Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T)

Invité

Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) Sogood

(c) franco addicted
Harry Dahey O'Connor
_________________Feat. James Franco.

Carte d'identité;

Nom : O'Connor
Prénoms : Harry Dahey
Surnoms : Euh.. à vous de choisir.
Âge & Date de Naissance : 21 ans et toutes ses dents. Né le 9 Juin à Galway (Irlande).
Groupe :

Crazyness and freedom from care

Confrérie :

KAPPA GAMMA

Derrière l'écran;

Pseudo :

Présence sur le forum :

Où as tu connu ce forum :

Commentaire :

As tu lu le réglement ?:

Invité

La vie nous réserve bien des Surprises;

19 Janvier 2005 - 02h51
Demeure des O'Connor
Galway, Irlande.

On me dit beau, on me dit intelligent. Finalement, je pense que cela à peu d'importance. Je resterais et serais toujours un sale mec qui ne pense qu'à son propre bien être. Depuis enfant, mon père m'a toujours apprit à être ce que les autres ne pouvaient être. Cela fait bientôt deux grandes années qu'il est meurt, et deux années que je me retrouve seul avec cette insupportable mère, et cette sœur stupide. Je ne les avais jamais appréciées. C'était le genre de mère qui traitait son fils d'ordures, de bon à rien, et une sœur qui ne pensait qu'à se trouver un petit copain et dépenser jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien. Je m'étais toujours demandé comment mon père avait fais pour les supporter. A sa place, je les aurais fusiller directement.

Il était très tard, presque trois heures du matin. J'étais sorti pour revoir une fille que je connaissais depuis peu de temps. Une fille qui pensait que j'étais le prince charmant, le mec qui souhaitait garder sa virginité pendant longtemps, jusqu'à ce qu'il rencontre la fille de ses rêves. Sauf que, bien sûr, ma virginité avait disparue depuis un bail. Bref, j'étais venu la voir, non pour me la jouer gentleman, car je connaissais à peine ce mot, simplement pour l'entendre dire une chose que j'entendais depuis des jours et des jours. J'étais assis sur un vieux banc, près d'une lanterne qui n'allait pas tarder à s'éteindre. L'idée de fumer me vint à l'esprit, mais je ne pouvais pas résister à l'idée de jouer le gars charmant à son arrivée, et de finir en tant que démon de minuit. Quoique.. il n'était plus vraiment minuit. Je regardais les étoiles, avec l'air d'un enfant qui réfléchissait à ce qu'il pouvait bien se passer demain. Mais un enfant ne passerait pas ses nuits à rester dehors, pour ne pas à avoir à affronter sa famille. Du moins, ce qu'il en restait. La lune m'éclairait, et je me sentais admiré. Pourtant, il n'y avait personne. Pas une marque d'humanité à cette heure-ci, y comprit moi. Le temps passait, les minutes s'écoulaient. Je me demandais si un jour, cette fille allait venir. Mais après tout, peut-être qu'elle avait cerné ma vraie nature. Je mettais levé d'un bon, et pour finir, j'allumais une cigarette. Je n'étais définitivement qu'un sale drogué. Marchant lentement, ne jetant aucun regard derrière moi, je me dirigeais à contre-cœur dans ma demeure stupide. Je trainais presque le pied. A mon grand étonnement, j'entendis une voix féminine.

« Harry ! Harry ! Harry, attends-moi ! » hurla la jeune fille, jusqu'à en perdre halène.

Pauvre fille, me dis-je, en soupirant. Elle allait passer le pire quart d'heure de sa vie. Je n'étais donc qu'un abruti, mais j'aimais ça. J'appréciais, j'adorais, j'en raffolais. J'aimais voir le visage sans expression des jeunes filles qui écoutaient toutes la même réponse. Je me retournais, jetant ma cigarette à peine allumée par terre. Le sourire ravageur aux lèvres, je ne disais pas un mot, écoutant ce qu'elle avait à dire.

« Euh.. » elle paraissait intimidée. « Je me demandais si.. enfin.. euh.. » elle rougissait. « Tu.. Hier, au cours, tu paraissais.. bizarre. Avec moi, je veux dire. Et je me disais que.. tu étais.. comment dire ? »

J'avais envie de rigoler. J'adorais ce genre de sensation. Je la fixais de mes yeux bruns, toujours avec ce sourire que beaucoup de personnes appréciaient. Je me rapprochais d'elle, et, en posant un doigt sur ses lèvres, je lui murmurais à l'oreille de se taire. Je sentais le cœur de la jeune fille accélérait. Je gloussais légèrement et déposa mes lèvres sur les siennes. Commençant à jouer avec elle, je constatais qu'elle paraissait contente, même.. amoureuse ? Je me dégageais et elle parut essoufflée. Étais-je vraiment une bête de scène ?

« Je dois t'avouer quelque chose. » murmurais-je.

« Tu m'aimes ? » demanda-t-elle.

Je lançais un clin d'œil à la jolie jeune fille. Elle paraissait si heureuse, si douce.. J'allais lui briser le cœur, comme toutes les autres, en fait. J'essayais de prendre un air sérieux, mais l'envie de rire était trop profonde.

« Je suis gay. »

Je l'observais. Elle était dans mes bras. Dans les bras d'un mec qui n'aimait pas les filles. Du moins, à moitié, mais je ne voulais pas lui briser le cœur en lui disant qu'elle ne me plaisait pas du tout. Son regard était figé, et je commençais à rigoler comme un abruti. Il commençait à être rempli de larmes et elle partit en courant. La vie était cruelle, n'est-ce pas ? Même si j'étais un fou des filles, je n'avais aucune pitié pour elles, pareil pour les hommes. Elles détestaient toutes ces parties en ma présence. Je me mis donc en marche, l'air satisfait, encore plus joyeux que nature. Je souriais tout en marchant, puis après plusieurs vingtaine de minutes, j'arrivais enfin à ma destination. Et merde.. la lumière était allumée. J'allais donc passer une heure à entendre ma mère me gueulait dessus. Je respirais un bon coup et franchissais le long jardin. Je regardais le cimetière d'à côté, imaginant déjà ma tombe. Lorsque j'ouvris la porte, la première chose que je reçus de ma sœur fut une énorme gifle, de même occasion par ma mère. J'avais la joue gauche en feu, et la seule chose que je voulais faire, c'était de les mettre dans un four gigantesque pour les faire cuir à mon tour. Je tiens à préciser que je ne suis pas sadique, mais bien plus. Je les regardais toutes les deux avec mes beaux yeux bruns, bien qu'elles n'avaient jamais capté ma beauté. Qui avait-il de mal à revenir à trois heures du matin, après avoir fait pleurer une fille ? Vous y croyez, vous !? Elle me récita pour la millième fois que je n'étais qu'un simple crétin, qui ne pensait qu'à faire souffrir les filles, qui ne pensait qu'au sexe, la drogue et l'alcool. Un peu de respect m'aurait fait plaisir, et même si je n'appréciais que cela, j'étais digne de mon père, car c'était de sa faute, d'abord ! Il m'avait toujours appris à être ce que les autres ne pouvaient pas être. Oui, bref, je me répète, hein ? Ma sœur me regardait d'un œil noir, ô Joie, comme j'aurai voulu lui tirer la langue comme un vulgaire gamin. Ma sorcière de mère me fixait des yeux, et pour aggraver les choses encore plus, je mettais barré de la salle, montant dans ma chambre. Elle hurlait à pleins poumons, vous l'entendriez, vous ? " HARRY REVIENS ICI TOUT DE SUITE OU JE TE FLANQUE A LA PORTE ! " En réalité, pour ma part, me flanquer à la porte était un rêve. Donc cela n'avait aucune importance pour moi-même. Elle avait beau frapper à ma porte, car je l'avais fermée à clés, elle avait beau crier, d'ailleurs, peut-être qu'elle aurait une extinction de voix, j'avais mit la musique à fond pour ne pas entendre sa voix maléfique. Je pariais même qu'on lui avait lancé un sort. Au final, ce petit manège s'était terminé en un renvoi immédiat du manoir.

20 Avril 2006 - 15h41
Parc
Galway, Irlande.

Les années avaient passées. J'avais changé depuis cette année. Mon caractère était moins gamin. J'étais finalement devenu ce que je redoutais. Un jeune homme toujours assez séduisant, mais qui était devenu dur, et en même temps doux. Charmant et gentleman avec les jeunes filles, d'ailleurs, j'étais toujours à leur écoute. Je m'en étais beaucoup voulu d'avoir brisé tant de cœurs, simplement par plaisir. J'étais devenu légèrement renfermé et ouvert à la fois. J'étais à présent le mec qui ne faisait souffrir personne, mais qui avait quand même une double personnalité. J'étais avec une fille depuis plus de trois mois, et tout se passait très bien. Mise à part qu'elle se posait des questions, et pourquoi j'étais toujours aussi bizarre quand je voyais un gars séduisant passer près de moi.

Nous étions sur un banc, ma main se baladait dans ses cheveux bruns, tout en l'admirant, elle, en train de rêver. J'essayais de tout oublier en sa présence. Je repensais à notre première rencontre, j'imaginais aussi notre rupture. Je l'aimais. Et pourtant, je ne pouvais m'empêcher d'éprouver des sentiments absurdes avec des hommes. On m'avait toujours déclaré que c'était dommage que je ne sois pas comme tous les autres garçons, du moins, pour la plupart. J'avais tout pour faire d'une fille heureuse, tout, sauf avoir un amour suffisant pour rester avec elle pendant des années. Elle dormait paisiblement et je ne souhaitais pas la brusquer. Je touchais légèrement sa peau douce, j'avais comme l'impression que ce serait tôt ou tard la fin de notre relation. J'étais amoureux, mais ça ne pouvait continuer. Je sentais toutes les secondes passer avec vitesse, et lorsque la jolie femme qui était dans mes bras se réveilla, j'admirais ses yeux d'un vert émeraude. Elle me souriait bêtement, ne sachant pas vraiment quoi dire. Et alors, je déposais un baiser sur ses lèvres, pour oublier ce silence, pour qu'elle s'endorme une nouvelle fois, mais cela ne marcha pas. Elle s'était relevée après ce court baiser et me fixa des yeux. Elle paraissait douce et méchante à la fois. Je savais très bien qu'elle avait des doutes à mon sujet. Elle se sentait mal à l'aise, c'était comme si elle savait.

« Tu ne m'as pas tout dis. » murmura-t-elle.

J'en eus des frissons pour la première fois. J'avais l'impression que sa colère recommençait comme autre fois. C'était un petit démon, mais un démon que j'appréciais depuis longtemps. Nous faisions la belle paire, étant donné que j'étais aussi dur. Fronçant les sourcils, j'essayais de réfléchir à ses paroles. Est-ce qu'elle savait que j'en étais un ? Savait-elle que je l'aimais, mais que ça ne pouvait pas continuer ? Ma vie avait été une succession de conneries professionnelles, en plus de celle-ci. Je ne répondis pas. J'attendais simplement qu'elle continue sa lancée, et même si je me sentais mal à l'aise, je ne retirais pas pour autant ma main de ses cheveux. Peut-être croyait-elle que je n'étais pas celui qu'elle pensait, peut-être qu'elle savait les malheurs que j'avais causé aux autres jeunes filles.

« Tu m'aimes ? » demanda-t-elle.

« B..Bien sûr ! » marmonnais-je.

« Pauvre con ! Je t'ai vu avec cet autre mec, hier soir ! Tu paraissais.. si bien avec lui, et en plus, dans ses bras !? » hurla-t-elle à moitié.

Je me sentais vraiment con, comme elle aurait dis. Je l'avouais, j'avais passé une nuit avec un gars.. que je ne connaissais pas. Voilà ce que c'est lorsqu'on a la tête remplie d'alcool. Je ne savais pas quoi répondre. Elle hurlait déjà, je ne voulais pas qu'elle hurle encore plus, jusqu'à ce que j'ai les tympans brisés. Elle s'était levée, balançant mon bras dans l'air, j'entendis d'ailleurs un craquement d'os. Elle me fusillait du regard, et je ne pouvais que continuer à la fixer. Elle était si belle en colère, jamais je ne l'avais vue dans cet état là. Mais je ne répondis pas, car je n'avais rien à répondre. Et sur ces mots, elle était partie. Laissant ce pauvre mec, en bref, moi, seul, sur ce banc. J'avais finalement eu raison sur toutes la ligne, les filles, c'étaient stupides, ça pétait un câble pour rien. J'avais finalement une bonne raison de choisir les hommes, ils n'étaient pas aussi emmerdeurs.

Informations diverses;

Harry & les études; Depuis que je suis un petit enfant, les études et moi, on est pas vraiment amoureux. Dès l'âge de sept ans, la première chose que je recevais au cours, c'était un livre dans la face. Le pire, c'est que mes pauvres lunettes subissaient le sort de la destruction. La seule chose que les profs disaient de moi au conseil, c'était que je ne risquais pas de manquer de sommeil, étant donné que je dormais pendant les heures de cours. C'était plutôt dommage, étant donné que j'étais plutôt intelligent. Le pire c'est que si j'aurai travaillé, on m'aurait surnommé l'intellectuel, vu que je portais des lunettes plutôt rondes. Interdiction de se moquer, sinon je fais un crime. Bref, je bossais rarement, à part lorsqu'il s'agissait de gros examens. Je me suis toujours réveillé lorsque les vacances arrivaient, bizarre, hein ? Ce n'est que vers l'âge de seize ans que je me suis mis à bosser, du moins, légèrement. Je récolte depuis des notes moyennes, comme tout être normal.

Harry & la suite; Après le petit drame de l'année 2007, j'ai beaucoup réfléchi. J'ai bouclé mes affaires pendant une longue nuit, et suis parti dans ma bagnole complètement morte. J'avais déjà l'âge de conduire, bien entendu. Ne sachant pas réellement où aller, j'eus l'idée de rouler jusqu'à un aéroport, et là, j'étais sûr de ne plus recroiser ma famille si je quittais l'Irlande. J'avais le choix entre rester ici et me droguer, ou partir loin et recommencer une nouvelle vie. Je suis parti au Sud des États Unis, et comme par hasard, suis tombé sur une ville bien agréable ; Greenville. Rien que de lire ce nom m'intriguer. N'ayant pas grands choses à faire, mon instinct me poussa à aller m'inscrire dans l'université de la ville. L'université compte plusieurs confréries, mais la seule qui m'a attirée fut celle des Kappa Gamma, nom étrange, d'ailleurs. Voilà donc une nouvelle raison de s'inscrire. J'ai entendu plusieurs fois une légende urbaine, mais je n'y ai jamais crue. Stupidité à laquelle je n'ai jamais cru réellement, et pourtant, je fais parti de ces cinquante élèves qui se retrouvent dans cette forêt, qui certes, peut cacher des secrets, mais vraiment trop amers à mon goût. Etant donné que je n'avais jamais eu envie de croire à des légendes, je n'avais aucun souci à me faire, n'est-ce pas ? Le monde est rempli de personnes froussardes, et malheureusement pour vous, je ne fais parti de ces personnes.

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JAMES JAMES JAMES JAMES

*Je joue un mec et alors?*

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i

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Ahhhh, merci Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 396328

Si un problème se pose pour le Tristan de mon pseudo, je peux changer si tu le souhaites Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 578949

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C'est tout un art -->[]

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Pourtant tout le monde t'aime, même si t'es chiante, non ? Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 31154

D'accord, je vais réfléchir au nouveau prénom de l'ancien Tristan xD.

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Tu es une si gentille Admin, il faut que je réponde à tes exigences Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 883905

Suis-je une sale faux-cul ? Ouais, je pense aussi Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 661755

~~Je sais pas, je le lis dans tes yeux~~ Je ne savais pas que je faisais autant d'effets Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 282257

Bon, j'arrête de flooder, sinon je vais pas m'arrêter >.<"

Eh bien cette fois je te resouhaite bienvenue ! Je vois qu'Enzo fait déjà des siennes, mais c'est normal, il a pas pris ses pilules aujourd'hui. Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 923137

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*out*

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Merci

Bwarf, je parie qu'elle est comme ça même sans ces belles pilules Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 226894

Ouais mais c'est pour être gentille que je dis que c'est juste à ause de ça... Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 730137

MAIS JE L'AIME MA LOUVETTE ! Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 238992

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Je sens que je vais me plaire ici, il n'y a que des gens fous Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 396328

. . .

*Continuez ... Vous verrez*
*Et comment Superwomen est au courant que Dieu se soigne contre les relans de Satan?*
*Et comment mes membre sont trop des faux-cul en général avec moi --'*

Parce que Superwoman et Satan sont une et même personne. (d'ailleurs, quand c'est que vous le faites votre forum qui tue la mort ? que je t'en fasse baver Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 294574

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)

C'est qui les maîtres ? Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 22540

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Satan est une fille ? Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 181602

Va savoir, mais à la première edition de mon post j'ai écrit maitre à la place de membre.
Je te dis, je n'ai pas prit mes pillules aujourd'hui

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AAAAAAAAAAAAAAAAAAH.
Oh my fucking God, oh my God (le pire c'est que je crois en Dieu) >______<".

Hmm, je disais donc, ah oui, ton forum va péter à bloc Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 763919

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* BAF * Oh oui, je me plais déjà, je suis une folle avec des fous Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 31154

Eh oui, et elle a de une très mauvaise influence sur les membres de ce forum. Elle oblige tout le monde à flooder en les menaçant d'un fouet ! Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 230821

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(le fouet peut aussi avoir d'autres utilités bien sûr ) Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 40488

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EDIT ; Nah Enzo, c'est moi Satan ! Namého ! Et puis pour votre forum, si vous avez besoin d'aide, devine qui va se proposer ? (non, pas Casper ><)
Bref, tu me tiens au courant, je sens que je pourrai pas résister à m'inscrire. ^^'

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Harry D. O'Connor a écrit:: Je sens que je vais me plaire ici, il n'y a que des gens fous

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Y a des ondes Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 282257

Merci, à toi aussi Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 234233

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JAAAAAAAAAAAAAAAAMES Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 7083

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Ouais, moi aussi je veux être tenue au courant Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 621395

Ma parole, je suis aimée de tous Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 661755

VIVE JAMES <3
Tu joues un homo ? Parce que Harry en sera un, en quelque sorte Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 883905

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..D'accord, je retire cette partie de ma phrase Lorsque je vous dis que je n'aime pas les titres. (T) 40488

Tu crois que Noah pourrait sauter sur Harry !?

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