no.7 ; Confession

Libérer votre esprit, libérer vos peines, libérer ses peurs, ses remords, ses craintes, ses erreurs, ses regrets, ses secrets …
Se libérer, rien de plus naturel. Pour certains cela parait inaccessible, la légèreté en plein cœur, voir son esprit débarrasser de toutes ces ondes négatives.
La solution la plus archaïque qui existe est sans doute la confession. Parler, se vider, l’unique remède à sa peine. Parfois, il arrive que le poids soit si lourd à porter que l’on en vient à redouter le jugement des autres, à redouter d’en parler, comme si plus aucune amitié ne pouvait exister. Parfois, on a si peur d’être faible, qu’on n’ose l’avouer.
Il existe une solution, l’inconnu, celui qui entend, qui écoute, qui comprend ; celui qui ne juge point, celui qui ne porte aucun regard désapprobateur. L’église est là, ouverte. Il n’est pas nécessaire d’être catholique, ou de croire en dieu comme sa propre personne, il suffit uniquement de parler, de se livrer.

Cette personne est venue en quête de libération sans aucun arrière pensé. Elle s’installe dans le confessionnal, et déballe son cœur et ses peurs.
Aucune réponse cohérente n’atteint ses oreilles. Ses poils s’irisent, telle l’inquiétude, telle l’incertitude. Des paroles vulgairement dites, des paroles violemment données, … des indices.

Un cri retenti au loin, dans cette église. Un cri effroyable. Vous sortez, vous courrez. Une autre personne, un autre étudiant est figé face à un recoin de ce bâtiment. En hauteur tombe du sang … des gouttes s’effondrent sur le sol. Le prêtre est mort.
L’envie vous vient de suffoquer, de vous retourner, de pivoter, … d’être si effrayé. Que va-t-il se passer ?