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 Let's talk about freedom [Juliette]

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Ken Elliot
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Ken Elliot


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MessageSujet: Let's talk about freedom [Juliette]   Let's talk about freedom [Juliette] Icon_minitimeMar 22 Sep 2009 - 21:30

Let's talk about freedom.


    Quinze heures, un mardi. L'heure où les gens honnêtes prennent leur pause … L'heure ou Ken venait d'émerger de sa sieste et où un café se faisait sentir. Ayant été de garde au commissariat tout le week-end, il avait l'impression d'avoir été lessivé par une moissonneuse-batteuse ou n'importe quoi d'aussi affectueux. Un jour de congé, donc, qu'il avait mis à profit en sortant, en dormant et en promenant son chien. Un comme tous les autres, classiquement, parce que la vie de Ken Elliot n'était pas très remplie en ce moment.
    A vrai dire, il avait prévu de se réfugier aux archives du Comté pour faire une ou deux recherches. Le week-end avait été mouvementé en arrestations, tapages et agressions en tout genre … Et en grand-mères qui n'avaient pas de choses particulières dont se plaindre, mais qui trouvaient que le comportement de leurs voisins et amis avait changé.
    Pas tant d'appels que ça, au final, juste de quoi s'occuper. Mais tout de même, cette situation était un peu moins tranquille que ce dont les habitants de Greenville avaient l'habitude. Ça, allié aux rumeurs qui circulaient au sujet de la forêt, et aux étudiants qui en étaient revenus traumatisés, méritait bien un petit tour. Juste histoire de se renseigner. Ou mieux.

    Mais qui dit archives dit archivistes pénibles, dit petite pièce poussiéreuse, et des heures passées dans le noir. Le café du Starbucks arrivait à point nommé pour remédier à l'ennui que cette situation allait provoquer.
    Comme à l'habitude, le café était blindé, essentiellement d'étudiants – le reste de la population de Greenville travaillait dans sa grande majorité. Ken n'avait pas fait d'études, si ce n'est l'école de police, contrairement à ses sœurs. Il ne se sentait pas particulièrement stupide pour autant, et lisait pas mal en-dehors. Et puis l'école, ça ne lui rappelait qu'un nombre incalculable de bagarres avec des enfants stupides. Il avait donné, merci.

    Il connaissait des gens, en revanche, dans l'université, et quand son regard croisa celui de Juliette MacDonald, il lui adressa un signe de la main, avec un sourire ravi, avant de se diriger vers elle.

    Juliette était la petite sœur de Jonathan McDonald, son meilleur ami depuis un bout de temps. Feu son meilleur ami. Jon avait perdu la vie deux ans auparavant, dans l'accident de voiture qui avait couté la vie à toute la famille … Sauf la dernière, Juliette.
    Ils se connaissaient avant, et Ken avait cette habitude protectrice avec les soeurs de ses amis autant qu'avec ses soeurs... Maintenant, les choses s'étaient aggravées, en quelque sorte. Comme Jon ne pouvait plus veiller sur elle, il lui semblait que c'était son rôle, vous comprenez ? Elle faisait partie de ces jeunes filles qui sont dures comme le roc … jusqu'au jour où l'on retrouve leur corps dans un fossé, brisé et fauché avant même d'avoir connu la saveur de la vie.

    « Salut, miss » fut la première de ses phrases. Ils se connaissaient assez. « Quoi de neuf ? »

    Avec son accent traînant, le « what's up » sonnait plutôt comme « wazup », mais ça n'avait aucune importance. Tous ceux qui connaissaient un tant soit peu l'Alabama. Ou le Texas. Ou n'importe quelle ville Dixie. Bref – eux savaient que cet accent était normal, donc c'était sans doute le cas de Juliette.

    « Ça fait un bout de temps qu'on s'était pas vus », ajouta-t-il.

    En fait, ça faisait presque deux semaines. Il ne voulait pas être trop sur son dos, au final. Elle avait l'air de le prendre suffisamment mal pour l'instant ...
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MessageSujet: Re: Let's talk about freedom [Juliette]   Let's talk about freedom [Juliette] Icon_minitimeJeu 24 Sep 2009 - 19:58

    « Salut, miss » Quand j'entendis cette voix prononçant ses deux mots là je me suis dit, qu'est-ce que Ken me veut encore, qu'est-ce que j'ai encore bien pu faire. Il ajouta encore deux phrases après celle-ci, deux phrases que je ne pris même pas la peine d'y répondre. Ce n'est pas que je détestais Ken car, ce n'est pas le cas. C'est quelqu'un de bien que d'un côté cherche tout simplement à me proteger cependant, la chose qu'il n'a pas encore compris c'est que j'ai nullement besoin de protection. Je suis déjà grande et les derniers évènements de ma vie m'on obligé à apprendre à me débrouiller toute seule et comme je n'y avais pas le choix, je m'y suis faite. Ken était le meilleur ami de mon frère et mon frère était quelqu'un de très protecteur et quand celui-ci est mort dans cet accident de voiture, Kennedy c'est en quelques sortes senti obligé de me protéger et de jouer les grand-frères. Il ne veut pas que je dépasse certaines limites cependant, ce n'est pas à lui de m'imposer ses limites. Il peut être policier ou même jardinier il n'arrivera pas à m'imposer les limites qu'il cherche à m'imposer. Selon lui c'est pour mon bien.

    C'est vrai que bientôt cela allait faire deux semaines que je n'avais pas vu Ken. J'ai trouvé cela très bizarre, mais pendant quelques jours j'ai cru que Ken avait enfin comprit que j'étais déjà assez grande et que j'avais aucunement besoin de sa protection qui commençait peu à peu à devenir suffocante.

    « Oui, deux semaines. Tu aurais pu encore tenir quelques jours de plus tu ne trouves pas ? Je commençais tout juste à profiter de cette liberté que tu m'avais involontairement accordé » Oui, je ne suis pas conne. Si je n'avais pas vu Ken durant ses deux semaines c'est sans doute car, celui-ci a été très occupé avec son boulot et ça devait être assez important car, même quand celui-ci est occupé avec son boulot il arrive toujours à trouver une petite heure pour venir me contrôler et pour savoir si pendant la journée j'ai tout fait correctement. Il commence trop àcroire au rôle de grand-frère.

    « Alors que fais-tu ici ? Normalement un policier doit être en train de nettoyer cette ville de tous les criminels et protéger des gens qui on en réellement besoin car, tu sais je suis grande maintenant au cas ou tu n'aurais pas encore remarqué et je sais très bien me débrouiller toute seule. »

    Vous savez, j'adore Ken pour autant que ce soit bizarre je l'adore et j'aime sentir le fait que je suis en sécurité cependant, il doit comprendre qu'un jour quand il aura une femme et des enfants il ne pourra plus jouer les grand-frères avec moi et malheureusement je dois découvrir une façon de me sentir en sécurité mais toute seule. En quelques sortes, Kennedy fait son boulot car, après tout un policier se doit de protéger les habitants de Greenville cependant, il doit comprendre que le temps qu'il perd avec moi il aurait pu être auprès d'une fille qui lui plaît ou alors faire plus correctement son boulot, donc protéger les autres. Ceux qui en on besoin ! Mais comment lui faire comprendre ça sans le blesser et sans lui dire qu'enfaîte j'aime sa présence ?

    « Je comprends le fait que tu te sentes obligé de me protéger de tous les maux de cette ville car, tu étaiscomme un frère pour mon frère. Tu fessais presque partie de la famille, tu passais beaucoup de temps à la maison et je comprends ta réaction finalement. Mais j'ai appris à vivre toute seule et à me débrouiller toute seule et j'ai du mal à accepter que quelqu'un veuille entrer comme ça dans ma vie avec l'excuse qu'il a l'obligation de me protéger » Trop gentille ? Trop directe ? Aucune idée cependant, j'ai un peu dit ce que je ressentais.
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Ken Elliot
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MessageSujet: Re: Let's talk about freedom [Juliette]   Let's talk about freedom [Juliette] Icon_minitimeSam 26 Sep 2009 - 20:50

    j'allais répondre et puis plus de Juliette Oo What's going ooooon ?
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MessageSujet: Re: Let's talk about freedom [Juliette]   Let's talk about freedom [Juliette] Icon_minitime

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