BURTONHEATHCLIFF.INC

agnessaa. ça c'est heath :

Citation :

« Heathcliff.... C'est son foutu prénom à ce qu'on m'a dit.
Il faut dire que ce mec s'est vite fait repéré et chez nous il ne faut pas longtemps pour que tout le monde sache tout des gens classés comme intéressants. Parce qu'évidemment c'est ce qu'il est intéressant; c'est même un doux euphémisme à mon avis il est intrigant, obsédant et il dégage une confiance en lui-même presque irréel. On dirait que tout ne tourne qu'autour de lui et qu'il le sait parfaitement, mais pire encore qu'il s'en amuse carrément. C'est ce genre de personne qui attire tout les regards peu importe la situation et ça ce n'est pas dût uniquement à son physique. C'est ce qu'il dégage, ce mystère qui entoure chaque gestes et chaque regards, ses sourires qui n'en sont pas vraiment. Il a cette façon de tout faire avec narcissisme et nonchalance, une façon d'être qui le rend forcément intéressant et qui ne permet que de savoir de lui que même s'il à l'air d'un gosse pourrit gâté il n'en est surement pas un. Enfaite en y réfléchissant bien il est un peu comme moi, peut-être en moins pervertis, mais il y a une obscure ressemblance. Quelque chose qui a fait que dès qu'il est arrivé à la fête les regards se sont posés tour à tour sur lui puis sur moi. Comme si pour tout le monde il était évident qu'il deviendrait ma proie autant que je serais la sienne.
Heathcliff c'est le mot que cette fille m'avait soufflé à l'oreille, après quoi elle s'était mordue la lèvre inférieure et avait rigolé devant ma mine boudeuse. Je m'étais allumé un autre joint en l'observant du coin de l'œil, je ne cherchais pas à l'observer discrètement, la timidité n'est pas un sentiment que je connais. Non je le regardais avec intérêt sans me laisser emporter par la fascination que l'on devinait dans la plupart des regards féminins alentour. En réalité l'opinion des autres n’avait aucun intérêt et ce n'était pas parce que les autres étudiants nous avaient rapprochés en un clin d'œil que je posais mes yeux gris sur lui. Il a croisé mon regard et j'ai cru y voir la même curiosité qui illuminait mon regard déjà rendu flou par la dose de substances et boissons consommée. Une chose fut étrangement certaine pour moi, ce mec était pour moi, tout chez lui semblait avoir été créé pour me plaire. De son air de BCBG à son expression narcissique, un foutue mélange de tout ce qui pouvait me rendre accroc à autre chose que ma drogue. Les soirées s'étaient multipliées, gardant leur fréquence habituelle, j'étais de toute les soirées comme je l'avais toujours été. A chaque fois il faisait son apparition au milieu de la fête et toujours nos regards se croisaient. On s'étudiait, on s'apprenait, on s'évitait et on s'amourachait du physique de l'autre; en tout cas c'est ce qui m'arrivait et ça c'était quelque chose d'incompréhensible. Chaque fois que son petit crâne blond entrait dans mon champ de vision, je sentais les regards qui faisaient l'aller-retour. Je sentais aussi le désire de lui parler, d'entendre le son de sa voix, de voir ses réactions lorsque je lui parlerais, je voulais en savoir plus et cette idée obsédante me rendait imbuvable. J'étais d'une humeur exécrable quand il se trouvait au même endroit que moi, c'était avec plus de cynisme que d'habitude que j'envoyais chier mes prétendants; avec plus de méchanceté que je fusillais du regard les pétasses qui approchaient ma proie. Et depuis quelques temps ma proie c'était lui et uniquement lui, bien que je repartais toujours avec un autre mec. Un mec pour me contenter, mais qui jamais n'arrivait à le cheville de ce que Heath pourrait m'offrir, ça j'en étais certaine. Un soir de plus il est apparut devant moi, exceptionnellement prêt du tabouret sur lequel j'étais installée. Était-ce le hasard? Ou le fait qu'il ne fut qu'à trois chaises de moi était intentionnel. Il se faisait dragué furieusement et moi-même devait supporter les asseaux de mecs qui espéraient m'approcher. Entre chaque refus son regard azuré se posait sur moi et mes yeux de glace l’étudiaient. J'avais l'impression que son sourire se ternissait à chaque joint écrasé sur le bar et finalement je me suis décidée à l'approcher. Avançant vers lui avec l'assurance de ceux qui se savent plus beaux de la plupart des autres, avec la fragilité de mon corps maigre, avec le charisme de mon visage de glace. On s'est parlé, on a rit et il était évident qu'on se plaisait. Personne n'osait interrompre notre conversation, nous étions seuls au monde, au milieu de cette marée humaine. On a quitté la fête ensemble et pourtant on a pas partagé le même lit, par ça faute. La rage et la détresse qui ont prient le contrôle de mon corps étaient impressionnant, je suis partie telle une furie et je voyais l'ombre du regret dans ses yeux. Les fêtes ont reprises, les regards ont continués, les discussions, les éclats de rires, les engueulades. C'est évident il est pour moi autant que je suis pour lui et son refus de me sauter m'exaspère autant qu'il m'attire irrésistiblement. »
témoignage de mànùeyla dewèn, une junkie diablement pure


« Burton, vous voulez parler du salaud qui n’a pas voulu de moi juste parce que je n’étais pas assez blonde pour lui ? Oh oui, je le connais. Même trop. Son sourire froid, son visage diablement attirant et ses yeux … ces putain des yeux. J’étais au lycée avec lui. Tout le monde le connaissait à Greenville, même encore il fait parler de lui depuis que toute la population ait appris que ce cher Heathcliff allait devenir père. Je me souviens de ce jour-là. Il n’avait que dix-neuf ans, elle en avait dix-huit. Elle s’est précipitée vers lui en criant et en pleurant. Elle était comme possédée ; elle en voulait car c’est lui qu’il l’avait mise dans un tel état. J’aurai réagi pareil si j’étais elle. Au lycée, ces deux là sortaient déjà ensemble. Ils étaient vraiment très amoureux ; c’était le plus beau couple. Ils se connaissaient depuis l’enfance. Analeigh n’a jamais été populaire ; elle était bien trop bizarre avec ses cheveux roux et ses yeux bleus qui lui faisaient ressembler à une sorcière car oui, elle les envoûtait tous. Les filles avaient peur d’elle, les garçons la courtisaient mais son cœur n’appartenait au beau Heath. Ce jeune homme est issu d’une famille aisée. Beau, jeune et surdoué, il faisait la pluie et le beau sur le lycée, mais il n’a jamais été intéressé par sa popularité. Il ne savait pas en profiter, alors que des milliers de garçons auraient tué pour avoir sa place. Il était en quelque sorte le roi. Il parlait très peu et ses amis … ses vrais amis se comptaient sur les doigts d’une main. Malgré une certaine froideur, on m’a dit qu’il n’était pas du tout méchant. Même ses camarades l’appréciaient beaucoup car il était quelqu’un de bien et propre sur lui. Pas pour rien qu’il est devenu le président du conseil alors qu’il ne s’était même pas présenté. Nous n’avons pas regretté notre choix puisqu’il a été un très bon président. Efficace, rigoureux et loyal, il faisait le bonheur de tous. Tout le monde était fier de lui. Ses grands-parents, surtout. Une fois le lycée terminé, il avait commencé peu à peu à changer. Il était toujours le même Heath, mais une part importante de lui s’est barrée. Le cœur brisé, il a eu le cœur en miette car cette Analeigh est parti en prenant avec elle sa progéniture : deux adorables bambins. Il avait alors vingt ans et allait à l’Université de Greenville. Tous les profs l’adorent (Ils le vénèrent presque. C’est le petit-fils de l’ancien maire. L’université a bien besoin de fric, en ce moment depuis la mort mystérieuse de quelques étudiants). Il a de très bons résultats ; il travaille à mi-temps avec son grand-père pour mieux apprendre les ficelles du métier. Il fumait toujours autant, allait aux fêtes (conventionnelles ou pas) et sortait avec quelques filles par-ci, par-là. J’en fus la malheureuse victime. Depuis qu’il a réussi à reprendre ses gamins, il s’est quelque sorte assagi ou bien devenu complètement taré comme disent certaines. Il m’a jeté une première fois, puis une deuxième mais je revenais toujours à la charge. Encore, je tente tout pour l’avoir dans mon lit et je compte bien employer les moyens pour quitte à écraser toutes mes concurrentes. Comment je sais tout ça ? Bah, je suis dans la même fraternité que lui : les Zeta Beta. Il en est maintenant le Président. Je n’étais même pas surprise. Bien qu’il soit assez exigeant avec les bizuts et sans pitié avec les anciens, il est très bon Président ; mieux que l’ancien d’ailleurs. »
témoignage de mary-ann meester, une nympho complètement allumée

« Pourquoi ce mec est toujours comme ça ? Comme si il portait tout le monde sur ses épaules. Le problème c’est qu’il ne se plaint jamais. Il ne réagit pas lorsqu’on l’insulte, il ne réagit pas lorsqu’on lui dit qu’on l’aime. Rien, le vide intersidéral. Le néant. Il ne ressent rien, il ne veut plus rien ressentir depuis qu’elle est partie. Encore aujourd’hui. Il laisse une certaine distance avec la gente féminine, mais parfois lorsqu’il s’ennui, il commence à jouer avec elle avec un certain plaisir, avec une certaine perversité ; mais il n’a jamais été brutal avec aucune femme aussi conne soit elle. Un vrai gentleman, mais il l’a dit lui-même : « aucune fille ne sera jamais à ma hauteur, alors à quoi bon chercher l’âme sœur, alors qu’elle n’existe pas. » Cependant, il a ses préférées comme cette Mànùeyla qu’on dit junkie, Jenae sa petite protégée, Kiana son amie d’enfance ou encore Tara, la baby-sitter de ses mômes. Ah oui, ces enfants. Deux adorables garnements : des faux-jumeaux. Agés tous les deux de cinq ans, ils ressemblent plus à leur père mise à part les yeux (leur mère). Des enfants très calmes et incroyablement intelligents. Il aime ses enfants plus que tout : il serait près à tout pour les protéger de leur effroyable et dans une certaine mesure, je l’admire pour cela. A l’hôpital, toutes les infirmières sont folles de lui. Moi, je ne suis qu’une simple interne. Je l’ai croisé plusieurs fois, mais j’étais trop timide pour lui. Etrangement, c’est lui qui a fait le premier pas. Et malgré tout ce qu’on disait sur lui, il était loin d’être narquois. Au contraire, j’avais un autre visage d’Heathcliff. Chaleureux et doux, il savait me mettre tout de suite à l’aise. Depuis, on aime parler de tout et de rien. J’avoue que j’attise la jalousie de certaines femmes, mais je m’en fichais. Je ne voulais pas aller plus loin avec lui, c’était bien ainsi . Platonique. »
témoignage d'ashley hannigan, une interne de rêve

« Heathcliff Clyde Burton et Dean Preston Carlyle. Inséparables et intrépides jeunes garnements que nous étions (nous le sommes toujours d’ailleurs, il ne faut pas changer les bonnes vieilles habitudes tout de même). Moi, le farfelu qui a toujours été son voisin depuis l’âge de neuf, du grand et ronchon Cliffy. Mon meilleur ami, mon frère, mon camarade. Solidaires jusqu’à la fin des temps. Que dire sur lui ? Prétentieux, arrogant, désagréable, je-m’en-foutiste, froid, perfectionniste, rigoureux, efficace, exigeant, j’en passe des meilleurs. Mais jeunes gens, vous ne comprenez pas. Ce n’est qu’un masque, un subterfuge pour qu’on le laisse tranquille. Gamin, il a toujours été ainsi. Certains l’aimaient, d’autres le haïssaient mais il ne comprenait pas pourquoi. Il avait toujours pour habitude de rester cloîtrer dans sa chambre avec un bouquin de je-ne-sais-qui. Il n'était même pas marrant (il l'est toujours pas d'ailleurs) et il était super pompeux à étaler toute sa science. Newton, Coppernick, Einstein, etc. (mais en même temps, c'est grâce à lui que j'ai réussi à terminer mon lycée parce que sans lui, je ne sais pas ce que je ferai. Mes mains s'en souviennent encore, j'en ai encore mal) Bref, des gens sans importance mais lui, il l'était. C'est grâce à lui que je ne suis plus dans la rue à errer et à voler pour quoi manger. JE LUI DOIS TOUT.»
témoignage de dean carlyle, meilleur ami au caractère joyeux et son bras droit au sein de la confrérie

alors, j'espère que t'es bien accroché (a). non, sérieusement. jazzi est schizophrène, possédée par la légende et possédant un lien directe avec elle (une histoire avec ses parents enfin bon, un truc tordu mais sans grande importance pour un lien xD). elle ne se souvient pas de ce qu'elle fait pendant ses crises et ça la détruit peu à peu. elle se déteste tellement de se réveiller parfois avec les mains couvertes de sang sans savoir comment il est arrivé, et pourquoi. elle est très, très, très fragile et tellement facilement brisable. pareille à une brindille en fait. une porcelaine déjà tellement fêlée que le moindre coup peut être fatal. et parallèlement, elle se déteste tellement fort que sa seule occupation semble être de trouver le moyen le plus lent pour se détruire mentalement. drogues, alcools, prostitution. en fait, jazzi n'a aucun respect, ni pour elle même ni pour son corps. s'offrant à la souffrance et prisonnière de son propre enfer. elle est la fragilité même et a des allures de princesse déchue qu'on veut sauver, tellement ses yeux brillent la souffrance. si tu veux plus de renseignements n'hésite pas.