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 h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.

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MessageSujet: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:25


Découvrez Archive!


h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Katiebann2

hazel cassandre JEZABEL
        Feat. katie mcgrath



Carte d'identité;


    Nom : Jezabel.
    Prénom : Hazel & Cassandre.
    Surnoms : Le paillasson, sobriquet dont ont usé tous les habitants de Greenville, toutes classes sociales et temporelles confondues.
    Age & Date de Naissance : 20 ans ;
    Groupe : Serenity, as king of your thoughts
    Confrérie : non-scolarisée.



La vie nous réserve bien des Surprises;

    L'histoire de votre personnage, son caractère, ... toutes ces petites choses qui font qu'il est lui. N'oubliez cependant pas de préciser : ses études, sa confrérie, sa position face à légende. Qui ont une importance capitale pour cerner le personnage dans le contexte.



L A
R I V I E R E
D ' O P A L E


[list]
Ma tête va exploser, mes yeux embués de larmes semblent se cristalliser et ma bouche cesse de gémir. Mes lèvres ne tremblent plus et j’endure les coups de pieds d’Enzo en silence. Mon corps sursaute chaque fois que sa chaussure percute mon ventre, mais bien vite je ne bouge plus. La surprise a disparu, seules les insultes rageuses de mon petit ami me parviennent. Mon petit ami… Il me trompe et revient pourtant toujours vers moi, il m’invective de ses injures et ne peut pourtant détacher son regard de mon visage, il me frappe et ne peut pourtant nier que je suis la seule à l’entendre pleurer, que je suis la seule à le serrer dans mes bras lorsqu’il sanglote. La seule sur les genoux de laquelle il pose sa tête pour gémir en silence, tel l’enfant peiné qu’il est redevenu.
Mes yeux se ferment et il rugit, son pied me heurtant à nouveau. Je suis au sol et il me bat, chaque mot que j’ai prononcé retentissant dans le bruit de craquement qui se fait entendre lorsque son pied percute mon abdomen. Il me hait, et des larmes naissantes commencent à couler le long de ses joues. Elles ne seront jamais aussi abondantes que les miennes. Il me hurle dessus, et entre deux « Salope », je l’entend murmurer : « Je te croyais si différente des autres. ». Il se reprend et me crache au visage. Se détournant de moi, j’entend ses pas énervés sur le parquet de ma chambre. Mes parents ne sont pas là, et je suis seule avec lui, avec mon bourreau, mon tortionnaire, dont je me suis éprise au plus haut point. Et pourtant dieu sait que je ne peux plus endurer sa haine, je ne peux plus supporter son mépris, quand bien même il lui est nécessaire pour survivre. Il frappe dans le mur, de son poing hystérique. Il le fissure et, alors qu’il continue de m’insulter sans me regarder, je me relève avec difficulté. Je m’appuie sur mon lit et me redresse, majestueuse. Je le toise de mon regard opale, et lui chuchote, entre deux quintes de toux violentes :

    « Je t’en pris Enzo… Ne me dit rien. Plus rien. Je veux continuer de .. Je veux souffrir à ta place, encore et encore. Ne me hais pas, je t’en prie. »


Il s’immobilise, quelques secondes passent, un silence glacial fait frissonner mon échine. D’un seul coup, violement, il fait volte-face et se dirige vers moi dans de grands pas rapides. Il me saisit par le col et me jette contre le mur. Ses yeux injectés de sang, trempés de ce liquide lacrymal qui me peine, ses yeux si haineux me font mal. Dans tout mon être, dans ma chair comme dans mon âme, et je suis parcourue d’une douleur inédite. Différente en tout point à tout ce que j’ai pût ressentir. Ses mains puissantes serrent mes bras et les compressent, il me maintient contre le lambris blanc cassé. Il me vocifère, entre deux expirations bruyantes de colère :

    « Mais tu t’es prise pour qui ? Tu n’es que la pute que tout le monde baise ! Parce-que c’est bien ça que tu veux ! DE LA BAISE ! »


Il me secoue et mon crâne heurte de nouveau le mur et, alors que sa main s’empresse de faire descendre la jupe noire plissée de mon uniforme scolaire, il s’attelle aussi à arracher les boutons de mon chemisier. Ma poitrine généreuse et blanche comme de la porcelaine lui apparait, superbement moulée dans un soutient gorge de coton gris, parsemé de nœuds roses bonbon. Il glisse sa main près de l’un de mes seins et le caresse avec violence, transcendant toutes notions de l’érotisme occidental. Il tire ma culotte et sa langue vient lécher mon cou. Il me grommelle, toujours aussi méprisant :

    « Mais je vais t’en donner de la baise, puisque c’est que ça ! Je vais te baiser dans tous les sens, puisque c’est-ce que tu attend de ton dealeur à la con ! », il me secoue à nouveau, me plaque avec violence contre le lambris qui commence à s’effriter, s’enfonce dans mon dos et le fait saigner. Il appose une main sur sa ceinture, qu’il commence à défaire, « Je vais te faire hurler, salope ! »
    « Je t’en prie Enzo ! Non … Je t’en prie. » finis-je par murmurer entre deux sanglots. Je pleure à chaudes larmes et tremble, ferme les yeux sous la souffrance assourdissante qui s’empare de moi et murmure, la voix brisée. Je bégaye, je gémis, il me lâche et je tombe au sol, continuant de répéter sans jamais m’arrêter : « Je t’en prie… je t’en prie Enzo, je t’en prie.. Je suis désolée, si désolée … je t’en prie. »


Mes mains viennent trouver mon visage et alors que je me cache pour y pleurer, j’étale une jambe tandis que l’autre reste repliée contre moi, mon genoux soutenant mon menton tremblant. Mes cheveux noir corbeau sont ébouriffés et l’opale de mes prunelles ne semble jamais avoir autant côtoyé de larmes, comme une rivière paisible qui, quand bien même elle endurerait toutes les douleurs du monde, resterait un cour serein et paisible. Ses flots d’une couleur azurée aux reflets émeraudes que je m’imagine, qui lentement dévalerait une clairières parsemée de lumière, me rassurent. Un coup brusque retentit et tout s’arrête. Enzo m’a de nouveau saisie par le col et me soulève, pour que mon dos ensanglanté rencontre à nouveau le lambris meurtrier. Il s’approche de mon visage et me murmure, glacial :

    « Tais-toi. Ne me supplie plus jamais. N’ose jamais implorer ma pitié à nouveau. Tu ne mérite ni haine, ni mépris. Tu ne mérite pas non plus de la compassion. Tu te salis sans jamais t’arrêter pour que l’on te regarde, et tu t’étonnes de ne lire que du dégoût dans les yeux des autres ? Réveille-toi Hazel, réveille-toi… Sache que jamais, jamais je ne te détesterais. .. Tu m’indiffère. »


Sa prise se relâche et je ne tombe pas, je me maintiens droite. Mes jambes flageolent mais je ne faillis pas, je ne faillirais pas, je ne faillirais plus. Je pose mes yeux sur les seize années de lâcheté et d’errance pitoyable, de songes et de mœurs lugubres, de situations horriblement lubriques dont j’ai été l’actrice. Je fait face à la misère de mes esprits et aux cataclysmes qui en ont résulté. Je fais face à la haine des autres à mon égard, je fais face à mon désespoir… Je fait face à celui que j’avais pris pour mon sauveur, alors que j’avais été la seule à servir de rempart. Mais il avait pourtant été comme une lumière dans ma pénombre, et son intérêt m’avait fait vivre. Je tremble mais ne rompt pas, et telle le plus beau et brisé des roseaux, je m’avance vers lui. Mes mains s’agrippent à ses bras dans une hystérie alarmée et je le retiens, déchirant presque sa chemise. Des larmes jaillissent de mes yeux merveilleux, et ruissellent le long de mes joues noircies par le mascara.

    « Arrête ! ARRÊTE ! Regarde-moi, haïs moi ! Mais ne me laisse pas seule ! Je t’en supplie Enzo, je t’en conjure, déteste moi, frappe moi, insulte moi, fais moi endurer mille tortures plus injustes et odieuses les unes que les autres, mais ne me laisse pas seule » criais-je alors qu’il reposait son regard sur moi, avant de détourner la tête, je reprend de plus belle, hurlant comme une dingue, « NE ME LAISSE PAS SEULE ! J’T’EN PRIE ! »
    « Je t’ai dit de ne plus implorer ma pitié, SALOPE ! » finit-il par s’écrier à son tour.


Il me saisie par les épaules et me jette de toutes ses forces, faisant fi de mon poids plume. Je suis excessivement mince et mon corps tombe au sol dans un bruit de craquement fracassant. Je gémis sur le coup, et je ne prête pourtant pas attention à ma douleur. Je souffle bruyamment, et mes larmes m’empêchent de voir correctement. Mais bras sont élégamment étalés sur le parquet rayé de ma chambre et, alors que la porte claque violement, je me relève avec violence et hurle, la voix brisée, hystérique de douleur :

    « NE ME LAISSE PAS SEULE CONNARD ! », et ma voix se casse, pour laisser échapper un murmure torturé, « Ne me laisse pas seule … »



- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


    « Allo ? Shawn ? »
    « Quoi ? »
    « Viens me chercher. »
    « Hazel, c’est toi ? »
    « Viens me chercher, tout de suite ! »
    « Pourquoi ? »
    « Je veux partir. »
    « Où ? »
    « Ailleurs. Très loin, très loin de Greenville. Je veux quitter les Etats-Unis, je veux fuir cette horrible nation. Je veux m’en aller. »
    « … D’accord. »


Dernière édition par Hazel C. Jezabel le Mar 30 Juin 2009 - 19:47, édité 18 fois
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T R I S T A N



    Je ne sais pas ce qui m’a rappelé ces instants, et à vrai dire je ne le saurais sans doute jamais. Le nez dans la coke, un fond sonore à L’Ultraviolet Sound, diverses vodka orange devant moi, je m’envoyais en l’air à la manière de la Gucci-Prada tribe et autres pauvres aristos en manque d’estime. Poudre, alcool et un soupçon de détresse trop maquillée par un rimmel exubérant. Quoiqu’il en soit, je ne sniffe plus, ne bois plus, n’inhale plus, ne mâche plus, ne respire plus. Je me souviens. Je dois avoir l’air bien conne comme ça, accroupie sur cette table basse, les yeux exorbités, traversés par une quelconque folie mondaine, envahis de ces paillettes lubriques et hystériques que sont l’amour inexistant et pourtant éphémère de quelques pitoyables trou noirs en recherche d’un remède à leur condition Baudelairienne. Je lâche donc le billet fade que je tenais dans ma main droite et me plonge dans ces brèves et néanmoins intenses réminiscences d’un passé que je n’ai jamais vraiment cherché à oublier. Mon présent est aussi peu reluisant, alors autant éviter de m’embarrasser d’ambitions personnelles trop démesurées.



- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -



    « - T’habites où ?
    - Pas loin…
    - A Greenville ?
    - Non, dans un village à côté.
    - Unhunh. Et pourquoi t’es là alors ?
    - Ma mère est venue voir un ami. Et toi ?
    - J’habite dans cette rue.
    - C’est bizarre, je t’ai jamais vue. Tu es jolie.
    - Merci, c’est gentil.
    - Tu voudras qu’on se revoit ?
    - Si tu veux. »


Il revint la semaine suivante, puis la semaine ensuite, et la troisième aussi. Nous parlions de tout et de rien. Des conversations de préadolescents : les parents c’est nul, le divorce c’est nul, l’école c’est nul : vivement qu’on soit adolescents histoire d’aller mieux ! Douce naïveté juvénile.
Un jour que nous étions étendus sous un pommier, dans un parc public, je l’avais vu poser son regard sur mon ventre, découvert de mon T-shirt noir par une brise chaude. Il avait entraperçu un hématome, et son regard avait sillé. Une espèce de peur panique sombre et envahissante avait pénétré ses yeux pour ne jamais les quitter. Il avait grandit, très vite, trop vite, rien qu’en contemplant ma blessure. Pourtant, il ne m’avait pas questionnée, il n’avait rien dit. J’avais lentement tiré sur le tissu, recouvrant la trace, et dans un silence glacial, nos regards s’étaient séparés.

Mes yeux d’un vert parfait s’étaient rivés vers le ciel, et le bleu de celui-ci m’avait fascinée. Tout me semblait si parfait en cet été que j’en aurait presque oublié l’alcoolisme violent de mon misérable père. Soudainement déstabilisée en pensant à lui, ma main s’était timidement faufilée au milieu des brins verdoyants de cette herbe élégamment entretenue pour rejoindre les doigts de Tristan, auxquels les miens s’étaient noués. Main dans la main, nous ne nous regardions toujours pas. Alors que, inquiète de son silence, je m’apprêtais retirer la mienne, il l’avait gardée au creux de la sienne. Sa prise s’était faite plus puissante et je n’avais rein dit. J’avais sourit sans qu’il ne puisse le voir. Nôtre relation s’était résumée à ça. Nous nous tenions la main sans rien dire, comme des amoureux privés de la parole. On ne se regardait jamais, on se contentait de s’étendre l’un près de l’autre et de rêver, le regard perdu dans l’infinité pastel d’un ciel plus clair qu’hier et moins que demain. Ca dura comme ça une semaine encore, jusqu’à ce que tout change.

Ce jour là était assez beau, et nous nous étions retrouvés près du pommier où je m’était approchée de lui. Assis, il avait finit par me toiser avec sérieux, et par m’adresser la parole d’un air décidé. Il venait d’apercevoir à nouveau un hématome sur ma jambe, et il fallait croire que ça avait été la blessure de trop. Sa voix fluette et tremblante avait résonné dans mon crâne.

    « - Ca suffit Hazel ! Il faut que ça cesse !
    - Mais de quoi tu parles ?
    - De ton père ! Il ne peut pas continuer de te faire ça !
    - Laisse moi tranquille, ça n’est pas tes affaires !
    - Bien sûr que si ! Tu ne mérites rien de toutes ces tortures qu’il t’inflige !
    - Je mérite tout ce qu’il m’arrive ! Tu n’es personne pour juger ! Depuis combien de temps crois-tu me connaître ?
    - Arrête ! Ton père est un salaud, point barre !
    - Ca reste mon père.
    - Il devrait te traiter en conséquence alors.
    - »


Je n’avais pas répondu et il n’y avait rien à répondre. Tristan avait raison, comme il avait toujours raison. Il était intelligent, savait s’exprimer, et puis il fallait avouer que la situation de mon paternel était indéfendable. Mes yeux magnifiques s’étaient baissés et j’avais scruté le sol avec insistance, honteuse d’être cette crétine qui se faisait brutaliser par son père. Honteuse d’être la fille d’un alcoolique et honteuse d’être couverte de bleus. J’avais honte de n’être qu’une pauvre petite fille éplorée, alors que j’aurais pût être belle et heureuse. Je ne l’avais même pas entendu s’approcher. Ses petits bras maigrichons étaient venus entourer mon corps frêle et tremblotant et, alors que je cachais mon visage dans son épaule, il m’avait murmuré avec résolution :

    « Je te sauverais Hazel. Je te sauverais.»



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    Il ne m’avait finalement pas sauvée, et je crois que la situation actuelle en est une preuve suffisante.
    Mon visage enfariné est soudainement assombri d’une expression triste, comme brisée. Tristan, je me demande ce qu’il est devenu. Je me demande s’il est toujours aussi naïf. Je me demande s’il aurait pu me tirer des griffes de mon salaud de père avant que mes vices ne s’en chargent. Je me demande s’il aurait pût me rendre heureuse, sans risques de payer pour cela. Je me demande tant de chose, je rêve de tant d‘autres, et alors que mes yeux mélancoliques plongent dans des songes un brin amoureux, une larme divine roule sur ma joue souillée.



E N Z O




    Douce agonie à laquelle se livrent mes congénères. Nos corps se balancent lentement, méchamment, dans une danse burlesque et pourtant triste à en pleurer. Nous empoignons nôtre détresse avec ferveur, la façonnons avec tant d’espoirs forcés qu’elle devient belle à regarder, belle à sentir, belle à concevoir. Je burine mon désespoir pour sculpter les rêves secrets d’un meilleur lendemain, qui je le sais bien n’arrivera jamais. Tous ces corps fiévreux qui s’exercent avec rage autour de moi, cristallisant leurs rires torturés dans des envolées d’amour haineux effrayantes, tous ces corps écartelés d’aventures sans avenir et d’avenir sans aventure, tous ces corps forment un crique. Le cirque de l’horreur. L’un sera un clown aux traits inspirés du culte Cri, l’autre un saltimbanque aux gestes suaves, et le dernier un dompteur qui rêverai qu’on lui en croque un bout. Nos sourires fous s’étalent sur des figures maquillées à outrance, le blanc de nos canines aiguisées côtoyant le rouge sang de nos bouches carnassières.



    Ma poitrine est agitée de tremblements, qui s’accordent avec ceux du sol. Le parquet crépitant, mon souffle qui s’éternise, comme la plus sexuelle des asthmatique, suffocation érotique pour laquelle bien des miséreux se damneraient. Toutes les personnes de cette orgie à vrai dire. Sexyback de Justin Timberlake en fond, je plane, la semence d’un inconnu roulant encore sur mes jambes de nymphette égocentrique. De deux inconnus en fait. Et d’un ami proche. Bien sûr. Je crois qu’il y a toujours un pauvre type qui se prend pour vôtre ami proche juste parce qu’il vous la fourre plus fréquemment que les trois-quarts que vos autres conquêtes. C’est cet ami proche qui se repend en éjaculations faciales, sodomies et autres usages de sex-toys dits ingénieux alors que dans ses sourires amicaux, seules subsistent de perverses envies libidineuses. Et je m’insurge que cet imbécile ai jamais pût croire que je lui accorderais un jour ne serait-ce qu’un l’ombre d’un titillement d’intérêt. Il m’indiffère, comme le reste du monde. Je suis morte. Je suis un cadavre gelé qui traverses la pénombre érotique de chambres décrépites et souillée, sans jamais ressentir la peur, sans jamais ressentir la haine et sans jamais rien ressentir d’autre qu’une douleur sourde : une souffrance inexpliquée, une souffrance bien égoïste de me détruire sans mobile. Je suis victime du meurtre fou d’une entité supérieure et aliénée. Je suis la tête de Turc de Dieu lorsqu’il n’est pas sous antidépresseurs. Je suis une épave, une épave parfaite en tous points. Je suis l’œuvre du néant, et vous qui le pensiez neutre, vous vous trompiez lourdement. Le vide dans lequel je tombe n’est fait que de ronces invisibles qui tranchent dans la peau pâle qui recouvre la chair ensanglantée de mon corps torturé. Je suis une petite chose qui se tord de douleur, qui hurle de douleur, qui pleure de douleur. Je suis une plaie béante et jamais je ne cicatrise. Je crois même ne plus en avoir la volonté.

    Ses pas résonnent sur le sol. Il vacille, boite, tel l’alcoolique rassasié qu’il est. Enzo Gillian Stevenson, pitoyable merde névrosée de son état, qui n’aurai jamais mérité l’once d’un frisson intrigué, qui n’aurai jamais mérité l’un de mes regards. Et pourtant, je le lui ai attribué, l’ultime regard. Je ne sais pas pourquoi. Par dépit sans doute, ou peut-être parce-que je pensais qu’il me comprendrait. Et non, il ne me comprendrait pas. Ma douleur était mille fois plus intense que la sienne.
    Ses semelles de caoutchouc couinent sur le parquet poussiéreux sur lequel je me vautre et il s’accroupit juste au dessus de mon visage, de sorte à ce qu’il ai une vue complète sur mon corps. Ses yeux froid me toisent de leur espèce de haine rebelle et je lui renvoie son regard, avec bien plus d’impact. Ses lèvres s’entrouvrent et une voix grave en échappe :

      « Tu es jolie comme fille. Un putain de canon dirais-je.
      - Et vu comme tu semble imbibé, t’en a deux pour le prix d’une.
      - Arrête. Ta verve enragée ne sert à rien. Je sais combien tu es faible, combien tu ne m’es pas … Comparable. »


    Il se relève et s’éloigne, mais je sais au son des lattes qui grincent qu’il vient de s’asseoir sur le lit non loin de moi. Un bruit sourd, il a du pousser la fille nue qui y trônait, étalée dans son vomi à Elle, et dans son sperme à Lui. La femelle et le mâle type, si ce n’est que les siècles de décadence les ont façonnés de sorte à en faire de grosse merdes tout sauf naturelle, bourrées d’OGM, pesticides et surtout, plus nocif et rependu : de « valeurs ». Vous savez, ce truc bien inutile qui vous pourrit la vie, que vous vous inventez ou vous voyez inculqué par vos parents. Et ces valeurs à la con, il leur faut absolument les transgresser. Je hais la femme, je hais l’homme, et je hais l’Homme.

    Je finis par me relever à mon tour et, me redressant, fixe Enzo avec froideur. Il est assez beau, mais je pourrai avoir bien mieux. Seulement, lui n’a pas une beauté commune. Douleur et haine s’y mêlent, et le résultat m’étonne. Déjà je m’affale sur le lit à ses côtés.

      « Les filles comme toi m’énervent.
      - Les filles comme moi ?
      - Les petites garces préadolescentes qui se la jouent dépressives juste pour attirer l’attention. »


    Je ne réponds pas, j’ai envie de m’évanouir. Cette conversation m’ennuie, et pourtant il m’attire. Il n’aime pas les garces mineures, quel drame… C’est vrai que je dois avoir l’air bien conne avec mon poids excessivement léger, mes yeux cernés de noir, ma bouche tuméfiée, ma démarche titubante, mes délires sous acides, mon vagin visité sans arrêt. Quel putain de stéréotype de merde. Pourtant, j’ai envie de me défendre.

      « Je ne veux pas me montrer méchante Enzo, et je ne te crois pas assez mature pour adopter un point de vue différent de celui que tu t’accapares actuellement, mais ouvre les yeux : tu es un pauvre con, qui se contente de baiser tout ce qui porte une jupe pour combler son manque affectif et qui ensuite se permet de critiquer le reste du monde. D’ailleurs, tu es incroyablement humain, et ça me donne envie de te gerber à la gueule. En fait, je crois que c’est ma principale passion : vomir sur le monde, et attendre qu’il me renvoi l’ascenseur. Vous tous, avec vos grandes envolées lyriques, vos émotions extrémistes et vos espoir non-récompensés, votre manière d’exagérer chaque érection pour en faire un coup de foudre fatal à vôtre cœur soi-disant insensible, vous tous vous semblez vous prendre au sérieux. Mais merde, vous n’êtes qu’un amas informe d’atomes tout aussi insignifiants que vos état d’âmes. Vous n’êtes rien et vous vous croyez pourtant habités de sentiments. C’est faux, définitivement et malheureusement faux. Vous n’êtes absolument rien, et il serait temps d’en prendre conscience. La seule chose qui puisse vous donner de la consistance, c’est cet amour que vous fuyez constamment. Alors, pauvre crétin, peux-tu encore me reprocher d’essayer de l’attirer de toutes les manières qui soient ? »


    Il déglutit difficilement et je vois son poing trembler. Il ferme les jeux, serre les dents, sa mâchoire ressort et j’ai envie de lui comme je n’ai jamais eu envie de personne. Sous les airs machos de chaque homme se cache un autre. Au fond, ce sont tous des pédophiles enragés. Dieu comme j’aurais aimé être un petit garçon.
    Nous restons silencieux, sans même réagir au bruit ambiant. La musique incroyablement forte du rez-de-chaussée occupe toutes les pièces, et la fille sur le tapis gémit. La main D’Enzo glisse sur le drap et vient frôler la mienne. Je l’y glisse et mes doigts viennent se blottir entre les siens, mon bras dénudé caressant le sien. Nous ne nous regardons pas et je pense à Tristan. Ils n’ont pas la même manière de souffrir, lui et son frère. La main de Tristan était tellement plus belle et rassurante que celle d’Enzo. Tellement plus innocente. Tellement plus douce à mon égard. Celle d’Enzo est chargée de peines, de sillons nerveux et enragés, de peines violentes et de blessures secrètes. D’horreurs qu’il n’a pas dites, juste pensées. Pourtant, je veux chérir ces stigmates, je ne veux pas remédier à sa souffrance, je veux qu’il l’exprime à mon égard. Je veux être son pilier. Je veux être sa chance, son unique chance. Lentement, je lève nos mains, vient les poser contre ses lèvres et vient prendre place sur ses cuisses, mes genoux entourant son bassin. Je dépose un baiser sur nos phalanges, laisse ma lange remonter le long de l’arrête de son nez, en caresser la bosse dont je m’éprend, et déposer un subtil baiser sur son front. Je lui murmure, animale et pourtant si tendre :

      « Tu n’es pas rien Enzo, je comprend ta douleur. »


Dernière édition par Hazel C. Jezabel le Mar 30 Juin 2009 - 19:08, édité 5 fois
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    E L E C T R I Q U E



    Mes cheveux noir de jet dansent sur le corps blanc que je traîne de ruelles sombres en ruelles sombres depuis mes treize ans, mes yeux sont fermés et mes cils anthracites se découpent nettement, élégamment, puissamment sur mon visage pâle. Mes lèvres sont rougies par le sang qui s’en échappe en de mince filets, qui tour à tour deviennent fumée. Une brume pourpre qui peine à ternir la magnificence transparente de ce bain. Ma carrure si frêle, excessivement mince, se recroqueville, et alors que je porte mes genoux à mon menton pour les enserrer de mes petits bras chétifs, je laisse quelque uns de mes cheveux remonter à la surface. Cette surdité soudaine me fait un bien fou. Je n’entend presque plus la musique tonitruante, et les éclats de rires hystériques de mes convives ne me parviennent plus que de loin. Je suis comme dans un autre monde, et j’espère y rester. Je repense à ma vie, car je crois que c’est le moment adéquat. Enzo, Tristan. Surtout Enzo. Ce qu’il a fait de moi, ce qu’il m’inflige chaque jours sans même le savoir. Je ne parviens pas à le haïr, je ne parviens pas à me réjouir de l’avoir fui. Je ne parviens plus à rien de toute manière. Doucement, mes paupières se soulèvent, et révèlent avec esthétisme mes prunelles d’un vert émeraude, qui resplendissent dans cette eau parfaite. Mes lèvres toujours rouges, tuméfiées, mes cheveux anthracites qui flottent autour de ma caboche de sale gosse dédaigneuse, tout respire l‘indécence. Comme si le tintement d’un xylophone fantasmagorique était parvenu à mes tympans soulagés, je souris docilement, et semble être en paix avec l’enfant que je ne suis pas devenue, mais que je n’ai jamais cessé d’être.


    Je me suis allongée au fond de la baignoire, d’un blanc immaculé, et je regarde la surface. La lumière bleutée des néons passe au travers avec une telle beauté que je sens mes larmes salées se mélanger à l’eau chaude dans laquelle je repose. La lumière électrique perce la transparence calme de cette maudite surface, et se répercute en des milliers d’infimes rayons, tous originaires de cet éclat aux couleurs si diverses et magiques. Cette lumière danse au grès des mouvements de l’eau, et de ses chorégraphies tentatrices charment mon œil curieux. Plus candide que jamais, j’élève la main, cherche à saisir cette lueur, mais n’y parviens pas. Mes doigts maigres ne souhaitent pas même effleurer la surface, et s’éloignent avec prudence de ce point de rupture. Je replonge dans ma complaisance sous-marine, et récidive dans l’énumération des drames de ma vie. Ma vie étant elle-même un drame, la précision n’est pas nécessaire. Mais au fond, si tout n’est que malheur, à quoi puis-je comparer ce malheur pour penser que c’en est-un. Si je n’ai eu aucune expérience du bonheur, comment savoir que je vis son contraire ? C’est impossible, et de toute manière tout s’agence à la perfection puisque j’ai connu ce bonheur. Vaguement, étant enfant, puis l’été de mes treize ans, en serrant la main de Tristan de toutes les forces que cet amour juvénile m’octroyait. Je ne sais pas ce qu’il est devenu, je ne veux pas le savoir. Rien que de l’imaginer dans les bras d’une autre m’écœure. Peu importe que ce soit un rat de bibliothèque supra-sexy en mal d’amour, ou une blonde arriérée qui énonce son tour de poitrine lorsqu’on lui demande de se présenter (Toutes des clones vous dis-je !), ce sera forcément un mauvais choix ! Pourquoi ? Tout simplement parce-que j’ai trouvé ce foutu élément de comparaison : le seul bon choix dans la vie de Tristan, c’est moi.


    Je commence à manquer d’air. C’est un fait inéluctable. Pourquoi Dieu ne nous a-t-il pas munis de branchies ? Et si jamais nous sommes issus de ces bactéries qui ont peuplé la terre dans un premier temps, pourquoi n’avons-nous pas gardé de nôtre passage « poisson » des caractéristiques symboliques ? A vrai dire, j’aurai peut-être du prendre un tuba. Je n’ai pas le temps de réfléchir plus à la question, déjà une ombre gagne ma surface, avant que je ne la distingue parfaitement. C’est une main. Elle brise le point zéro sans même se rendre compte des efforts qu’il m’a fallut pour le sacraliser et s’approche de mon visage. Mes doigts la rejoignent, à contrecœur, et elle me tire. Ma tête sort de l’eau en premier, c’est une véritable catastrophe. Je veux hurler, et déjà tout mon corps s’extirpe de la baignoire. Je gémis, je jette des regards haineux à cet imbécile qui a crut bon de me sauver de la noyade et je constate, avec amertume, que je suis revenue dans le monde réel.

      « Hazel, i l y a quelqu’un au téléphone.
      - Non ? Sérieusement ? Mais c’est formidable !
      - C’est à propos de ton père. »


    Je ne répond pas, je ne tique pas. Je le toise de mon regard glacial, et doucement ma main attrape une serviette de bain noire. Je la noue autour de ma poitrine et sort de la salle de bain, enjambant deux blondes complètements saoules, se vautrant l’une sur l’autre en se tripotant avec fougue. Je traverse le salon au milieu de la cohue et distingue une rousse, plantureuse, superbe, qui tient le combiné entre ses doigts parfaitement manucurés. Je le lui arrache des mains et murmure un allô fébrile. Les mots fatidiques tombent et je n’entends plus la suite qui ne doit de toute manière être faite que de mondanités inutiles en ces douloureux instants. Je raccroche, et scrute la salle. Ils continuent de faire la fête sans se soucier de rien, dans mon propre appartement. Ca me désole. Je monte l’escalier délicatement, pousse la porte de ma chambre sans force et contourne deux inconnus qui forniquent bizarrement à coté de mon lit, pour arriver à mon armoire. J’en sors une valise, deux, et les remplies de tous mes vêtements. Tous. J’appelle un taxi, je pose les valises dans le coffre. Elles n’ont pas l’air si lourde pourtant. Je pleure, un peu, beaucoup, puis m’arrête. Je m’évanouie, on passe ce boulevard, je manque de sucre, on me secoue. Non, ça ira, merci. Je n’oublie pas les vingt dollars, il m’en restera suffisamment pour acheter un billet. Je parcours la gare. Le train démarre, je le prend en marche, de justesse. Je pose les valises, trouve les banquettes de cuir rouge, ferme les yeux, ignore le reste des passagers. Divers décors, une foret, des rivières, et ce putain de magnifique lever de soleil sur Greenville.



    D U S T



    Les néons jaunies par la crasse grésillent, la lumière clignote, vacillante, et c’est accompagnée des grincements lancinants d’un parquet usé que je pénètre dans ce bar louche de cette ruelle inquiétante. Personne ne me remarque tellement ma démarche titubante s’accorde avec le corps brisé que j’habite et, aussi fugitive que l’ombre qui me suit obstinément où que j’aille, me voilà qui tombe avec une légèreté inconvenante sur l’une de ces banquette de cuir bordeaux que les barmaids semblent tellement affectionner en ce début de troisième millénaire décadent. Je glousse bêtement tellement les acides étrangers que j’ai consommé me montent à la tête. Quelques pilules vertes, sans doute trafiquées dans la baignoire souillée d’un taudis reclus dans le fin fond d’un Vermont terne et désabusé. Qui a dit « Qu’importe le flacon pourvu qu’on ai l’ivresse » déjà ?

    Le visage affalé sur la table de bois tâché, j’aspire à l’aide de mes cavités nasales sur-expérimentées le moindre résidu de coke qui croise ma route. Le plus bel et tanguant des aspirateurs du monde. Ma robe est noire de jet et est ornée d’un col doré, qui fait ressortir les traits hautains et ennuyés de mon visage parfait. Je sniffe, encore et encore et, alors que je relève la tête pour rire aux éclats avec une indécence étonnement élégante, mon visage hilare est soudainement éclairé par un rayon de lumière flatteur qui me sublime en ces secondes d’extase illusionnée. J’ai l’impression que quelqu’un bouge au comptoir, mais je n’y prête pas plus attention que ça. Déjà mes yeux roulent et mon regard empreint de tristesse se porte sur les carrures surexcités de mes voisins de table.

    Il y a trois filles, des canons incroyables, assez jolies et admirablement bien foutues. Intelligentes en plus de ça, Introduction à la psychanalyse de Freud étant soigneusement planqué en pièces détachées quelque part dans leur pochette Vuitton. Trois pouffiasses en somme. Ensuite il y a deux mecs, un blond et un brun. Le premier est complètement défoncé et je crois l’avoir déjà vu. J’ai baisé avec lui deux fois à deux fêtes différentes d’après les dires d’une des trois pétasses aux influences freudiennes ; l’autre est tout bonnement le dealeur de l’une de nous quatre. Nous sommes en comité réduit, et je devine déjà la suite des événements. On sniffe encore un peu, on le rejoint dans sa caisse de pauvre qui se la pète, on baise à l’arrière avec lui, quatre fille pour un mec, tout un cliché, puis je ferrais sans doute une fellation au blondinet qui sera en transe. Suite à quoi je snifferai encore, jusqu’à faire une overdose sur la banquette arrière - couverte de simili cuir, c’est vous dire- de la caisse de pauvre qui se la pète. L’option B serait que je m’envoie le dealeur, fasse une pipe au toxico aliéné et que je parte écumer d’autres clubs avec la plus valide des trois pouffasses récemment baisée. Enfin, un passé récent pour le futur. Je vais m’arrêter là, on dirait un porno bon marché inspiré de Terminator.

    Mes cuisses sont si minces que ça en ferai presque peur à Lindsay Lohan, et pourtant, le doigt avide du dealeur se faufile le long de ma cuisse pour venir en caresser l’intérieur. Il se faufile avec adresse au creux de celles-ci, joue avec la ficelle fragile de ma culotte de coton noir, et s’invite à l’intérieur. Il tire, la fait descendre juste le nécessaire et son index devient plus instigateur que n’importe quel nymphomane sous aphrodisiaques. Il commence à caresser avec insistance et, alors que je songe à l’étrangler, une soudaine vague de plaisir s’insinue en mon être. Je me hais. Je me hais de ne pas réagir, ou plutôt je me hais de ne pas réagir de cette manière. Je me hais d’y trouver du plaisir, et je me hais d’en être là où j’en suis. Je ne suis visiblement pas la seule à être insupportée par la situation, une silhouette menaçante se profilant à l’horizon. Un brun aux airs ténébreux, sublime, s’avance à une vitesse effrayante vers le groupe. Le doigté pervers du dealeur semble avoir été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

    Il empoigne le brun par le col et le soulève dans les airs avec une aisance presque impressionnante. L’index curieux de mon voisin quitte mon vagin, toujours dépouillé de son vêtement. Je lève de grands yeux intrigués vers le visage dur et fin de nôtre agresseur. Il colle le pervers contre le mur et approche son visage du sien pour finalement murmurer, vociférer même :

      « Touche ne serait-ce qu’un seul de ses cheveux à nouveau et tu ne pourras plus te vanter d’être un homme, si tant est que tu ai jamais pût en avoir la possibilité. »


    Le dealeur n’opine pas et se met à beugler, accompagné du toxico et d’un type du comptoir visiblement acoquiné avec mon ancien voisin de table et imbibé jusqu’à l’os. Tous trois se rapprochent de l’inconnu qui a laissé tomber le dealeur au sol, et les gloussements excités des trois garces futur-psychiatres rythment l’affrontement qui se prépare. Tout s’enchaîne très vite, trop vite pour mes yeux injectés de sang et pour mon cortex cérébral embrouillé par ces nuées d’acides trippants et autres substances malheureusement illicites. Les geste lourds et lents des trois bourrés semblent s’empêtrer dans le ridicule, et le poing de l’agresseur s’écrase sans peine sur le visage terne de mon pervers. Il ne peut esquiver les embardés hystériques du blondinet et pourtant, dans une cohue aussi rapide qu’imprécise, les trois fauteurs de troubles se retrouvent par terre. L’inconnu ne va pas bien, son visage semble rougi, boursouflé par endroits et il saigne du nez. Sa main vient saisir mon bras et il me tire hors du bar, sans que je ne réalise quoi que ce soit.


    Un silence se fait, le temps passe, et ses yeux me captivent. Je les scrute sans sourciller, m’y noyant. La drogue et l’adrénaline accentuent mon côté contemplatif et je le regarde sans me lasser. Il est d’une beauté dure, rude, fine, angulaire. Chaque trait de son visage est calculé avec violence et tire sur les autres avec une espèce d’aigreur esthétique. Il est d’une beauté tout sauf tendre, simple à apprécier, dure à concevoir dans toute sa grandeur. Et pourtant je la perçois, je la perçois comme j’ai perçue celle d’Enzo. Mais la sienne n’a rien à voir. Elle est infiniment plus sombre et brisée, elle me donne envie de mourir tellement sa carrure incandescente hurle sa peine à mon égard. Ma voix s’extirpe d’entre mes lèvres descellées en ce moment nostalgique et grave, et j’ai l’air cassée, détruite quand le nom fatidique tombe avec souffrance et amour dans cette ruelle puante :

      « … Tristan. »


    Son regard cesse de m’exprimer de l’intransigeance et, miracle opportun, ses traits se muent en un air triste et enfantin. Le Tristan de cet été est là, sous mes yeux, et son âge importe peu. Son visage semble vivre à nouveau, comme si la pièce manquante s’assemblait au reste de ce puzzle judicieusement et puissamment morcelé en des vices et des souffrances typiques de ses mésaventures passées. Sa main vient caresser ma joue et mes doigts la rejoignent, j’expire avec désir. Il m’enivre. Sa paume descend le long de mon visage pour caresser mes lèvres rosées, gercées, amourachées de ses doigts. Son murmure fatal s’élève en ces lieux sombres et le remord ultime qu’il m’adresse déchire toute valvule et tissu cardiaque qui ne soit pas déjà mort en ma poitrine. Son souffle retombe et déjà il s’est éloigné, honteux, éploré. Sa voix résonne encore dans ma tête ensanglantée, dans mon esprit meurtri :

      « Je suis désolé. », et l’option C se grave en ma peau endolorie, en mes états d’âme coupables et endeuillés.





Dernière édition par Hazel C. Jezabel le Mar 30 Juin 2009 - 19:10, édité 6 fois
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Maureen S. Hanson
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:28

pas faux le titre, j'addddddddoooooooore h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 3243
REBIENVENU h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:29

REEEEE h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:30

    C'est pas du vécu, mais presque h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 176598
    Merchiii h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083 h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 432349
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:37

    Je t'aime h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 883905 écris nous une fabuleuse anectode maintenant, que j'ai de la lecture demain h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083
    et on va aussi reserver la magnifique katie
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:39

Bienvenue h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 521698
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:40

    Moi aussi h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083 faut bien que l'un de nous deux ai quelque chose à se mettre sous la dent dit-il alors qu'il a dévoré le superbe début de rp
    oui, fait donc ça mon poisson rouge h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 234233
    F- michi h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 578949
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:41

    Si ton anectode est fabuleuse elle ne manque pas de l'être , tu auras droit à un milieu de rp , attention mon enfant h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 883905
    je t'aime encore une fois <3
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 22:43

    Avec une telle récompense, je vais me surpasser h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 238992 h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 1515
    Je te naime une quatrième fois alors h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 23:01

Adelle, Hazel... Tu as de bons goûts en prénoms toi h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083

Bienvenue à nouveau h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 112325
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 23:04

    Merci h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 112325
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 12:48

Magnifique prénom, magnifique avatar. Je t'aime encore plus. ♥
J'ai hâte de voir ce que ça donne. =D
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Bella Parker
Je viens dévaster ta pensée.
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 16:33

Bienvenue h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 112325 Une nouvelle fois ^^
J'adore le début pour l'instant h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 282407
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    Avec ca , ca devient tout de suite beaucoup plus réaliste . J'avais presque envie de pleurer tellement c'est fort, dur, c'est enzo et hazel quoi h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 913240
    SUBLIME . PUREMENT SUBLIME h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 60109 Je ne verrais jamais quelqu'un passé autant d'émotion que toi h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 432349

    LA SUUUUUUITE h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 3243
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Moi j'ai quand même encore peur. h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 685939

h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 255313
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    tais toi un peu mélie . C'est fantastique !
    *je suis vraiment sado maso --'*
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Oh mais j'ai rien à dire, c'est superbement écrit et imaginé (merci de l'éclairage Loulou xD)
Mais en tant que Tara, j'ai peur d'Enzo h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 923137
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Enzo G. Stevenson
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    Et pourtant la pauvre tara ne sait encore rien h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 883905 elle l'apprendra bien vite, ne t'en fais pas . j'ai d'ailleurs hate de voir ca h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 581507
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 20:21

Il faudrait déjà qu'on finisse notre sujet à la boîte de nuit où elle doit apprendre qu'il a mis Kiana enceinte h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 883905
On va y arriver !! h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 7083
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    Je crois pas que ca va aller . je pense qu'il est grand temps de bazarder quelques unes sur la route . mais qui ? h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 197238 Kiana enceinte, et tu es pas au bout de tes surprises avec ce que je vais te répondre quand j'aurai finit mes examens h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 581507
    MAIS PASSONS ; ca gère la fougèreeeee h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 599259
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MessageSujet: Re: h a z e l .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c.   h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 20:24

Ah parce que y'a des choses que tu m'as pas dit ? Même pas à moiiii ??? h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 181602
J'veux déjà être après les exaaaams. h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 84309 Et j'exige (officiellement - sur le forum) que tu me répondes à moi en premier. Après le scenario collectif. h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 60109
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    On parle bien sur la fiche d'adelle/hazel là ? Annh, ca veut dire que je dois me grouiller à pondre la moitié de ma réponse au collectif ca . c'était sa récompense pour l'anectode h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 883905

    non mais tara est au courant de toi , je vais juste tout balancer dans ma réponse, tu comprendras meme pas la vie h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 3243 (hier soir, j'y ai repensé dans mon lit, je sais exactement quoi répondre à nouveau xD) TU SERAS LA PREMIERE ,e t on mettre kiana en toute dernière h  a  z  e  l  .DRUNK SLUTS FUCK HARDER THAN ORDINARY WHORES. / u.c. 294574
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Ouais, t'avais aussi dit ça la dernière fois... ><'
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