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 A bad bad thing [R]

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October Elwood
ADMIN ; future présidente de la France ;; accessoirement nommée lapin rose
October Elwood


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MessageSujet: A bad bad thing [R]   A bad bad thing [R] Icon_minitimeMer 9 Sep 2009 - 19:58


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A bad bad
thing




A bad bad thing [R] Bosw10 A bad bad thing [R] Crares10
© Dance the Dance/ © rarecelebs



    Et une journée de plus s’achevait à Greenville, une journée où October s’est encore efforcé à garder le contrôle d’elle-même, mais pourtant elle sait que quand la nuit sera pleinement posé sur le ciel de Greenville, ce sera l’inverse, elle deviendra la redoutable Ellen, pour aller bosser à l’Ecstasy. En effet, depuis qu’October a quitté la maison de ses parents biologiques, elle doit travailler. Au départ, bosser à l’Ecxtasy, le bar de Strip-tease de la ville ne faisait pas partie de ses projets, loin de là….Elle s’imaginait plutôt avoir un job dans un petit café dans un coin sympa de Greenville, ou encore dans une librairie. Mais après mûre réflexion, elle s’est dit que danseuse à l’Ecstasy serait le job idéal pour ne pas qu’on découvre sa maladie. En effet, en travaillant dans un café tranquille, si sa deuxième personnalité prenait le dessus ; ce serait certainement la catastrophe sur le lieu de travail, alors qu’en bossant à l’Ecstasy, elle y va déjà en étant Ellen, et si au cas où ; October réapparait, elle pourra essayer d’imiter l’attitude d’Ellen….Mais à vrai dire, l’endroit est tellement glauque, qu’October n’a jamais pris le dessus sur sa méchante double….

    C’était bien la seule fois où October forçait Ellen à prendre le dessus, elle détestait mais elle n’avait guère le choix. Elle y travaillait quatre soirs par semaine, et durant toute la journée elle appréhendait le moment où elle allait devoir danser à l’Ecstasy. Elle partait de chez elle une heure en avance, car le meilleur moyen pour qu’October ‘’se transforme’’ en Ellen, c’était d’aller dans la forêt ; cette maudite forêt…. Aujourd’hui n’échappait pas à la règle, à 21h elle prit ses affaires et s’en alla pour une petite balade dans les bois. A chaque fois qu’elle arrivait au bord de la forêt, elle sentit comme une force qui la poussait à l’intérieur de cette grande étendue. En effet, elle allait toujours au même endroit, toujours au même arbre, cet arbre où elle a été retrouvée lorsqu’elle était enfant, l’arbre où elle restait immobile pendant dix minutes à l’âge de six ans juste avant d’aller noyer son chien dans la baignoire familiale, cet arbre où à l’âge de seize ans, elle s’est réveillée les mains en sang avec un couteau à ses côtés et sa sœur quelques mètres plus long égorgée, cet arbre qui permettait à Ellen de surgir….Pourtant plusieurs fois, elle a essayé d’emprunter un autre chemin, de ne pas écouter la voix qu’elle affirmait entendre, mais malgré cela, elle arrivait toujours au même endroit : Ce fameux arbre ! Voilà maintenant une dizaine de minutes qu’October marchait à travers la forêt, dès que ses pieds avaient frôle le sol, elle se remémorait l’épisode avec sa sœur. Si seulement, elle se souvenait de ses faits et gestes lorsqu’elle était Ellen, elle pourrait enfin savoir si c’était elle ou non qui a tué sa propre sœur. A chaque fois, elle se force à se rappeler, mais rien, le vide complet. Elle se souvient seulement de la grosse dispute avec ses parents le jour de son seizième anniversaire lorsqu’elle coupait la gâteau, en effet, c’est à ce moment-là que ses parents ont décidé de lui annoncer qu’elle avait été adopté, October avait quitté la maison comme une furie avec le couteau qu’elle utilisait pour couper le gâteau. Elle se rendait dans la forêt et à ce fameux arbre, sa petite sœur la suivait en lui suppliant de se calmer. Mais une fois arrivée devant l’arbre, October ne souvient plus de rien. Elle se rappelle juste de son réveil avec sa sœur morte….Tout laissait donc à croire que c’était bien elle qui avait tué sa sœur.

    October était enfin arrivée à cet arbre, et comme toujours, elle resta immobile, et puis au bout de quelques minutes ; la force qu’elle sentit graviter autour d’elle, devenait de plus en plus forte. Puis, un sourire machiavélique se dessinait sur les lèvres d’October, enfin plutôt d’Ellen. Cette dernière resta quelques secondes devant cet arbre, elle s’approcha, posa la main dessus et soupira. Elle jeta un coup d’œil sur les vêtements qu’elle portait.


    Ma pauvre October, tu ne sais vraiment pas d’habiller ! Allez maintenant direction l’Ecstasy pour s’amuser un peu !

    Avant de quitter la forêt, Ellen fouilla dans le sac de vêtements qu’October avait pris pour le travail. Elle enfila un pantalon en cuir et un haut plutôt transparent.

    Ah c’est bien mieux comme ça !

    Ellen quitta la forêt en vitesse et se rendit au club de strip-tease. Comme à son habitude, elle salua de manière plutôt hautaine le personnel de l’Ecstasy. En effet, vu le caractère de feu d’Ellen, elle n’avait pas des relations très amicales avec les autres personnes qui travaillaient avec elle. Mais Ellen avait fait une rencontre plutôt troublante dans ce club. Une jeune fille blonde qui semblait tout comme Ellen, gardait un secret. Cette rencontre porta le doux nom de Velvet. Le point en commun entre les deux danseuses, leur fort caractère ! Et c’est d’ailleurs que la relation était plutôt électrique ! Il pouvait y avoir des soirs où elles s’entendaient à merveille et attention, car leur duo qu’elles formaient était plutôt machiavélique ! Lorsqu’elles unissaient leur force pour foutre le désordre la nuit dans Greenville, cela donnait un cocktail explosif, alors tous aux abris ! Mais, il y avait également des soirs, où les deux filles ne peuvent plus se voir en peinture, et là, c’est également tous aux abris, car tous les coups sont permis entre elles ! Les deux jeunes filles sont donc capables du meilleur comme du pire ! Ellen se rendit au bar et prit un cocktail, lorsqu’elle aperçut Velvet arrivée à son tour dans le bar, alors Ellen s’approcha de la blonde et fit mine de tomber afin de renverser tout son verre sur Velvet.

    Oops, je suis désolée ! dit-elle d’une façon ironique.

    Il fallait croire qu’aujourd’hui, ça allait être une soirée où Ellen n’avait aucune envie de se montrer gentille avec la jeune russe. Et encore, pour l’instant rien de bien méchant seulement un verre de renversé. Maintenant la balle était dans le camp de Velvet, alors allait-elle continuer ce petit jeu ou alors plutôt tenter de le calmer…





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Velvet Olejniczakaya

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MessageSujet: Re: A bad bad thing [R]   A bad bad thing [R] Icon_minitimeDim 13 Sep 2009 - 17:40

HS : Désolé du retard, et de la qualité. Je me rattraperai au prochain. A bad bad thing [R] 408658

    Encore une autre soirée où je me rendais sur mon lieu de travail : L’Ecstasy. Pour les personnes trop prudes, l’Ecstasy est une boite de striptease. Comment une fille comme moi a pu se tourner vers un travail avec aussi peu de moral et de respect envers soi-même. Pour la simple et bonne raison que ce travail me semblait complètement parfait pour entamer une nouvelle vie. Bien sûr, le salaire était loin d’être grandiose, mais comparait aux autres personnes présentes dans ce lieu, je m’en fichais pas mal, parce que j’avais un compte en banque à 7 chiffres. Je ne dépensais d’ailleurs jamais mon argent, sauf l’argent que je gagnais en dansant. Le reste, je le réservais pour les grandes occasions. Et même si ce travail arrivait parfois à me dégoûter, parce que, soyons clair, les femmes étaient traités comme des bouts de viandes, et étant une personne féministe, il m’était difficile de me laisser faire par des hommes craqués d’argents, sous prétexte qu’ils étaient trop moches, trop riches, ou trop vieux, pour se trouver une femme à peu près potable. Et là, vous devez vous dire : Dans ce cas, pourquoi fais-tu ce travail ? Et bien, je répondrais simplement : pour le contact avec les gens. Pas le contact physique, mais, dans ce genre de clubs, on peut se rendre compte de la nature des gens, voir leurs vrais visages. Pour les clients, savoir ce qui les poussent à venir jusqu’ici, et lançaient leurs argents par-dessus les fenêtres. Pour le personnel, comme les danseuses, savoir ce qui les poussait à faire un travail comme celui-ci. La plupart restait mystérieuse quant à tout ceci.

    Je dois avouer que je ne serais pas resté très longtemps si je n’avais pas fais la connaissance d’October. Il y avait des hauts, mais surtout des bas. Notre amitié était difficile à comprendre, même pour moi. Il pouvait y avoir des moments où on faisait les pires bêtises, et d’autres moments où notre seul rêve était dégorgé l’autre. Mais je devais dire qu’en ce moments, les bas étaient plus souvent présents que les hauts. Et malheureusement, aujourd’hui serait à nouveau un bas, comme la veille. La plupart du temps, j’essayai de garder en moi ma colère, car je ne voulais pas risquer de lui faire la tête au carré – en plus d’être bipolaire, je pratiquais des sports de combats, il était donc dangereux de me provoquer. Aujourd’hui, j’étais exceptionnellement à fleur de peau. Le videur m’avait sourit, et j’avais pris cela pour une moquerie, je l’avais alors insulté de tout les noms avant qu’une des danseuses ne vienne me calmé. Ce qui ne marcha qu’en apparence. Personne n’était au courant de mon côté bipolaire, sauf ma famille. Je n’en parlais pas, car je savais ô combien cela pouvait être dangereux de ne pas suivre ses médicaments. Cela faisait quelques années déjà que j’avais stoppé tout traitement, plus précisément, depuis la mort de mes parents. Une forme de rébellion selon moi, puisque ma mère me les faisait littéralement gobée lorsqu’elle était encore de ce monde. À l’époque, je refusais de les prendre, car je ne me sentais plus du tout normal. Le monde était devenu un danger pour une bipolaire dans mon genre. À la moindre chose, je pouvais partir dans une hystérie incontrôlable. Une fois, simplement parce que la bonne avait mal remis ma brosse à cheveux sur ma table, j’avais cassé toutes les choses à peu près fragiles qui se trouvaient dans ma chambre. Ce fut à ce moment précis que mes parents avaient finit par se poser des rudes questions quant à mon état mental.

    Je mettais finalement changé, lorsqu’on m’informa qu’October était arrivé, alors, j’avais finis par me diriger vers le bar. Mais si je mettais doutée de ce qu’il allait arriver, je crois que je serais restée chez moi, prétextant un mal de ventre improvisé. Quand son verre finit par atterrir sur mon haut à plus de 100$, à ce moment précis, j’étais prête à lui arracher la tête comme si elle n’était qu’une vulgaire poupée. Je haïssais son ton, et quelques personnes s’étaient tournés vers nous, comme si ils savaient comment les choses allaient terminés. Etrangement, j’essayai de garder le contrôle de moi-même. Mais voir sa mine presque, satisfaite, ne faisait que rendre ma colère encore plus puissante. Attrapant un verre à mon tour, je lui lançai le contenu du verre, avec le verre avec. Je me fichais pas mal de la blesser, mais elle le cherchait bien. October savait qu’il ne fallait pas m’énerver, surtout en ce moment. Puis, j’aurai pu faire largement pire, comme l’attraper par les cheveux, et la trainer sur le sol comme si elle était un balai à ordure. « Tu te crois drôle peut-être ? » Je jouais la carte de la provocation, ce que je maitrisais le mieux après la violence. « Non parce que, c’est très cliché, le coup du verre pour énerver la fausse copine. » Oui, j’avais bien dis fausse copine, car dans ses cas-là, nous étions plus ennemis que copines.

    Maintenant, resté à savoir si les choses allaient passés, ou si October allait revenir à la charge, histoire de montrer combien elle était faussement forte comparait à moi. Et puis, la seule chose où je pouvais être rassurée, c’est qu’elle ne savait strictement rien quant à ma vie. Et moi non plus, donc aucunes de nous ne pouvaient blessés l’autre en plein cœur avec des événements passé.
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October Elwood
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MessageSujet: Re: A bad bad thing [R]   A bad bad thing [R] Icon_minitimeMar 15 Sep 2009 - 16:39

[HS: Désolé pour la longueur du post, par contre mon personnage part dans de gros délires, donc j'espère que ça te conviendra...]

    Velvet serait-elle une adversaire plus forte qu’Ellen ? Pour la schizophrène la réponse était bien sûr évidente, c’était non…Ellen se croyait forte, invincible, et persuadée que personne pourrait l’atteindre…Mais au fond que savait-elle sur cette russe débarquée à Greenville. Peut-être qu’elle aussi cache un profond secret. October arrive tant bien que mal à ne pas dévoiler son côté schizophrène, il pourrait en être de même pour Velvet. Mais pour le moment, Ellen n’avait aucun doute, elle était bien plus mauvaise et cruelle. Le seul inconvénient à cette méchanceté, c’est qu’elle ne pouvait pas le contrôler…Et même quand elle était en « Ellen », elle sentait en elle, son côté October qui avait peur qu’elle commette un troisième meurtre, cela pourrait paraître extrême, mais elle sentait que si Velvet la provoquait un peu trop, elle pourrait faire preuve d’une vive violence.

    Ellen était parfaitement consciente qu’en renversant son verre sur Velvet, cette dernière allait automatiquement réagir, et justement c’était sans doute cela, qu’Ellen appréciait le plus dans cette relation. En effet, Velvet était une des seules à oser répondre des provocations d’Ellen, alors que les autres préféreraient ne pas riposter, alors à force, elle devait avouer que ça devenait plutôt lassant. Avec Velvet, c’était différent, car les deux se balançaient continuellement la balle, et tant que ça ne dégénérait pas, Elle savourait pleinement ce jeu diabolique. Lorsque le verre coula sur Velvet, la Russe s’étonna de la médiocrité du geste d’Ellen, c’est vrai que c’était plutôt cliché et simple à faire. Mais cela fit rire Ellen.


    Léonard De Vinci a dit que la simplicité est la sophistication suprême, je dois avouer que cet artiste italien n’a pas tort. Ellen assista bien sur les mots « artiste italien », comme si elle prenait Velvet pour une idiote qui ignorait qui était Léonard De Vinci. Mon but était de te provoquer et de t’énerver, peu important le moyen que j’ai utilisé, j’ai réussi.Tout en parlant, elle fit glisser sa main gauche sur le bras droit de Velvet jusqu’à ce qu’elle arrive à son poignet, et une fois-là, elle serra le poignet de la jeune russe avec beaucoup de force, et vint susurrer à l’oreille de Velvet : Entre nous, tu as sacrément de la chance que je ne t’ai renversé qu’un minable verre sur ton haut immonde soit dit en passant. Tu ne sais pas de quoi je suis capable Velvet Olejniczakaya !

    Elle avait parfaitement prononcé le nom de famille de la jolie Russe et bien qu’elle ait chuchoté, elle avait utilisé un ton très menaçant, tellement menaçant, qu’Ellen avait senti October en elle tremblait. D’ailleurs, elle avait été si agressive, qu’elle en avait perdu le contrôle d’elle-même, et October ressurgit. Cette dernière n’avait aucun souvenir de ce qu’il venait de se passer, elle se voyait juste tenir le poignet de la russe. Elle le lâcha brusquement.

    Désolée… bafaouilla-t-elle. Mais October se rendit vite compte que si elle continuait à agir ainsi, Velvet réaliserait qu’elle n’est pas en face de la même personne, alors elle essaya tant bien que mal de prendre un ton menaçant. Et ne t’avise plus à venir m’embêter.Embêter ? Peut-être un peu trop faible pour Ellen… Enfin, je veux dire…venir me faire chier. Là, c’était mieux, même si ce n’était pas pour autant convaincant.

    De peur de faire une nouvelle gaffe, elle alla s’enfermer dans un des toilettes du club et se mit à parler à elle-même.
    Ellen, reviens ! Reviens ! October regarda l’heure, elle n’avait plus du tout le temps de retourner dans la forêt, elle allait devoir se ‘’transformer’’ en Ellen sans l’aide de l’arbre. Elle continua à chuchoter dans les toilettes.La forêt, pense à la forêt, à l’arbre ! C’est là que tu l’as fait, que je l’ai fait. Bien entendu, elle évoquait le meurtre de sa sœur, mais jamais elle ne prononçait la phrase : c’est là que j’ai tué ma sœur, car c’était encore trop douloureux. October était tellement préoccupée par le fait de redevenir Ellen, qu’elle en avait oublié Velvet, si cette dernière l’avait suivi dans les toilettes, alors un étrange spectacle se déroulait sous ses yeux….
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