# Agyness Z. Whitaker • Who wants a psychoanalysis ?

Invité

(c) Misery Angel.

Agyness Whitaker
_________________Feat. Rachel Bilson

Carte d'identité;

Nom :

Whitaker. Le même Whitaker que celui qui règne en lettres d'or sur la façade du célèbre cabinet d'avocats Brittanique ; Whitaker & Clarks.

Prenom :

Agyness Zara. Le premier lui vient de sa Grand Mère paternelle ; Agyness Nymphadora Whitaker. La famille traditionnelle et concervatrice de la jeune femme concidère en effet comme un devoir d'honorer les aïeux en perpétuant les mêmes prénoms de génération en génération. Autant qu'elle le sache, Agy doit être la cinquième de sa famille. Elle, elle s'en fout royalement. De toute façon, sa Grand Mère était une garce née qu'elle déteste depuis son septième anniversaire. Son second prénom, Zara, ne revendique pas d'aussi nobles et traditionnelles origines. Une des nombreuses maîtresses de son père devait se faire appeler ainsi...

Surnoms :

Des surnoms, Agyness n'en collectionne pas vraiment. Il faut dire que, des amis qui auraient étaient suceptibles de lui en donner, elle peut les compter sur les doigts de la main. Et qu'elle ne se déplaît même pas dans cette situation, qui lui offre une plus grande liberté de mouvement ! Non, le seul sobriquet qui revient régulièrement, c'est son diminutif ; Agy.

Age & Date de Naissance :

22 ans ; 28 Février 1986.

Groupe :

Avec son désir maladif de toujours vouloir tout comprendre, il est clair que la jeune brune fera tout pour se retrouver dans le coeur de l'action !

La vie nous reserve bien des Suprises;

- Agyness Zara Whitaker ! Dépêche-toi, va t'habiller ! Les Griffith et leur fils seront là d'une minute à l'autre. Et pour l’amour du ciel, enlève moi ce jean ! Va enfiler la robe que je t’ai préparée…

Assise en haut des marches de l'escalier, la jolie brune de 15 ans lança un regard réprobateur à sa mère, accoudée à la rampe de bois ancien, en tailleur et hauts talons. Refermant à regret son vieil exemplaire de Guerre et Paix, Agy se leva et tourna les talons pour rejoindre sa chambre - pardon, son loft, sa suite, son palace, cela serait plus approprié. Avant d’arriver à destination, elle ne put s'empêcher de faire une réflexion épineuse à Mrs Whitaker.

- Ah mais oui, j'oubliais que Chace était de la partie également ! Quelle joie... soupira Agyness. Et combien de temps vont durer les festivités cette fois ? Tu sais, manège de petits fours, faux compliments et sourires pincés… J'ai le vague espoir que le dîner ne s'éternise pas. Parce que - je suppose que tu l'as oublié - je dors chez Georgie ce soir, et j’aimerais arriver chez elle avant l’aube…
- Ce n'est pas Chace, mais Bryan ! Chace est le fils de la très aimable Mrs Spencer. Je t’en pris, ne fais pas cette erreur au dîner, Mrs Griffith déteste Mrs Spencer… Et s'il te plaît, parle-moi sur un autre ton quand nos invités seront là ! Tu vas faire mauvaise impression. Et arrange au moins tes cheveux, veux-tu ? ajouta sa mère après un regard critique à Agyness. Un chignon serait nettement préférable. Oh, Dereck chéri, va donc près de la porte et tient toi près à accueillir les Griffith…

Agyness sourit en captant le clin d’œil complice que lui adressa son frère Dereck. Jamais elle n’avait comprit comment son jumeau avait réussit à entrer dans les bonnes grâces de sa mère tout en continuant à porter des jeans troués aux genoux et à sortir avec ses amis de seconde zones… Sans doute le luxe d’être le ‘bon jumeau’ ! Exécutant un salut militaire à l’adresse de Mrs Whitaker, elle se dirigea vers sa salle de bain pour y enfiler la coûteuse – et Ô combien classique – robe que Mrs sa mère lui avait préparé… Après avoir attaché ses cheveux en un chignon précaire, elle descendit et se posta à l’entrée près de son frère. Echangeant un dernier sourire avec celui ci, elle ouvrit la porte aux invités.

- Bonjour Mr et Mrs Griffith ! C’est toujours un plaisir de vous recevoir ! Et vous avez amené votre fils Chace… Quel bonheur.

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- T’as vraiment lu tous ces livres ?

Agyness esquissa un sourire en posant sur son étagère son dernier livre. Elle était arrivée à Glasgow la veille, et comme à chaques vacances, elle n’avait amené avec elle que le strict nécessaire de survie : Stendhal, Tolstoï, Marlowe, et moins d’une petite dizaine d’autres auteurs. Contemplant son trésor d’un air satisfait, elle alla rejoindre Eleanor sur son lit.

- Sans exception ! répondit la jeune brune en souriant. Rick me traite tout le temps de rat de bibliothèque, mais ça n’empêche que c’est lui qui m’a offert la plupart.
- Dereck ? Tu parles tout le temps de ton frère, mais jamais de tes parents. Pourquoi ? demanda Eleanor d’un ton prudent.

Parce qu’il était tellement plus facile et agréable de parler de Dereck que des parents Whitaker ? Agyness réfléchit quelques secondes… Elle connaissait son amie depuis quoi ? Sept ans ? Agy se rappelait très bien de leur rencontre : elle avait 9 ans, et Ely en avait 8. C’était la première fois que la jeune Whitaker passait ses vacances dans la campagne écossaise, et sa grand-mère avait organisé une réception en son honneur, pour la présenter au voisin. Déjà l’époque, Agy avait une sainte horreur de ce genre d’évènements mondains, et elle avait vite fait de se planquer sous une table avec un livre… Rapidement, Ely l’avait rejoint. En bonnes ’copines de planque’, elles avaient passé l’après midi ensemble, puis la suivante et le reste du mois. Depuis, elles se retrouvaient chaque vacances, et avaient finit par devenir plus que proches. Bien qu’elles ne se voient que quelques jours dans l’année, le plus souvent pendant les vacances, Eleanor Lys Johnson était la meilleure amie que Agyness ai jamais eut. Et pourtant, elle ne lui avait jamais parlé de ses parents… Sûrement un de ces sujets qu’on dit ’tabou’.

- Je ne m’entends pas très bien avec ma mère, avoua Agyness au bout d’un moment. Ou plutôt, elle ne s’entend pas très bien avec moi… Disons que je suis ce que je suis, alors qu’elle aimerait que je sois quelqu’un d’autre. J’ai un peu l’impression d’être… une continuelle déception pour elle. Une preuve vivante qu’elle a raté quelque chose dans sa vie, et dont elle ne peut pas se débarrasser. Enfin, si j’en parle pas c’est surtout parce qu’il n’y a pas grand chose à dire ! On vient de deux planètes différentes toutes les deux, c’est tout.

- Et c’est la même chose avec ton père ? s’enquit doucement Ely.

Agyness partit d’un petit rire de dérision.

- Non ! répondit-elle. Non, pas vraiment… Mon père a plié bagage quand j’étais gosse. Avec Dereck, on devait avoir, aller… 4 ans ? Pendant six ans, maman a voulut nous faire croire qu’il était mort, mais un jour on a retrouvé dans le grenier tout un tas de lettre qu’il nous avait envoyé de Chicago. Rick est entré dans une colère folle, il n’a pas parlé à ma mère pendant plus d’une semaine… Et pourtant, c’est toujours lui qu’elle a préféré.

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- Tu seras partit combien de temps ? chuchota la jeune brune à l’adresse de son frère.

Un vent glacial étendait son glas sur le perron des Whitaker. Sans quitter son jumeau du regard, Agyness ramena ses mèches vagabondes derrière ses oreilles et resserra les pans de sa robe de chambre.

- C’est simplement l’histoire de quelques semaines Agy, je te le jure.
- Je te déteste de partir comme ça, de me laisser seule avec le Tiran… murmura la jeune fille d’un ton amer. En plus, c’est à moi qu’elle va en vouloir quand elle va découvrir que tu t’es enfuit comme un voleur !
- Arrête Agy ! répondit Dereck en riant. Maman n’est pas si terrible… Et je serais rentrer pour notre anniversaire. Je te ramènerais un livre !

Un sourire triste détendit les lèvres d‘Agyness, comme un rayon de soleil qui tente de crever un ciel brumeux.

- T’as plutôt intérêt ! insista-t-elle avant de prendre son frère dans ses bras. Tu vas me manquer Ricky…
- Toi aussi tu vas me manquer…

Sur l’allée pavée, quelques coups de klaxons discrets se firent entendre.

- Faut que j’y aille, nota Dereck d’une voix rauque. Les gars s’impatientent.
- C’est ça, casse toi ! répondit Agy avec un sourire, en le poussant vers l’allée. Va éblouir toutes ces maisons de disques friquées ! Et si tu ne décroche pas au moins un Grammy Award, c’est même pas la peine de montrer le bout de ton nez…

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Deux mois ! Cela faisait plus de deux mois qu’Agyness n’avait pas plus son frère, n’avait pas entendu le son de sa voix autrement que par une ligne brouillée au téléphone. Pour elle, c’était un record. Passer deux mois sans son frère, c’était un peu comme passer deux mois sans son bras gauche. Pas très commode pour une gauchère… Enfin, aujourd’hui ils fêtaient leur 18 ans, et Dereck lui avait juré qu’il serait de retour pour leur anniversaire. Il le lui avait promis, et Ricky tenait toujours –toujours – ses promesses.

C’est donc d’excellente humeur que la jeune fille se réveilla ce matin là. Et elle était toujours d’excellente humeur lorsque le téléphone sonna, au coup de 10h.

- Demeure des Whitaker, bonjour ! répondit Agy d’un ton grandiloquent et joyeux, le combiné coincé entre son épaule et son oreille.
- Mrs Whitaker ? Ici le Docteur Stewart sur Sacred Heart Hospital…

Son euphorie retomba d’un coup. Soudain inquiète, elle leva la main et colla le combiné contre son oreille avec force.

- J’appelle au sujet de votre fils, Dereck Whitaker.

Dans un état second, Agyness écouta la voix froide lui annoncer la tragique nouvelle. Sans qu’elle ne s’en rende compte, le combiner lui glissa des mains pour aller se fracasser contre le plancher. Dereck ne rentrerait pas ce soir. Ni les soirs suivants. Dereck ne rentrerait plus jamais.

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- Cela va bientôt faire deux mois que nous nous connaissons Agyness, et vous ne voulez toujours pas parler des sujets que nous sommes censées aborder ensemble…

D’un air indifférent, Agyness leva les yeux vers sa psychologue. Normal qu’elle soit frustrée, songea-t-elle. Sa mère la payait une fortune, et elle ne pouvait même pas faire son boulot convenablement.

- Pourquoi ne pas parler de votre frère aujourd’hui ? Pourquoi ne pas parler de Dereck ?
- Et pourquoi ne pas plutôt parler de vous, Mrs Stevenaert ? En entrant j’ai aperçut votre corbeille à papier remplie de mouchoirs, et maintenant que je vous regarde, je vois que vos yeux sont rouges et gonflés. Vous avez pleuré avant notre séance. De plus, votre téléphone est en miette sur le sol, et vous ne portez plus votre allience ; alors que vous la portiez la semaine dernière. Vous voulez peut-être en parler ?

La psychologue accusa le cou et ne retint pas son sourire.

- Vous recommencez ce que vous faites toujours, Agyness. Toujours. Il est tellement dure pour vous de vous ouvrir aux autres, de parler sérieusement à cœur ouvert, que vous vous jetez sur la première opportunité qui vous passe sous la main afin de changer de sujet, de détourner l’attention. Et vous ne vous souciez même pas du mal que vos paroles peuvent causer… Je dois dire pour moi-même que vous êtes très douée pour cela, vous avez un sens de l’observation remarquable. Oui, mon mari et moi avons divorcé. Oui, la situation est très douloureuse. Cependant, aujourd’hui, ce n’est pas moi qui suis censée me faire psychanalyser.

La jeune Whitaker ne répondit pas. Depuis maintenant deux mois, la même comédie se tramait sans fin dans ce salon. Toujours la même, encore et encore. Comme un manège que l’on rembobine grâce à quelques pièces de monnaies, mais qui ne se renouvelle jamais. Sans croiser le regard de sa psy, la jeune brune détourna les yeux pour s’intéresser à l’étagère qui lui faisait dos. Elle était remplit de livre. En deux mois, Agyness ne l’avait jamais vu. Comment avait-elle pu passer à côté sans la voir ? Sans faire attention à la psy qui l’observait d’un œil professionnel, la jeune fille se leva et se dirigea vers le meuble. Du bout des doigts, elle effleura les ouvrages.

- Vous aimez lire ? s’enquit la psy.
- Je crois… Je ne sais pas. Ca fait longtemps que je n’ai pas essayé en fait.

La psychologue se leva pour la rejoindre devant l’étagère.

- Vous voulez que je vous en prête un ? proposa-t-elle doucement.
- Non !

Comme pour résister à l’envie, Agyness cacha ses mains derrière son dos et repartit s’asseoir sur le divan. A vrai dire, Agy n’avait pas ouvert un livre depuis la mort de son frère. Comment aurait-elle put, alors que ses soirées se résumaient aujourd’hui à sa dose de drogue et de sexe ? Pour oublier, diraient certains… Elle, elle ne disait rien. Elle faisait, c’est tout.

- Dereck n’aimait pas lire, dit-elle au bout d’un moment. Il achetait tout le temps des livres, mais ne les lisait jamais. Ils étaient tous pour moi… Son truc à lui, c’était plutôt la musique. Il était très bon là dedans… Vraiment très bon.

La jeune brune leva un regard vide vers l’étagère, avant de détourner les yeux.

- En fait, s’il n’était pas… Il aurait put en faire son métier. Et le monde entier aurait su à quel point il était bon. Mais le truc c’est qu’il est… Qu’il a abandonné. Alors personne ne le saura jamais. Sauf moi, poursuivit Agyness d’une voix légèrement tremblante. C’est assez dure à assumer seule, en fait. J’aurais aimé pouvoir partager ça avec quelqu’un… Mais les autres ne comprennent pas. En fait, il est le seul à m’avoir jamais comprit… Mais il m’a abandonné. En fait, j’ai toujours eu plus besoin de lui que lui n’a jamais eu besoin de moi.

Soudain, les larmes lui montèrent aux yeux et glissèrent sur ses joues.

- Et il le savait ! explosa-t-elle. Il n’avait pas le droit de m’abandonner ! Les gens qui nous aiment ne nous laissent pas seuls ! Je lui ai dit que je le détestais de partir, et il est quand même partit… Il n’avait pas le droit de mourir ! Pourquoi a-t-il fallut que ce soit lui, et pas un autre ?! J’aurais préféré mourir à sa place… J’aurais du mourir à sa place ! Il a toujours été le bon jumeau, et il était plus fort que moi. Il aurait pu s’en remettre, si j’étais morte. Moi, je ne m’en remettrais jamais ! Jamais ! C’est moi qui aurais du mourir !

Notant inlassablement des remarques sur son carnet, la psychologue la laissa laisser libre cours à ses larmes pendant un moment, avant de reprendre.

- Pensez à votre mère Agyness. Si vous étiez morte, elle n’aurait plus personne. Vous devez être forte pour elle, comme Dereck aurait été fort.
- Ma mère ? répéta Agyness. Elle est du même avis que moi. C’est moi qui aurais du mourir…

Je suis persuadée que Enzo adorera se faire Psychanalyser par une vieille fille totalement tordue En meme temps, mon gars c'est un vrai cas social. Ils font s'entendre, où plutot se detester

Soit, on s'en fou ! Juste que t'as prit mes Icones quoi Bon tu vas changé de perso dans quelques secondes, et ils vont disparaitre, mais c'est l'intention qui compte :26:

Et ma grosse Nouille d'amour, c'est toi qui gères pire que la fougèèèèère (je suis fan de mes Smilies, c'est normal ?)

PS : Si tu commences aussi, je risque de mettre des coups en double. Ca existe les reglements t'étais pas au courant ? (a)

Invité

HOT. OMG ; Louvinette, tu n'imagines pas l'effet que tu me fais avec cet avatar. J'ai tellement de bouffées de chaleur que mes lunettes sont toute embuée. C'est tout aussi bien si Enzo veut bien se faire psychanalyser par une pervers tordue et sadique, parce que la pervers tordue et sadique en question ne compte pas le lâcher !

Pour ce qui est des icones, c'était du tout vu ; ce sont les plus belles d'Olivia Wilde que l'on puisse trouver sur le net. Mais je dois dire que t'as cruellement raison ; elles risquent de ne pas rester. Outre le fait que l'autre Kenzouille me fait douter en disant qu'Olivia est moche, il y a le fait que je continue à la trouver trop vieille, même si elle n'a que 24 ans ; et à trouver - vous aller rire - Lei trop jeune. BOULET.

Un règlement ? Hein, quoi, comment, où ça ? Tu veux dire qu'il y a des règles ici, c'est pas l'anarchie, contre vents et marées ?!

(Il y a des Hot 'Oh mon dieu', pauvre petit Dieu xD)

Car ta SUPERBE Olivia est une Sadique tordue perverse. WAW. T'avais pas capté que le DIEUTISISME Enzo était perver, totalement perturbé et quelque peu Sadique. Il y a un truc pas logique Non les Opposés s'attirent, mais pas les Jumeaux de Personnalité, desolée xD On peut se haïr ?

Et S'il te plait, Calme avec les compliments . Genre d'Olivia sur le net, il y a des Bombes. Faut vraiment que vous arritiez de dire que je suis une magicienne, ou même que ce que je fais, c'est bien. Car ca va mal finir

Bon Leighton est parfaite, Olivia est Superbe et a le truc. Kenzouille va pas nous faire ~~chier~~, et ton foutu cerveau non plus :21: SELMOUETTE, LA BOULETTE

C'est vrai que mes forums sont toujours l'anarchie la plus totale. NON MAIS tu veux faire fuir les quelques pauvres petits gens qui vont venir ici ou quoi ? xD

Invité

Heyy !
Il est 01h28 du matin à l'heure où je commence à écrire ce post ; et comme chacun le sait, 01h 28 du matin, c'est l'heure des grandes annonces. Alors voilà... Je me lance, je fais mon Coming Out : Je me suis décidée pour Rachel Bilson !
Selmouille la Nouille, ou la logique incarnée. Si vous hésitez entre A et B, prenez W ; prenez toujours W. Rachel était mon W ! (a)
Quitte à ce que je change un peu le caractère que j'avais imaginé pour mon personnage ; c'est elle que je veut jouer, alors allons-y, sortons le Champaaaagne !

Ps : Ce smiley est vraiment dégoutant !
Double Ps : Louvinette, amour ou haine ; il nous faut un lien CFFB ! On en parle ~~demain~~ aujourd'hui.
Triple Ps : C'est pour ça que tes fo' sont toujours si attirants. L'anarchie ROCKS !

BONNE NUIT !

Invité

Je n'arrive pas à croire que t'as posté ta présentation hier et que je n'y floode qu'aujourd'hui !
Je sors le champagne : JAIME RACHEL ! JAIME SELMA ! En clair je suis aux anges.
Sinon Louve, AGYNESS C'EST MA MIENNE OK ?? (quoique j'en suis pas si sûr xD)

Je te l'ai déjà dit ton prénom rockait ? Parce que sérieusement : # Agyness Z. Whitaker • Who wants a psychoanalysis ? 396328

# Agyness Z. Whitaker • Who wants a psychoanalysis ? 396328

!
Soit, je suis trop cruche ce matin pour flooder. Alors je vous dis à 17h : Là rien ne m'arrêtera ! (l)

Votre trop plein d'amour me rend trop niaise, je devrais m'endurcir un peu ! --'

Invité

Je savais bien que le Gobelet d'Amuur arreterais de faire ~~chier~~ si je prenais Rachel.
Tout le monde aime Rachel, tout le monde est d'accord lorsqu'il s'agit de Rachel !

Vous savez quoi ? Je sors seulement à l'instant pour aller en ville. Espérons que je sois rentrée assez tôt pour THE lancement ; je m'en voudrais trop de rater ça.

& Thanks pour le prénom ; c'est Louvinette qui m'a convaincu.

KENZOU - OU PLUTOT KENZICHOU - JE T'INTERDIS DE T'ENDURCIR. ETRE NIAIS, C'EST TROP BIEN ! LES NIAISERIES SONT L'AVENIR. BE CHEESY ; SAVE THE WORLD.

Invité

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*sors très vite*

JE VOUS AIME

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Invité

La vie nous réserve bien des surprises; suite & fin.

- […] Et les Bois de Greenville n’ont qu’à bien se tenir !
- OUAII !

Agyness leva les yeux au ciel. Le groupe d’étudiants n’avait monté le camp au centre de la Forêt que depuis quelques heures, pourtant les lieux avaient déjà perdu tout relents boisé et bestial pour n’être envahit que par des effluves d’alcool. Comptez sur une cinquantaine d’étudiants motivés armés du double de litre d’alcool pour dépouiller un séjour dans les bois de tout son charme naturel… Jetant son sac de randonné dans l’une des nombreuses tentes, Agy choisit un tronc d’arbre renversé qui trônait un peu à l’écart du feu de joie autour duquel les étudiants s’amusaient et se saoulaient et s’y assit, avec pour seul compagnie un livre. Indifférente au reste du monde, elle plongea simplement dans sa lecture. Pourquoi se mentir ? La jeune femme était parfois du genre asociale. Non pas qu’elle soit timide ou quoi que ce soit. Au contraire, elle savait très bien se mêler aux autres, que ce soit pour sortir les crocs ou pour se comporter de manière plus délurée. Quand elle le voulait, elle pouvait même déployer des trésors d’amabilité et de société. Elle pouvait jouer n’importe quelle carte et n’importe quelle façade du moment qu’elle le voulait. Mais la plupart du temps, elle préférait rester en retrait de l’attention ; suffisamment près pour pouvoir observer le spectacle à sa guise, tout en demeurant assez loin pour ne pas être déranger. Et il aurait été aussi ridicule que vain de chercher à cerner le véritable caractère de la jeune brune ; elle était ce qu'elle était.

Loin de l’ambiance festive et alcoolisée qui régnait tout autour d’elle, Agy leva les yeux de son livre et balaya l’étendue boisée du regard. Ses prunelles brunes se posèrent alors sur une jeune femme qui se tenait un peu à l’écart du feu de camp et des festivités. Intriguée de la voir si en retrait du reste des étudiants, Agyness laissa son regard s‘attarder sur elle, par-dessus la reliure de son livre. L’étudiante en question était une grande rousse. Ainsi décrite, elle aurait put paraître également élancée, sure d’elle ; dotée d’un caractère aussi enflammé que sa crinière. Pourtant, il suffisait de l’observer quelques secondes pour se rendre compte qu’il n’en était rien. Debout, elle semblait pourtant recroquevillée sur elle-même, se balançait maladroitement d‘un pied sur l‘autre et ne croisait le regard de personne. Ses yeux n’étaient pourtant pas rivés sur le sol ; attentivement, elle observait chacun des groupes qui riaient autour du feu, mais aussi discrètement qu’Agyness l’étudiait elle-même. Si elle avait du choisir un mot pour la décrire, Agy n’aurait pas hésité ; invisible. Une lueur d’envie brillait dans les prunelles de la jeune rousse . Ramenant des mèches vagabondes derrière ses oreilles, elle prit une inspiration et s’apprêta à avancer plus au centre de l’attention ; mais se ravisa aussitôt et son teint devint aussi cramoisie que ses cheveux. La jeune Whitaker songea que si l’étudiante ne se mêlait pas aux délices de la fête, ce n’était pas pour les même raisons qu’elle. Visiblement, elle en mourrait d’envie. Elle aurait tout donner pour se comporter comme n’importe laquelle de ces jeunes filles à l’assurance irrésistible. Pour abandonner à ses pieds son bagage émotionnel si chargé de timidité et d‘appréhension. Tandis que la jeune étudiante reculait de quelques pas, Agy se demanda ce qui pouvait pousser une femme à de tels retranchements, à une telle timidité. Quel avait put être l’élément déclencheur, dans toute l’histoire de la grande rousse, qui fasse qu’aujourd’hui elle semble à ce point incapable de se mêler au genre humain…

A quelques mètres, un cris se fit soudain entendre et Agyness sursauta. Apparemment, un type avait surestimé sa capacité à tenir l’alcool et s’était mis à vomir tripes et boyaux aux pieds de ses amis. Brusquement ramené à la réalité, la jeune Whitaker se rendit compte qu’elle avait les yeux rivés sur la rousse depuis plusieurs minutes maintenant. Secouant la tête, elle reporta son attention sur son livre, sans pouvoir se rappeler à quelle ligne elle s’en était désintéressée et avait arrêté de lire. Elle agissait toujours de cette manière… Chaque fois qu’elle levait les yeux et croisait le regard de quelqu‘un, elle ne pouvait s’empêcher de prendre cette personne pour sujet d’analyse ; d’observer jusqu’aux plus infimes détails de son comportement, d’interpréter ses moindres gestes et de chercher à comprendre ce que criait son sub-conscient. D’ailleurs, si elle avait décidé de répondre présente à cette expérience dans les bois, c’était en grande partie pour ces fins ; l’étudiante en psychologie appliquée qu’elle était envisageait pour sujet de son mémoire « L’influence de la peur dans les comportements humains et l’anxiété dans un groupe isolé. » Un jour, sa psy lui avait dit que si elle s’intéressait à ce point aux autres, c’était pour ne pas avoir à songer à elle-même, à ses sentiments, à ses peurs. Ce à quoi Agy avait rétorqué « Si vous n’avait rien de plus intéressant à me dire, autant de pas parler du tout. Vous en avez d’autres, des évidences comme ça, Socrate ? Franchement, un enfant de cinq ans aurait put arriver à ce résultat ! En un mois de psychanalyse… Bravo, vous pourrez dire à ma mère qu’on avance. Elle n’aura pas l’impression de jeter l’argent par les fenêtre comme ça ! »

Invité

Voilà, à priori c'est fini cette fois ci. Je ne suis pas convaincu par la dernière partie ; j'aurais préféré une anecdote qui mette en jeu les liens d'Agyness, mais j'ai toujours détester jouer d'autres perso dans ma présentation, j'ai l'impression de les massacrer.
Et comme ça vous avez un apperçu de la personnalité d'Agy !

J'vais quand même relire une 10 000ème fois, parce que la dernière fois que je l'ai fait il était 2h du matin.

Invité

# Agyness Z. Whitaker • Who wants a psychoanalysis ? 432349

Invité

MERCIIII !
ET EN PLUS, T'AS FINI TA FICHE ; ON VA POUVOIR SE FAIRE DES RP DE LA MORT QUI TUE EN ROLLER !

Ne me demande pas pourquoi je parle de Roller. C'est le premier mot qui m'est venu à l'esprit.