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 keep pushing and pulling me down to you (PV)

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AuteurMessage
Maureen S. Hanson
    i wanna take you out tonight ; i wanna make you feel alright

Maureen S. Hanson


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MessageSujet: keep pushing and pulling me down to you (PV)   keep pushing and pulling me down to you (PV) Icon_minitimeVen 22 Mai 2009 - 16:33

    keep pushing and pulling me down to you
    featuring noreen georgina preston and enzo gillian stevenson

      Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie... (JEUX D'ENFANTS)

    « (…) je ne veux pas savoir. Rejoins-moi à la piscine municipale aux alentours de 22h et ne sois pas en retard, Stevenson. » Je lui raccrochai eu nez. « Du calme, Noreen. Zen. .» J'inspirai un bon coup, puis je jetai violemment mon portable sur le lit « Je le déteste. » Il avait le don de me mettre hors de moi si facilement que cela m'exapèrait au plus haut point. Il ne valait même pas la peine qui plus est. Aucun mec ne valait la peine d'ailleurs. J'inspirai une deuxième fois, puis je souris doucement. L'objectif d'aujourd'hui est de garder son calme au moins pendant quelques heures. Je devais me ménager. A cause de mes crises, je devais éviter toutes les choses ou tous les gens qui pouvaient nuire à ma santé. Pas de stress, ni de montée d'adreline. Aujourd'hui, rien ne pourrait m'atteindre. La sérénité devait régner. En plus, le soleil a fini par pointer le bout de son nez, ce matin. Quoi de plus relaxant que de marcher dehors, respirer l'air frais et entendre les oiseaux gazouillaient tranquillement. C'est ce que j'appelerai une très bonne journée donc. Je tournai en rond dans ma chambre, en cherchant quoi faire en ce début de matinée. On était en weekend et je n'aime pas rester enfermer ici toute une journée. Bouger, sortir, voir des gens, voilà ce qu'il me fallait pour me décontracter, pour oublier. Pour m'oublier, pour l'oublier. Des années de cela, le meilleur moyen d'oublier était mon ami l'acide et ma copine marie-jeanne. Depuis, je suis devenue une toute autre personne. Quelqu'un frappa alors à la porte. Interloquée, je me dirigeai vers la porte, mais elle fut ouverte avant même que je ne touche le poignet. « Noreen chérie. » Cette voix. Non, non. Pas lui, tout mais pas lui. Je soupirai. Que me voulait-t-il encore ? « Tu ne dis pas bonjour à ton cousin adoré. » Je roulais les yeux au ciel. D'abord, il y a Ashley, maintenant c'est Jasper. Le pire des deux, en plus. Je commence à me demander pourquoi j'ai intégré les Zeta Beta avec des énergumènes pareil. Je vous jure que s'il parle de sa collection de voitures, je vous jure que je vais faire un massacre. Il fallait qu'il vienne maintenant. Justement au moment où j'allais me relaxer, me libérer de toute pensée négative. La simple vue de son visage a réduit à néant toute chance de stabilité mentale. Déjà que j'étais à deux doigts de la crise de nerf, il veut aussi ma mort par-dessus le marché. Noreen, toi et ta famille de fous. En parlant de fou, où est passé l'autre ? Je fis mine de sourire, bien que ça me démanger de le foutre dehors, mais je ne fis rien de tel. Totale maîtrise de la situation. Pour combien de temps ? Seul le tout puissant nous le dira. « Je suis venue voir ma cousine adorée parce Maman t‘invite à venir à notre table pour dîner. L‘habituel dîner entre famille, tu vois ? » Les dîners entre famille, je détestais cela. Il le sait, tout le monde le sait. Je pinçai ma lèvre inférieure. Aucun répit pour la pauvre Noreen Preston. Ils veulent définitivement ma mort. Bien que j'apprécie beaucoup ma tante, j'étais souvent mal à l'aise lors de nombreuses réunions de famille qui ont eu dans la magnifique des Carlyle. Je ne me sentais jamais à ma place. Pourtant, ils faisaient tout pour m'intégrer à leur famille, à leurs coutumes. Je n'arrivais jamais à m'y faire, je leur étais étrangère. Eux n'étaient que de simples étrangers pour moi, mis à part quelques exceptions - je ne cite personne. « Hors de question. », dis-je d'une voix sobre.

    « Un peu de vin, Noreen ? » Une femme d'une quarantaine d'années au moins - qui était sans aucun doute ma tante me tendit une bouteille de vin fraîchement sortie de la cave privée de mon oncle. Ma tante, c'est-à-dire Mme Scarlett Carlyle avait cette fâcheuse tendance à toujours remettre mes cheveux à sa place. Ni trop en arrière, ni trop en avant : il fallait trouver le parfait équilibre. Quand je disais que ma famille était barge, je ne plaisantais qu'à moitié. Je me demandais pour la millième fois de la soirée poruquoi j'étais ici et où était Ashley. Il n'est jamais là quand on a besoin de lui. Là, c'était carrémement une urgence. Je sens que je ne vais pas tenir très longtemps ici. Ashley, t'es un homme mort. Las, je soupirai. Je me sentais trop serrée dans ses vêtements de grand-mère que m'a gentiment prêté ma tante. La famille Carlyle était comme ces familles que vous voyez dans ses publicités américaines : la famille parfaite avec leur maison bien entretenue, le père qui ramenait l'argent à la maison, la mère cuisinant des plats farfelus, les enfants bien trop sages jouant aux échecs au coin du feu alors qu'ils ne sont même pas en hiver. A table, nous étions cinq : la tante, l'oncle, la nièce et les cousins. Il manquait néanmoins un à l'appel et qu'il allait ... « Je suis désolé d’arriver si tard. » Quand on parle du loup, on voit la queue. Nos regards se croisèrent et il comprit. Un sourire enjôleur aux lèvres, il s'assit en face de moi. Avec sa cravate parfaitement bien nouée, j'avais une envie irréprécible de l'étrangler sur le champs. Nous étions enfin tous réunis. D'abord, la bénédicité. Voyant mon visage virant au rouge, Ash m'adressa un sourire moqueur, puis joignit ses mains pour la prière. Il ne payait rien pour entendre.
    « Alors, ça va ? Tu survis ? » , demanda-il d'un ton moqueur, à la limite du sarcasme. Je le fusillai du regard. L'air frais dans la véranda n'arrivait pas à calmer mon envie de meurtre. Dire que j''ai oublié mes médicaments à la résidence, au moment j'en avais le plus besoin. Des maux de tête désagréables venaient pourrir ma soirée. Nous sortîmes de la veranda pour se réfugier dans le jardin. « Je ne sais pas ce qui me retiens de te tuer, Carlyle. » Il sortit de sa poche une clope qu'il me tendit avec gentillesse - très rare chez lui, c'est presque étrange. « Tiens. Pour me faire pardonner. » Intriguée et sur mes gardes, j'évitais de regarder ce qu'il me tendait. Peut-être qu'il savait parfaitement que cela pouvait me faire fléchir ou que je suis totalement désespérée. Le pire, c'est qu'il avait raison. Encore une fois. Je pris cette foutue clope, puis la posa sur mes lèvres. Je sortis mon briquet de la poche de ma longue jupe. La fumée sortit délicatement de ma bouche. Le bonheur à l'état pur. « Ne crois pas que tu vas t‘en tirer facilement, Ashley George Carlyle. Tu as vu ce que ta mère m’a fait. Je suis horrible. Qui plus est je vais être en retard. » Je regardai ma montre, 21h30. J'allais être en retard. Au pire, en connaissant ne serait-ce qu'un bout du sale caractère de cher Stevenson et de son passe-temps favori - sans doute la chasse, ce jeune homme serait capable de me faire poiroter longtemps jsuqu'à ce qu'il pointe le bout de son nez. « Tu as rendez-vous ? Avec un garçon ? Noreen Preston avec un garçon ? Ca se fête avec une bonne bouteille de whiskey. » Mon regard noir croisa le sien. « Ce n’est pas tes oignons, Ashley. Tu pourras remercier tes parents pour ce dîner. J'ai bien mangé pour une fois. » Je lui souris doucement, déposa un doux baiser - même si il ne le méritait pas sur sa joue, puis partit en emportant avec moi, mon sac en bandoulière et l'étui à guitare. « Passe une bonne nuit, cousine. »

    J'aurai dû deviner. 23h30 et je suis toujours là. J'aurai dû deviner.
    Seule près du bassin, les pieds dans l'eau, les lunettes sur mon nez et un bon livre à la main, je luttais contre l'ennuie. Bien que le livre soit intéressant, je m'ennuyais tout simplement. Sans doute parce qu'il était en retard. Sans doute avec des filles et un bon verre de vodka. Irrécupérable. Je tournai pour la énième l'une des nombreuses pages du bouquin. Je n'en voyais pas le bout. Je sortis mes pieds de l'eau. Comment suis-je rentrer ici déjà ? Ah oui. C'est grâce à un gars, un des habitués de l'Ecstasy travaillant dans cette piscine qui m'avait fait entrer ici en échange d'un striptease pour sa prochaine visite. C'est ça d'avoir des connaissances. Monsieur Stevenson n'allait sans doute pas arriver. J'en savais rien d'ailleurs. Peut-être qu' il a eut un accident en cours de route. Et maintenant, je lui donne des excuces. C'est nouveau ça. Je commençai à faire les cents pas près du bord de la piscine. Une chanson me trottait dans la tête depuis un moment. Ce n'était pas trop un lieu pour chanter, mais bon. Pourquoi pas et en plus il n'y avait personne. Que moi et le bassin d'eau remplie de chlore. « Riders on the storm, riders on the storm. Into this house we're born, into this world we're thrown. ». Ma voix résonnait très bien dans ces lieux. Je fermai les yeux. « Riders on the Storm, The Doors. C‘est ça ? » J'entendais une voix derrière moi. Une voix familière. Je me retournai. Enzo Stevenson, toujours belle gueule et dépravé à son habitude, il n'a pas changé, mis à part peut-être sa coupe de cheveux. Là, nous nous égarons. Je me retournai, puis mon corps se mit face au bassin. Je portai une chemise trop large et en guise de ceinture, j'ai pris un foulard. Ses vêtements de grand-mère grattaientt trop. « Stevenson … Que dire ? Tu sais combien de temps j’ai attendu ? Devine. » Il se mit face à moi, nos regards se croisèrent. Je lui jetai un regard noir. J'avançais, lui reculait « Tu sais ô combien j‘ai besoin d‘aide pour ce putain d‘essai ? Bien sûre que non, parce que monsieur ne pense que à sa petite gueule. » Je continuai à avancer, il avançait dangeureusement vers le bord de la piscine. « Stevenson, tu mérites une bonne punition tu sais. Je ne sais pas moi, comme .. Hmm …. Ça ! » Une simple pression sur son épaule, puis il tomba en arrière en plein dans le bassin. Dommage qu'il n'ait pas apporté son maillot de bain. Piiée en deux, Je m'empêchais de rouler au sol tellement que c'étaith hilarant. Je n'en pouvais plus. Soudain, plus de bruit. Etrange. J'espère que cet idiot sait nager. Je m'accroupis près du bord, même trop près. Je ne le vis nulle part. J'espère qu'il n'est pas mort noyé. Je n'ai pas très envie d'aller chercher son cadavre au fond de la piscine. Je commençais alors être légérement inquiète tout d'un coup. Aucun signe de Stevenson. « Si c‘est une blague, Stevenson alors je ne trouve pas ça drôle du tout. Stevenson, Stevenson. Je ne veux pas avoir ta mort sur la conscience, bien que j‘aurais aimé te tuer de mes propres mains. Enzo, finis de jouer maintenant. » Je sentis alors un bras m'agrippai violemment, m'entraînant dans l'eau égalemment. Un partout, la balle au centre. « Crétin, je te déteste. » J'enlevai mes lunettes, puis essaya de sortir du bassin mais sa main tenait fermement mon bras. Que me voulait-il encore ? Il m'a suffisamment fait perdre mon temps pour ce soir.
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