que je ne les avait pas senties. Comme si je n’étais plus qu’une poupée de chiffon, mes larmes roulent et m’engourdissent, me brûlent et je me surprends à trembler. Ma lèvre ne tient plus en place, je crois que je me la suis entaillée. Je l’ai mordue si violemment. Le sang coule le long de mon menton, et je ne cherche pas à me défaire de mon malaise.

    Je suis allongée sur un lit. Si je dis UN lit, c’est parce-que c’est bel et bien UN lit. Celui de n’importe qui. Un type qui m’a ramenée chez lui, un soir de beuverie. Mes yeux fixent le plafond, les fissures qui le parsèment, et je me demande si ça n’est pas un peu le reflet de mon âme. Mon avortement. L’enfant que je n’aurais pas. Que j’aurais pût avoir, mais que je n’aurais pas. Mon enfant, qui n’est plus au conditionnel. Mon enfant, qui s’avère être à l’imparfait. C’est comme si l’on m’avait asséné une gifle. Comme si un bulldozer m’avait asséné une gifle. Je sens mes entrailles hurler, ma peau griller, mon âme incandescente, toute de feu, qui semble vouloir s’extirper de ma chair. Ce serait sans doute la moindre des choses. Je suis un assassin. J’ai tué mon enfant. Sans doute que les croyants ont raison, sans doute que cela relève du meurtre. Je les comprend maintenant. La seule douleur que je n’ai pas sut faire taire, ce n’est pas moi qui en suis la victime. J’en suis la cause. Pitoyable, je tire une taffe et laisse la fumée s’échapper lentement de ma bouche parfaite, s’élever dans les airs, et je pleure. Encore et toujours. Je pleure comme je n’ai jamais pleuré, je pleure ma haine, je pleure mon amour, sans doute arrivé trop tard, et je pleure mon désespoir. Je le pleure dans une petite chambre décrépite, là où personne ne pourra l’entendre. Là ou personne ne pourra y remédier. Je suis un assassin, et je périrais en tant que tel. Seule, minable, laide. Je crèverais comme un chien après avoir vécu comme un chien. Ou plutôt comme une chienne, selon les ouï-dire.

    La cause de ma condition ? … ma beauté, ça ne fait aucun doute. Il y a beaucoup de beautés sur le campus, beaucoup d’étudiants et d’étudiantes canons, véritables fontaines de phéromones et de charisme. De tous ceux-là, je suis le plus jolie. Ma beauté est surnaturelle. Je pourrais pousser au meurtre n’importe quel garçon pour mes beaux yeux. Je suis magnifique, superbe, plus que parfaite. Je suis une merveille. Je transcende les standards, je transcende les sexes, je transcende la race humaine. C’est cette beauté qui m’a rendu coupable et victime des pires crimes, des pires humiliations, des pires peines. Les hommes rêvent de posséder mon être et de ne l’avoir que pour eux seuls, les femmes rêvent de mettre fin à mes jours par jalousie. D’aucun n’ont jamais imaginé qu’il puisse en être de même pour moi. Je rêve de me faire l’amour et de me mettre une balle dans la tête. Malheureusement, je suis trop lâche pour me faire face de la sorte.

    Et je continue de caresser mon ventre, de le sonder, mes doigts dansent dessus. J’essaye de faire la part des choses. Ca n’était qu’un fœtus. Un fœtus, ça n’est pas quelqu’un. Mais rien que de l’imaginer, recroquevillé en mon sein, persuadé d’y être en sécurité, persuadé d’avoir trouvé quelqu’un qui l’accepte et l’aime, quelqu’un qui le chérira, rien que d’imaginer la trahison que cela représente, je m’abhorre encore plus. Je crois que je vais cracher de la bile tellement mes entrailles me hurlent leur dégoût. Mais je sais que ça ne changera rien, je sais que ma peine ne s’en ira pas, je sais que je resterais cette salope vénale et lâche toute ma vie, aussi courte soit-elle, et je sais que ce sera encré en mon être, en ma chair, en mon esprit. Je sais que quoi que je fasse, je ne pourrais le nier. J’ai tué un enfant, une fois.




le papillon


    La musique me donne envie de faire de très vilaines choses. Cet espèce de syndrome est apparu à mes quatorze ans, soit peu après que j’ai perdu ma virginité avec l’oncle d’une de mes amies. Depuis, le moindre rythme fait de moi la plus grande pécheresse de tous les temps. Je suis déjà pleine de vices à l’origine, mais il suffit d’une mélodie pour que cela prenne des proportions étranges. Mais je ne crois pas que ça excuse quoi que ce soit. Ces flots d’alcools, ces vallées de coke, ces océans de bites et de minous, j’en aurait profité dans le silence.



    Mes cheveux blonds tournoient autour de mon visage parfait, pâle, resplendissant dans cet océan de ténèbres. Je continue de me frotter ostensiblement contre l’entrejambe de cet homme vulgaire, magnifique, dégoûtant, prisé, idéalisé… Le genre de filles que je donne l’impression d’être ne danse que pour passer à la suite le plus vite possible, y va à renforts de grandes danses effrénées et langoureuses, et je n’échappe pas à la règle. Je le fais avec plus de classe, c’est tout.



    Il y a sans doute eu un temps où j’étais heureuse. Un temps où je croyais que les mères étaient toutes rassurantes, belles et tendres, un temps où je croyais que je vivrai pour toujours, un temps où je croyais être libre, un temps où je croyais en l’amour, un temps où je croyais en la paix… un temps où je croyais en l’homme.
    Oui, il y a eu un temps où j’étais heureuse de la vie que je menait, tout bonnement parce qu’elle était imaginaire et surprotégée. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’à ce que j’ouvre les yeux.



    Le soleil était haut dans le ciel, et dans ce silence estival, seul persistait le chant des cigales. Les rayons de lumière chauds qui caressent ma peau, ma peau si douce, si jolie. Je suis une jeune fille, quatorze ans à peine, et je ne suis pas tout à fait entrée dans l’adolescence, un peu en retard sur mes amies. Peu importe, j’ai l’impression d’être pure, si pure. Et de toute manière, je n’ai pas vraiment envie de quitter l’enfance. Bref, je descends de la berline de ma meilleure amie, Eleanor, et m’avance sur la terrasse. Face à moi, une villa superbe, gigantesque et pourtant un peu vieillotte. On est en Juillet 2001, et je vais passer mes vacances avec ma meilleure amie et son oncle.

    Les deux premières semaines, tout allait pour le mieux, les banalités d’usages quand on est une riche héritière à peine pubère. On fait du shopping, on glousse bêtement, on se baigne. Le soir, on fait griller des marshmallows dans la cheminée hors de prix de tonton Stuart, et on rigole aux histoires drôles qu’il nous raconte. Ce soir là, Eleanor était partie se coucher plus tôt. Trop tôt.

    Sa main couvre ma bouche, je lui mords les doigts, avale son sang, sans que jamais il ne bronche. Il se contente de s’exécuter, lent, puissant, douloureux. Je pleure, suis prise de soubresaut, et il me tient fermement par la taille, me plaquant contre le tapis. Il pousse des gémissements rauques, je voudrais mourir. Mes cheveux emmêlés, ma peau pâle, mes joues roses, mes yeux verts émeraudes. Tout le pousse à m’aimer, tout le pousse à me détruire. Du haut de ses cinquante sept ans, il me submerge de sa froideur, de sa dureté. Le Stuart qui nous racontait des blagues est très loin, seul un monstre désireux subsiste. Il me tourne, m’allongeant sur le dos, et reprend de plus belle. Plus violemment cette fois, m’arrachant un cri. Me saisissant par les cheveux, il me force à le regarder. A regarder son sourire. Il finit par venir en moi et je voudrais hurler, je voudrais disparaître. Ses mains descendent sur mon buste, j’aimerai qu’il m’arrache le cœur, qu’il m’éventre. Mais non, il m’abandonne sur le sol, et s’en va. Mes larmes sèchent… trop tard.


    Nous sommes sur le chemin du retour, mon visage est appuyé contre la fenêtre. Eleanor s’est endormie, et je fixe le ciel de manière grave. J’y cherche obstinément quelque chose, un signe. Un signe que ça n’est qu’un cauchemar, que je vais me réveiller. Et rien ne m’apparaît, les arbres défilent, les rayons chauds du soleil passent au travers de leur feuillage, et un papillon vole, se posant sur la vitre, en face de mon nez. Ses ailes sont d’un vert profond et pourtant intense, comme mes yeux. Je souris de manière candide, dirige ma main vers lui, et me heurte à la glace. Doucement, une larme tombe de mon œil, chute le long de ma joue, roule contre mon menton et tombe sur ma gorge. Il me fallait trouver une tombe pour y emporter mon secret.


Dernière édition par Adelle M. Rogues le Dim 26 Avr 2009 - 14:48, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:20

La légende;

    La légende ? Une bande de demeurés sous acides qui s’amusent à se faire peur comme des gamins de maternelle. Si on en parle, c’est parce qu’on se fait décidément chier dans le trou du cul du monde. Et malgré la localisation peu judicieuse de l’endroit, j’ai d’autres chats à fouetter.



En Supplément;

    Vous voulez donner plus de détails, étoffer votre personnage en apportant des atouts physiques, psychologiques, des manies ou encore des préférences. Tout vous est permis pour vous permettre de créer le personnage le plus complexe dans votre esprit. Faites à votre guise.



En Réalité;

    Pseudo : Mandarine.
    Présence sur le forum : 5/7
    Où as-tu connu ce forum : Je crois que j'ai fait une fausse manip' dans mon clavier et pîs pouf ! ><
    Commentaire :
    As-tu lu le règlement ? : Avec modération (?)


Dernière édition par Adelle M. Rogues le Dim 26 Avr 2009 - 20:29, édité 2 fois
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Maureen S. Hanson
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:21

THE BRAVERY rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755 rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755 rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 581507
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:22

    Uiiiii rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755
    Merchiii rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 112325
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:25

MON DIEU (L)
J'adore ton avatar rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 581507
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:27

    xD
    Merchiii, mais c'est Amber qui fait tout rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 578949
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:30

BLONDE OU BRUNE ! Elle est toujours aussi sublime rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 581507
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:31

    Je ne peux qu'acquiescer rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:37

J'ai commencé à lire ta fiche ! J'aime le début rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 7083
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:38

    Oh rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 713843
    Re-re-merci alors rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 578949
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:41

    OMFG !!!
    Amber Heard rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755
    Bienvenuee =)
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:46

    GASPARD rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 432349 me faut un lien xD
    Vi, Amber rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 890149
    Merci rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 604605
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:50

Bienvenue rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 226894
Ouai, Amber est superbe rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755
Bonne chance pour la suite de ta fiche rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 545483
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:52

    Merci rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 665191
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 20:29

    Amber est apprécié icii rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 521698
    Ouiii un Lieen rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 31154
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 20:34

    Et dieu sait que ce n'est pas le cas partout rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 35093
    Je te mpopotte... tu n'as rien contre les liens tordus j'espère ? rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 294574
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 20:35

Ahh une nouvelle Amber ! <3 Je file te la réserver.
Ta citation me fait "rire" parce qu'on l'a eu une fois pour une dissert'. Enfin on s'en fout, bienvenue sur UL ! rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 112325
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 20:37

    Thanks rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 578569
    C'est bizarre comme coincidence, ça xD Merci rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 578949
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 20:38

    Je préfère même cela rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 294574
    Personne n'a du gout alors ! xD
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeSam 11 Avr 2009 - 11:42

Bienvenue rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 578569
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeSam 11 Avr 2009 - 14:34

    Bienvenu ! =)
    Bonne chance pour ta fiche ;)
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeSam 11 Avr 2009 - 17:04

    Amber :)
    Bienvenue sur urban legend =D
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Enzo G. Stevenson
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeDim 12 Avr 2009 - 19:15

    Ton avatar, ton Ban rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755 On a une artiste réellement fabuleuse parmi nous, ou je reve? rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 432349
    Et puis Amber reste un choix miraculeux, l'ancienne femme de ma vie rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 7083

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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitimeLun 13 Avr 2009 - 19:46

    Merci, même si c'est UN artiste et que ce sont les textures qui font tout rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 112325
    Vui, Amber rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 661755
    Là aussi, j'exige un lien, parce-qu'un Rob' qui ne soit pas l'exact reflet d'Edward, ça sort (enfin !) des sentiers battus ! rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 665191

    Merchi des bienvenutations rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. 890149
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MessageSujet: Re: rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C.   rogues. DESPERATE FOR ATTENTION { U.C. Icon_minitime

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