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 viens par ici que je te détruise, pv

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Jenae Abegail Briton

Jenae Abegail Briton


Nombre de messages : 236
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PSEUDONYME : côme/astroubi
PLAYLIST : simon & garfunkel (L)
Date d'inscription : 03/05/2009

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MessageSujet: viens par ici que je te détruise, pv   viens par ici que je te détruise, pv Icon_minitimeDim 30 Aoû 2009 - 16:02

        « viens par ici que je te détruise »




    Jenae avait depuis quelques temps un mal de crâne insupportable, elle entendait des sons, des murmures, des paroles dans sa tête, comme si quelqu’un essayait d’entrer, comme si on voulait prendre sa place. Elle avait de la fièvre, des baisses de températures soudaines puis des hausses, des sautes d’humeurs, elle était persuadée être malade. Alors, elle avait décidé de rester plusieurs jours à l’écart de l’université, lire, se promener dans le grand parc, demeurer coucher le temps que cela passerait, espérait-elle.

    Seulement son état s’était aggravée, elle n’était plus en état de gérer seule ses pensées, ses gestes. Elle ne contrôlait plus rien, car quelqu’un le faisait à sa place. Elle ne savait pas qui, qui comment est-ce que c’était possible, elle subissait sans rien dire. La blondinette essayait de rassembler ses forces pour reprendre l’ascendant sur son corps, mais cela prenait du temps, et l’ « esprit » acquerrait de plus en plus de forces.

    L’esprit en question, était celle d’une jeune femme nommée Alexandrina, une vieille paysanne née dans les environs du 17ème siècle, on ne sait trop rien de son histoire, mais on connaît bien son caractère, car cette petite anglaise émigrante aux etats-unis, était la septième fille d’un paysan pauvre. Elle ne faisait confiance à aucun homme, vendue à l’âge de 13 ans elle fut violée par toute sa belle famille, et puis même par des amis de ceux-ci. Elle fut pendue à vingt et un an, par son mari la traitant de traînée. Alexandrina a quelques tendances violentes, mais surtout elle déteste les hommes et la race humaine, tous idiots, méchants. On ne pouvait rien faire pour essayer de changer son opinion, des gens bien n’étaient que foutaises. Et on savait que trop peu de choses de son histoire pour juger, malheureusement. Et elle n’aime personne aussi. Elle en voulait au monde entier.

    Et surtout, Alexandrina, même si Briton ne savait rien d’elle, qui elle était, Alex connaissait tout d’elle, sa personnalité, son histoire, ses amis, ce à quoi elle pense, ce à quoi elle pensait, ses souvenirs, ses amours, son comportement. Elle connaissait tout, et surtout elle voulait détruire ce qui faisait d’elle cette petite fille à l’apparence sage. Alex voulait qu’elle souffre comme elle avait souffert auparavant. Elle lui en voulait de vivre. Même si elle ne connaissait pas très bien ses parents, elle était riche, belle, et avait des amis. La première cible d’Alexandrina sera de la séparer d’Heathcliff. Le jeune homme était protecteur envers Jenae, et cela Alexandrina ne le supportait pas. Les hommes étaient tous des menteurs, des dingues, des assassins selon elle, rien ne la ferait changer d’avis.

    Il pleuvait ce jour-là et le corps de Jenae marchait sous la pluie d’un pas énergique et rapide en direction du bâtiment des Zeta Beta Zeta, avec une seule idée en tête. Rien ne l’arrêterait, elle bousculait les misérables qui se trouvaient à ses côtés, crachaient sur les animaux perdus, avec un air supérieur. Les gouttes d’eau dégoulinaient sur le corps frêle de la blondinette, elle était mouillée jusqu’aux os, mais Alexandrina s’en fichait royalement et la forçait à continuer, pour arriver à son but.

      ALEXANDRINA - Et toi, là-bas !


    L’enveloppe corporelle de Jenae s’adressait à un jeune homme qui s’apprêtait à sortir du bâtiment, il salua Jenae malgré le ton désagréable sur lequel elle l’avait abordé. Il s’approcha dangereusement d’elles, ignorant tout de cet esprit plus que machiavélique.

      L’HOMME - Qu'y'a-t-il Jenae ?
      ALEXANDRINA - Où est le dortoir d’Heathcliff ?
      L’HOMME - Là.


    Il lui désigna une chambre dans le bâtiment, aux étages, puis partit un peu surpris par ce comportement. La jeune fille aurait tant voulu tout dire à son camarade, lui dire de fuir, qu’elle ne contrôlait plus rien, que ce n’était pas elle qui parlait avec ce ton blessant. L’esprit ne se doutait de rien, car elle n’avait aucun tact. Elle ne se doutait pas, que Jenae n’aurait jamais parlé aussi mal à quelqu’un, surtout si ce quelqu’un n’avait rien fait de mal. Seulement, le garçon n’avait rien deviné. Est-ce que Heathcliff s’en doutera ? Elle l'espérait tout au fond d’elle.

    Alexandrina était arrivée devant la porte de la fameuse chambre du fameux Heathcliff. Et toqua, attendant une réponse. Elle avait prévu tout un plan pour le faire fuir, pour lui faire du mal. Elle ignorait les pensées d’Heathcliff, mais connaissait tous leurs souvenirs, tous leurs moments passés ensemble, jugeant ses informations comme suffisantes.
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Heath C. Burton

Heath C. Burton


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MessageSujet: Re: viens par ici que je te détruise, pv   viens par ici que je te détruise, pv Icon_minitimeLun 28 Sep 2009 - 20:12



    - le prochain qui dit que c'est la faute de max, je le tue. donc, vous ramassez votre foutoire. je vous avais déjà dis cent fois qu'après une fête vous rangiez, n'attendez pas que les autres le fassent pour vous. d'ici une ou deux heures, si je reviens et que c'est encore le bordel ça va saigner, je vous le garantie. bon, au boulot les gens. Ma tasse de café noire bien serrée dans ma main, je regardais la troupe de s'activer avant le retour de Dean parce qu'il aurait eu une horrible crise cardiaque (il est très maniaque le pauvre, en ce qui concerne la propreté). Tout le monde s'en donnait à coeur joie, ramassant chaque papier sur le parquet ciré qui venait d'être ciré par l'un des camarades zeta, balayant correctement le sol poussiéreux (dean aime quand le sol brille) Les bras croisés tout en buvant mon délicieux café, je regardais mes frères et soeurs s'arrachaient les cheveux pour que tout soit impeccable. Ils grommelaient, m'insultaient, me maudissaient. Je les couvais du regard, d'un regard amusé. - allez, plus vite. , dis-je en riant. Ils me toisèrent du regard, avant de rire à ma suite. Je levai les yeux au ciel, puis continua boire jusqu'à arriver à la cuisine où m'attendait une délicieuse rousse au teint de craie, avec un sourire aguicheur. Je fis volte-face pour retouner dans le sallon pour retrouver mes petits soldats, exténués mais qui continuaient à nettoyer, attisquer les moindres recoins du salon.

    - président, on finit quand ? Je posai mon index sur le front dégarni du jeune bizut, un garçonnet tout à fait naïf et nouveau aussi. Pourtant, je l'appréciais plutôt bien. Une naïveté candide que j'appréciais tout particulièrement. - tu oses poser la question en plus alors que tu sais parfaitement quelle sera ma réponse, petit scarabée. Je lui lançais une oeillade discrète pour me faufiler dans les escaliers. J'entendais encore entendre mes tendres camarades souffrir le martyr, mais ils n'avaient pas l'air de trop m'en vouloir. Je finis ma tasse de café en arrivant devant la porte de ma chambre. J'entrai, je posai la tasse vide sur mon table de chevet. Des corps humains, des posters, des venyls de ça et là. Ma chambre n'avait jamais été bordélique. C'était une espace de vie personnelle que je tenais à l'avoir propre même si il n'y avait un majestueux long canapé blanc pour lit, car je dormais très rarement à la résidence : j'avais déjà ma petite maison, avec mes petits enfants. Je m'avachi de tout mon corps d'éphèbe sur le canapé pour se reposer un peu les yeux. J'étais de garde hier. Je fermai enfin les yeux sous les battements des gouttes de la pluie sur les carreaux de ma fenêtre. J'entendis alors des bruits de pas dans les couloirs. Je ne voulais pas être dérangé, je fronçai des sourcils. Quelqu'un toqua, puis je m'empressais d'ouvrir avec ma mauvaise humeur grandissante. J'ouvris la porte - je vous ai déjà dis de ne pas me déranger lorsque je suis en train de faire une sieste, putain. , criai-je à celle qui m'était précieuse plus que tout. Soeur de coeur, soeur d'âme. Je la pris violemment dans mes bras protecteurs : - je suis désolée, jenae. comment vas-tu aujourd'hui ?
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Jenae Abegail Briton

Jenae Abegail Briton


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MessageSujet: Re: viens par ici que je te détruise, pv   viens par ici que je te détruise, pv Icon_minitimeVen 2 Oct 2009 - 21:04

tu as changé Heath pour Heathcliff ? viens par ici que je te détruise, pv 578569


      HEATHCLIFF - Je vous ai déjà dis de ne pas me déranger lorsque je suis en train de faire une sieste, putain.


    Les pensées de la jeune fille étaient tristes, épuisantes, bouleversantes. Son Heathcliff, son doux et pauvre ami, celui qui a souffert dans la vie, celui qui ne méritait rien de méchant : que du beau, allait prendre un coup de couteau dans le dos. Qu’allait donc faire mon corps ? Cette question hantait les idées de Jenae entrechoquant ses espoirs et ses craintes, qu’est-ce que ce monstre avait-il prévu ? Heathcliff, non, non. Pas lui. Il ne fallait pas. Puis une chose inattendue aux yeux de la blondinette se déroula, les larmes qu’elle éprouvait depuis plusieurs heures, voir jours, coulaient une à une sur sa peau blanche sans se stopper. Ni yeux rouges, ni petits picotements aux yeux. Juste des larmes, sans les effets secondaires. Reprenait-elle de la force ? Ou bien était-ce la seule chose qu’Alexandrina ne pouvait contrôler : sa tristesse ? Ses larmes coulaient sans s’arrêter de plus en plus rapidement, elles coulaient et mouillaient au passage les bras si réconfortant de son ami.

      HEATHCLIFF - Je suis désolée, Jenae. Comment vas-tu aujourd’hui ?


    Elle allait mal, mal. Au gré des jours elle se sentait de plus en plus en faible, alors qu’Alexandrina reprenait belle mine, la machiavélique femme avait totalement l’emprise qu’elle a tant désiré au près de Jenae, même si ces larmes qu’elle n’arrivait pas à stopper la perturbait, pour ne pas mettre le doute dans la tête d’Heathcliff elle se reprit vite, et repoussa violemment Heathcliff du corps frêle.

      ALEXANDRINA - Comment oses-tu Heath ? Après tout, après tout ce que j’ai fait pour toi, tu oses ! Je n'aurais même pas du venir, je n'aurais pas du..


    Le plan machiavélique de la médiévale paru clair d’un coup : donner du tort au jeune homme. Alexandrina avait trouvé ici un plan pervers pour arriver à ses fins, et essayer de détruire la beauté d’Heath Burton. Lui rajouter de la tristesse, de l’incompréhension à sa vie de tous les jours. Jenae paniqua, il ou elle osait, ce monstre dans elle, osait toucher à ce qu’elle adorait, adulait, aimait. Les gouttes de pluie tombait dans le silence créé par l’incompréhension générale. Le travail en bas semblait s’être arrêté. Les pleurs de Jenae redoublait, tandis qu’Alexandrina usait de tous les moyens possibles pour stopper ces larmes qu’elle trouvait faible. Pleurer pour de la souffrance, stupide, il fallait pleurer que lorsqu’on avait mal. « les gens qu’on aime sont tous des traîtres, plus jamais je n’accorderai ma confiance, et je vous détruirai tous, vous ce qui devraient être heureux, vous allez souffrir, tout comme moi. à bientôt chère planète. » , voici les derniers mots qu’elle avait prononcé, ils appréhendaient sur ce qui arrive aujourd’hui. Tout le monde l'avait trahi, alors que tout le monde avait abandonné Jenae, ce n'était pas la même souffrance qui était ancrée dans les coeurs des deux femmes. Leurs compréhensions étaient opposés, leurs peurs aussi.

    Le corps fin et gracieux de la jeune demoiselle se faufila entre le jeune homme et la porte, et s’installa dans la chambre si bien rangée, si propre d’Heathcliff : sur son lit. Le lit où il ne faisait que somnoler pour ensuite aller s’installer près de ses chers enfants si doux et si aimant. Jenae cessa de pleurer car la seule présence d’Heathcliff l’apaisait malgré les cruautés dites. Son regard, sa façon d’être la calmait. Alexandrina en profita pour essuyer vite ses larmes et les camoufler à travers des vulgaires poussières.

      ALEXANDRINA - N’y fait pas attention, ce n’est que poussière.


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MessageSujet: Re: viens par ici que je te détruise, pv   viens par ici que je te détruise, pv Icon_minitime

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