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Lust Holloway
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Lust Holloway


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MessageSujet: Pay your price - PV   Pay your price - PV Icon_minitimeSam 22 Aoû 2009 - 21:41

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    Les affaires d'argent, de jeux, de voiture et de drogues, avaient toujours régi la vie de l'héritier Holloway. Lui qui pourtant avait de quoi vivre sans jouer aux dealers, n'avait jamais su trouver de la jouissance dans la vie trop bien rangée faite de paillette et de champagne qu'il pouvait avoir : il lui avait toujours fallu de l'adrénaline, du danger, voire de la violence. Et en cela le jeune homme avait toujours trouvé son compte en se faisant revendeur de substances illicites, son bras long lui ayant même permis de se hisser à la tête d'un réseau important, où proxénètes et dealers s'entrecroisaient : Lust avait toujours eu le sens des affaires, même si ces dernières n'étaient pas toujours honorables. Depuis son arrivée en Alabama néanmoins, le riche héritier milliardaire et prince des banques anglaises, avait souhaité tiré une croix sur son passé tumultueux ; certes il ne renonçait pas aux filles faciles, aux fêtes alcoolisées ni même à la fameuse poudre blanche, enfant de la génération chimique qu'il était, mais il se donnait ainsi l'illusion de pouvoir échapper à son passé d'assassin morbide aux moeurs bouchères. Cela avait été sans compter l'un de ses fameux bras droit anglais ; Joshua, britannique pure souche à la carrure imposante, au regard agressif et au comportement bien moins galant voire propre sur lui de Lust. Car ce dernier était venu rattraper Holloway en venant sur les terres américaines, souhaitant le voir reconquérir son passé de dealer et s'imposer sur le marché lucratif des substances illicites du réseau américain.Bien que le mieux selon lui, aurait été tout de même Mejico, mais pour le moment Joshua s'accommodait bien de l'Alabama. Au moins pour ce soir, il avait persuadé Lust d'endosser de nouveau son rôle de mafioso venant récupérer ses dettes, lui ayant dores et déjà parlé d'une certaine personne prénommée "Manu", comme le disait alors allégrement Joshua sans jamais vraiment clarifier la situation. Rusé et mesquin, ce dernier savait pertinement que la violence de Lust était toujours plus relative face à une demoiselle, hors ledit Joshua souhaitait faire payer double la chère demoiselle : cela faisait bien trop longtemps qu'il attendait ses mille dollars, sans en voir la couleur, aussi il jouait avec perfidie sur la mixité du prénom de la jeune femme. Tous deux assis dans la précieuse Aston de Holloway conduisant avec dextérité mais ayant le pied léger sur la pédale d'accélération, ils étaient en route pour les quartiers miteux du centre ville, à la recherche de la fameuse cliente devant des dettes à Joshua. La voix de ce dernier s'éleva alors, mesquine, dans des paroles jamais vraiment contenues, toujours un peu vulgaires, il avisait Lust dans une attitude sans doute trop sûre de lui, alors qu'Holloway n'affichait que prestance et arrogance.

    Joshua - « C'est bon on y est. Si j'ai pas mon fric ce soir, je lui explose la cervelle... T'as ce qu'il faut ? »

    Le bruit d'un frein à main que l'on releva se fit alors entendre, comme le jeune Holloway gara sa précieuse voiture dans les ruelles miteuses et souillées du quartier : les quelques réverbères rouillés fonctionnant encore laissaient entrevoir une ampoule grésillant de temps à autres, les ordures s'entassaient ici et là, et les panneaux bancals des magasins au rideau de fer tagués laissaient apparaître dans leur stature dérisoire que refaire la façade à neuf était ici hautement improbable. Sans un mot, Lust sortit de son précieux bolide, claquant la porte toujours taciturne, il leva enfin son regard ambré vers Joshua avant de lui tendre le colt endormi à sa ceinture. Un geste comme un autre dans ce genre de quartier, anodin, banalisé voire tellement naturel, que les deux jeunes hommes ne s'en cachèrent pas, malgré les prostituées des environs. Jusque là trop taciturne, Holloway figea une cigarette au coin de ses lèvres avant de l'allumer, jetant un coup d'oeil à sa rollex indiquant vingt-trois heures passées, il finit par braquer ses prunelles glacées sur l'une des fenêtres opaques de l'appartement crasseux fait de briques rougeâtres.

    Lust - « Et ton client habite où ? »
    Joshua - « J'sais pas... Enfin j'sais plus. » fit-il en plissant le nez, révélant à demi mots que l'indication de son "client" lui devant les dettes concernant l'endroit où il habitait avait dû être mentionné sans doute à un moment où Joshua devait être dans un état second, sans doute dans un de ses éternels délires provoqués à l'ether lors d'une soirée passée avec des gens douteux. « Dans le coin quoi. T'inquiète on va trouver... »
    Franck - « Hey les gros bourges, c'est pas un coin pour vous i... Fuck off, Lust... » renchérit alors une voix familière.

    Holloway se tourna dans un sourire vers la silhouette intruse, imposante et massive s'avançant vers eux, suivie de cinq autres arrivants à l'air aux premiers abords douteux. Pour autant, l'héritier eut alors un sourire en coin avant de serrer la main de l'homme à la peau noire et à la corpulence imposante, portant sur lui bien trop de bijoux clinquants et dorés, et qui finit par tapoter l'épaule de Lust d'une poigne amicale. Se rendant soudain moins agressif, tout autant que les autres silhouettes s'avançant dans la lumière du réverbère, la clique s'étant déplacée vers Joshua et Lust se fit soudain bien plus amicale ; elle demeurait après tout de bonnes connaissances d'Holloway, certes pas fréquentables mais tout de même.

    Franck - « Mec, faut me dire quand tu bouges dans le coin, surtout à cette heure-ci. Un peu plus on te trouait la tête... T'es un putain de chanceux que j't'ai reconnu comme ça. Je savais bien que ça puait pas le bourge à plein nez. »
    Lust - « Affaire urgente. » fit-il dans un sourire en coin avant de recracher un nuage de fumée. « On cherche Dewèn. »
    Franck - « Ah, dans cet immeuble. » fit-il en pointant l'un d'entre eux du doigt. « Troisième étage à gauche, fais pas gaffe à la pute à l'entrée, c'est la meuf de Cecco, une vraie nympho. »
    Lust - « Bien. » répondit-il dans un sourire amusé. « Prends soin de ma belle, Francky... » rajouta-t-il en donnant un léger coup de tête à son Aston.
    Joshua - « On revient vite, le temps de lui voler dans les plumes. »

    Un sourire mesquin se dessina sur le visage mesquin de Joshua alors que ce dernier chargea son pistolet qui émit un cliquetis métallique, avant de suivre le sillage de Lust s'avançant vers l'immeuble crasseux. Suivant donc les instructions de son ami proxénète, Holloway monta les trois étages à l'hygiène douteuse et aux marches bancales, mais loin de s'en soucier puisque ce n'était guère la première fois qu'il s'aventurait dans les ghettos de ce genre, il gardait au contraire sa prestance et son charisme écrasants, sublimés par son costard sombre à la coupe parfaite, dont la cravate manquait néanmoins à l'appel. Il se stoppa alors à la seule porte s'annonçant sur sa gauche, la cigarette se consumant toujours à ses lèvres, avisant la porte de bois vermoulu légèrement entrouverte. S'attendant à se trouver face à une entrée barricadée, Lust arqua légèrement les sourcils, avant de la pousser d'une main ferme et d'en passer le seuil. Les deux hommes s'avancèrent alors, imposants voire effrayants malgré leur jeune âge, et dores et déjà ils s'étaient avancés dans le minuscule salon où ils firent face à la silhouette trop frêle de Mànùeyla. Cette dernière sans doute surprise par l'arrivée des deux dealers ne vit pas arriver la main puissante de Joshua qui la poussa sans ménagement et avec violence sur un fauteuil.

    Joshua - « On est là pour ma thune chérie. Tu paies maintenant, ou je te troue la cervelle. »

    L'épaule posé contre l'embrasure de la porte, Lust avisait la scène d'un air détaché, néanmoins quelque peu blasé et sentant en lui la colère monter en comprenant que Joshua avait tout fait pour lui cacher que le client en question était une demoiselle. Aussi, s'assurant que son bras droit ne martyrisait pas trop la jeune blonde, il la toisa de son regard abyssal avant de laisser sa voix suave et grave se lever dans un murmure.

    Lust - « Mille dollars. Tu les lui donnes gentiment maintenant, on te laisse tranquille, on se tire et tu nous revois plus sweetheart. »

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Mànùeyla Dewèn
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MessageSujet: Re: Pay your price - PV   Pay your price - PV Icon_minitimeSam 29 Aoû 2009 - 0:51

Je me tournais une nouvelle fois dans mon lit, les draps en désordres s'étaient entortillés autour de moi et dans un dernier sursaut agité je les entrainais avec moi dans ma chute.
Écarquillant brusquement les yeux je regardais autour de moi, cherchant a retrouver mes repères alors que la réalité et l'imaginaire n'étaient pas encore différenciés.
J'avais encore vu mon cousin et pour une fois dans mon rêve je ne voyais pas son cadavre qui venait se venger, non je le voyais âgé de vingt-ans me souriant.
Je l'avais imaginé m'emmener en boite de nuit, moi une blondinette toute en douce rondeur, jusqu'à ce qu'un gars décide de m'emmerder et que en s'interposant mon cher cousin se fasse tué.
Je me réveillais sur la moquettes grisâtre de la chambre de mon appartement, j'étais bien une grande blonde, mais sous ma peau les os étaient visibles.
Je n'étais pas maigre au point d'en être laide, mais assez pourquoi j'ai l'air trop fragile; d'ailleurs à cet instant je l'était peut-être.
Je ne savais plus ce que j'étais, le sentiment de confusion, d'incompréhension et finalement de tristesse qui m'envahissaient me laissait les yeux grands ouvert et le souffle court allongée sur le sol.
Je restait entortillé dans les draps pendants de longues minutes, peut-être même une heure, cherchant a retrouver mon calme et de remettre les choses au clairs dans ma caboche enfumée.
Était-ce ma consommation depuis longtemps excessive de drogue qui me donnait tant de mal à me remettre de mes nuits agitées? Je n'en avais aucune idée, mais une chose était certaine, en regardant le réveil je pouvais dire que je venais de rouvrir les yeux à plus de 15h de l'après-midi et que j'étais en manque.

Finalement je me levais, abandonnant mes couvertures sur le sol, passant comme habitude une main dans mes cheveux dorées. C'était étonnant qu'ils soient aussi éclatant avec mon hygiène de vie.
La plupart des Junkies avait le visage continuellement blafard, moi je pouvais me vanter de ressembler a quelque chose même sans maquillage, c'était d'ailleurs un point qui m'avait beaucoup aider dans la vie. Ma belle gueule et ma taille 34, je le savais très bien et cela ne me donnais pas envie d'en prendre soin pour autant.
J'étais habituée a vivre dans un appartement minable, à être aussi shooté toute la journée et bien sur à me nourrir le strict minimum. Soit un repas par jour au maximum, il paraît que beaucoup de filles seraient déjà à l'hôpital en prenant exemple sur moi, mais en dehors de mon sarcasme démesuré je m'en sortait plutôt pas mal mentalement.
En tout cas c'est ce que je me disais toujours et ça me suffisait à peu près.
Une chose dont je manquait toujours à mon grand damne c'était la poudre, entre le fait que j'en fournissait à quelques personnes et que j'en consommais pas mal mes stocks étaient souvent à secs.
Un petit problème qui me forçait à faire appel à des petits dealeurs que je préférais éviter la plupart du temps, un nom me venait d'ailleurs en tête celui de Joshua.
Ce connard de British m'avait vendu un peu de coque une fois et depuis il me harcelait régulièrement pour que je le rembourse, ce pourrit débile qui n'avait pas put se contenter de me sauter.

J'enfilais une petite robe dans des teintes orange, bleu et verte avant de me décider à sortir de mon appartement; j'avais quelques courses à faire ce matin.
En descendant les escaliers je prenais soin de marcher par inadvertance sur les jambes d'une trainée qui ronflait dans les escalier. Elle et moi on ne s'était jamais entendu parce que cette nympho avait prétendu être mieux que moi.
J'étais peut-être une droguée, une salope et une fille facile selon mon gré; je n'avais jamais été obligée de me taper des mecs ivres morts pour être certaine de tirer mon coup.
Oui je me vantais d'avoir un minimum de classe et de ne me taper que des personnes physiquement plaisante, le caractère ne pouvait pas être assuré puisqu'il n'était pas souvent prit en compte dans mes critères.
Sauf pour un mec peut-être, Heath ce salaud de blond qui osait faire son difficile en refusant de me toucher. Quel con ce type, j'étais pourtant une des jeune femmes les plus belles de Greenville sans me vanter. J'avais des allures de mannequin qui avaient faite baver plus d'un mec.
Bref je sautais presque sur ses petites jambes flasques, lui arrachant au passage un cris de douleur, après quoi avec un sourire au coin des lèvres je descendais les dernières marches.

Posant mes yeux gris autour de moi je cherchais quelque chose de très précis, ou plutôt quelqu'un si on pouvait ne pas considérer le gars en question comme un animal.
Il ne fut pas difficile de trouver celui que je cherchais, le type était entrain de rire bêtement avec sa bande de petits minables, il jouet bêtement avec des armes à feu.
D'après ce que je pouvais voir il s'amusait a tirer sur des bouteilles de bières posées sur un mur à trois mètres de lui, rien d'impressionnant dans le coin.
Pourtant il fallait savoir se méfier de lui, ce gars avait tendance à appuyer facilement sur la gâchette et il ne s'était toujours pas fait choppé par les flics, s'en était désespérant.
J'avançais à grandes enjambées vers lui et un sourire se dessina sur son visage, se porc avait toujours espéré pouvoir me sauter, alors qu'il allumait instinctivement une cigarette.
Me regardant de haut en bas ses yeux s'attardèrent quelques secondes sur mes longues jambes, puis revinrent vers mon visage.

    Franck: Mànùeyla tu as enfin comprit que j'étais ce qu'il y avait de mieux pour toi dans le coin?
    Mànùeyla: Ne rêve pas, j'ai juste besoin de coke.
    Franck: Et qu'est-ce-que tu me donne en échange?
    Mànùeyla: Pas ce que tu attend, comme d'habitude. Mais c'est toujours assez pour te convaincre de me donner un sachet.
    Franck: Un jour tu me paieras autrement ma belle.
    Mànùeyla: En attendant contente toi des billets et soit mignon fait connaissance avec les pastilles mentholées.


Le gorille ne réagit même pas alors que ses copains se foutaient ouvertement de sa gueule,
peut-être l'habitude ou cette certitude débile qui lui faisait croire que j'allais lui tomber dans les bras.
En même temps ce n'était pas comme s'il était amoureux, juste l'orgueil du mâle qui le forçait à continuer à me faire la court. Peut-être comme moi et ce stupide blondinet.
Je retournait vers mon appartement, observant victorieusement le petit sachet de poudre blanche dans ma main. Alors que je montais les premières marches je m'apprêtais à remarcher accidentellement sur la nymphomane, mais celle-ci devait avoir un soupçon d'intelligence et elle replia ses jambes alors que mon pied en approchait.
Cachant au mieux ma déception je regagnais mon appartement, claquant la porte derrière moi pour me défouler.
Je m'installais finalement sur le tas de couettes par terre et faisant une ligne de poudre sur ma main je respirais profondément. Souriant béatement alors que la drogue faisait effet.
J'étais tellement détendue que je fermais les yeux, sans m'inquiéter des cauchemars habituels.
Après tout la drogue avait quand même ses bons côtés.

Ouvrant les yeux brusquement je réalisais qu'il fallait absolument que j'apprenne a fermer la porte d'entrée, c'était une mauvaise habitude de la laisser toujours ouverte.
Je m'en rendais compte puisque deux homes me faisaient face, il ne fut pas difficile de reconnaître le premier.
Celui-ci se jeta sur moi me relevant avec facilité, son regard effrayant croisant le mien pendant une fraction de seconde, il fini par me balancer sur le seul fauteuil que j'avais.
Je m'écrasais contre sans broncher et détournait les yeux du petit dealeur, je savais qu'il allait s'énerver, puisqu'il avait surement un complexe de supériorité et un sourire presque imperceptible se fixa sur les lèvres pleines.
Finalement je regardais l'autre, lui aussi devait avoir approximativement mon âge et il n'était pas difficile de voir qu'il était friqué.
En plus de ses fringues il avait ce regard que seul ceux qui ont apprit à se faire passer pour plus important que les autres ont.
Comme moi ses yeux brillaient de confiance en soit et de cet orgueil qui nous forçait à ne pas baisser les yeux, quand d'autres auraient déjà commencés à pleurer ou a supplier.
Et pourtant la faiblesse s'y trouvait aussi, dans ce regard détaché, vicieusement cachée; c'était notre secret à nous les riches et pas gâtés.
Je le regardais sans bouger ou vraiment réagir alors que Joshua commençait à me gueuler dessus.

    Joshua: On est là pour ma thune chérie. Tu paies maintenant, ou je te troue la cervelle.
    Lust: Mille dollars. Tu les lui donnes gentiment maintenant, on te laisse tranquille, on se tire et tu nous revois plus sweetheart.
    Je me tournais vers Joshua.
    Mànùeyla: Fait moi rire, même avec la totalité de la drogue que je lui est prise et les intérêts on arrive pas à Mille dollars.
    Et d'ailleurs j'ai dans le souvenir que je t'ai déjà payé, t'as plus tiré ton coup depuis? Tu serais donc frustré Josh.

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MessageSujet: Re: Pay your price - PV   Pay your price - PV Icon_minitimeMar 8 Sep 2009 - 14:31

    Une histoire comme les autres, l'histoire des ghettos malfamés et remplis de proxénètes, dealers, gens louches qui dorment sur le palier au bois branlant parcouru de seringues souillées. Rien d'extraordinaire, une histoire terriblement banale que la demoiselle devait vivre tous les jours, ne serait-ce sans doute que par les disputes violentes de ses voisins qu'elle entendait sans doute tous les soirs. A sa façon, elle faisait partie de leur monde, celui de Lust et Joshua, elle faisait partie de la chaine des substances chimiques, l'un des derniers maillons, celui qui en payait le prix. Elle semblait néanmoins rebutée à demeurer la dernière de la chaîne, à devoir rendre ses dettes à cet homme qui désirait ardemment son argent, sans doute pour reproduire un cercle vicieux : mille dollars pour acheter un peu de poudre, pour la revendre un peu plus cher, éventuellement à Mànùeyla, c'était ainsi que les petits dealers procédaient, c'était ainsi que Joshua, en partie, procédait. Lust quant à lui avait la main mise sur quelque chose d'encore plus structuré, plus dépendant, plus vil sans doute, il n'était là que pour accompagner un ami qui le lui avait demandé, si toutefois on pouvait appeler ami celui qui vous poussait à replonger dans le monde actif de la drogue. Et la belle était là, fière, hautaine, orgueilleuse, lionne prête à se battre pour garder sa dignité intacte quand bien même l'homme violent la poussa sur le canapé sans ménagement. Combien de personnes avait-il tué pour si peu, combien de crimes Lust et lui même avaient commis pour ces mêmes sombres histoires de ce genre, assassinats ignobles dignes des plus grandes boucheries, tant et si bien que c'était ce parfum ferreux de sang coagulé que Lust avait fui en quittant l'Angleterre. Joshua planta alors brièvement son regard dans celui d'Holloway, et le message était passé : ici ils étaient à Greenville, pas à Londres, et l'héritier se refusait à commettre de nouveau ces homicides immondes pour le compte d'une récalcitrante à la langue bien pendue. Lust fronça alors les sourcils envers son ami, trop durement sans doute dans le but de lui faire comprendre que le sang de la jeune fille ne coulerait pas. Blasé, Joshua esquissa une moue colérique et froide avant de reposer ses prunelles faites de plomb sur la jeune fille. Cette dernière ne comptait visiblement pas payer ses dettes ; encore une dont la fierté trop poussée la mènera à la tombe.

    Mànùeyla: Fait moi rire, même avec la totalité de la drogue que je lui est prise et les intérêts on arrive pas à Mille dollars. Et d'ailleurs j'ai dans le souvenir que je t'ai déjà payé, t'as plus tiré ton coup depuis? Tu serais donc frustré Josh.
    JOSHUA - « Ta gueule. »

    La délicatesse légendaire le laissa parler alors qu'il se redressa comme Lust s'avança avant de s'asseoir dans un des fauteuil délavés, sa cigarette toujours entre ses lèvres il demeurait pour le moment étrangement taciturne. Loin de faire parler son orgueil habituellement outrageant, il assistait à la scène comme un spectateur passif qui n'attendait en vérité que de partir, comme si l'ennui prônait et qu'il se fichait bien de ces histoires d'argent. En vérité, l'héritier s'en fichait effectivement, il n'en avait guère besoin et ce n'était là plus un scoop pour personne ; il suffisait d'ouvrir la page boursière du New York Times pour voir les cotations financières des actions Holloway grimper en flèche. Pour quiconque vivait avec son temps, personne n'ignorait vraiment que Lust était à l'abri du besoin. Repus d'argent, de filles faciles et d'influence, mais jamais assez d'adrénaline qui régissait son monde, lui, fils de petits riches qui traînait avec des gens louches au comportement suspect. Le robin des bois de ces messieurs les dealers, pour entrer alors dans le sarcasme le plus pur et de mauvais goût. Posant ses yeux ambrés sur sa cigarette tournant entre ses doigts, Holloway semblait ne pas s'intéresser à la situation, quand Joshua se montrait monstre de colère parce qu'il semblait évident que la demoiselle n'avait pas son argent. Ce dernier tourna alors les talons, sortit son revolver endormi à sa ceinture avant de le tendre sans un mot à Lust sur le passage, et s'aventura dans le couloir étroit de l'appartement délabré. A la recherche sans doute d'objets de valeur, n'importe lesquels tant qu'ils pourraient convenir à la dette, une utopie selon Lust : il semblait presque évident que la demoiselle ne disposait d'aucun objet s'estimant à mille dollars, à moins qu'il ne se fourvoyait. Reposant sa cigarette à ses lèvres, Lust actionna le cylindre tournant du revolver, avant de sortir une seule et unique balle de la poche interne de son veston. Sa voix se fit alors murmure, sans orgueil ni arrogance, car le jeune héritier parlait avec un détachement déconcertant, comme s'il s'adressait à une personne qu'il semblait estimer.

    LUST - « Il ne faut pas lui en vouloir, les temps sont durs pour tout le monde. » Sarcasme, quand tu nous tiens. Recrachant un léger nuage de fumée, Holloway chargea son revolver de son unique balle avant de faire tourner de nouveau le cylindre de ferraille, avant de reprendre de son murmure suave et dans un regard songeur porté sur son arme à feu. « Seize pour cent de chance. C'est le pourcentage que j'ai de mourir, si j'appuie sur la gâchette. » Posant le canon sur sa tempe, Lust posa son regard sur la belle assise à l'autre bout de la belle, avant d'actionner la gâchette d'un geste sec. Aucun coup ne partit néanmoins, et ce fut dans un murmure grave qui n'avait rien d'amusé que la voix suave de l'héritier résonna. « Bam... »

    Il soupira alors, son regard noir et teinté d'une douleur terrible se posa sur son arme alors même qu'il gardait néanmoins cette prestance, ce charme et ce sourire narquois malgré tout. Depuis la disparition d'Hazel, l'héritier avait plongé dans l'alcool et dépeignait une attitude des plus étranges, une folie douce provoquée par le désespoir quand bien même il gardait pour lui ces effluves de prince noir et sombre, quand la belle Mànùeyla se faisait une cendrillon des temps modernes. D'un geste lent, Lust pointa alors son revolver sur cette dernière, sans orgueil ni envie de vaincre, mais seulement porté par un geste automatique et presque naturel.

    LUST - « J'ai usé de ma chance, ce qui proportionnellement parlant augmente alors pour toi le pourcentage de te voir mourir. Trente-trois pour cent. » fit-il de sa voix suave alors que son arme était alors braquée sur la belle au regard fier. « Mais si je fais tourner le cylindre... » rajouta-t-il en accompagnant le geste à la parole dans un cliquetis de ferraille. « ... ton taux de chance monte à quatre-vingt huit pour cent, car le ressort du cylindre s'actionne alors en fonction de la gravité, c'est à dire en fonction de la balle... Les statistiques sont fascinantes. » Le jeune homme baissa alors son arme sans jamais lâcher la belle du regard, sa voix se faisant basse et grave tout en continuant son discours, laissant à la jeune fille un avant-goût des semis-aveux de Lust qui faisait alors comprendre que de toute évidence, il n'avait aujourd'hui plus rien à perdre. « Je sais bien que sur une durée suffisamment longue, l'espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro. Mais ce soir tu peux encore éviter ça, Joshua n'est pas quelqu'un de conciliant. Toi, tu as sans doute des personnes qui tiennent à toi, ne gâche pas tes chances parce que ta fierté t'empêche de le faire. Trouve un moyen de le payer, n'importe lequel. »

    Et étrangement, la voix du jeune homme dont le regard s'était planté dans celui de la demoiselle, demeurait sincère et presqu'engageante, comme la volonté peut-être de lui faire comprendre que finalement il ne voulait pas voir la violence de Joshua retomber sur elle.

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Mànùeyla Dewèn
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MessageSujet: Re: Pay your price - PV   Pay your price - PV Icon_minitimeVen 25 Sep 2009 - 23:57

    Mànùeyla: Fait moi rire, même avec la totalité de la drogue que je lui est prise et les intérêts on arrive pas à Mille dollars. Et d'ailleurs j'ai dans le souvenir que je t'ai déjà payé, t'as plus tiré ton coup depuis? Tu serais donc frustré Josh.
    Joshua: Ta gueule.


Joshua avait répondu au tac au tac, comme je m'y attendais, dans ses yeux la colère luisait et donnait un reflétait malsain à son regard ombragé. Il me fixait, ses sourcils froncés avaient provoqués l'apparition de rides sur son front; il avait un air à la fois grave et agacé, pourtant on sentait facilement le malin plaisir qu'il prenait à me dominer de sa force. Ce n'était pas réellement exceptionnel en soit, mais ce gars avait toujours aimer être le plus fort, son côté grand méchant loup n'était d'ailleurs pas seulement une apparence. Lorsque l'on s'était rencontré j'avais eu pour premier réflexe de garder le silence, il imposait non pas le respect, mais une sorte de crainte qui vous incitait à la prudence.
Le brun fit passer une jambe au dessus de mon corps, s'asseyant de manière provocante sur moi; augmentant l'image de la proie prise au piège que je devait donner.
Je bougeais un instant, essayant de le faire descendre; mes efforts provoquèrent un léger rictus et sa main se posa sur ma gorge, la caressant presque puis se resserrant autour.
Il ne m'étranglait pas, mais la pression était assez forte pour rendre ma respiration plus difficile; je le fusillais du regard une fois de plus.
Ce mec était un connard fini, il venait réclamer du fric, le fric que j'avais déjà remboursée avec mon corps, non pas que cela ai eu une quelconque valeur, j'étais devenu une sorte de pute de luxe pour certains et le fait de me vendre pour de la coque ne me gênait plus vraiment.
J'avais tendance à me refermer sur moi même dans ces moments là et c'était donc des moments que je faisais en sorte d'oublier. Pourquoi en étais-je arrivée là? Je n'aurais su le dire, mais je me consolais en pensant que seul les mecs les plus désirables m'étaient passés dessus.

L'autre mec se décida à bouger à ce moment là, à peine eut-il esquissé le moindre mouvement, que je sentais la pression sur ma gorge se déserrer.
Comme si Joshua avait craint la réaction de son complice, comme si finalement il n'était que le chien du fils de riche qui venait de prendre place sur mon canapé.
Je le regardais plus attentivement et dessellais la lassitude dans son regard, non pas que la scène est été gênante pour lui, non simplement ennuyante.
Il prêtait plus d'attention à la cigarette à moitié consumée qui tournait entre ses doigts, qu'à la scène qui se déroulait face à lui; une scène comme tant d'autres. Puisqu'il était évident qu'il en avait vus d'autres.
Je remuais encore un peu et Joshua se redressa, fixant l'autre avec un air mit admiratif, mi rancunier; comme si son modèle l'avait déjà déçu. Il attendait qu'il lui prouve ce qu'il avait dans le ventre.
je me doutais que j'aurais du m'inquiéter et inconsciemment c'est ce que je fis, je me mordillais la lèvre inférieur en regardant le bel homme totalement blasé.
Comme il ne fit rien d'autre que se relever pour arpenter mon appartement Joshua reporta son attention sur moi, j'avais commencé a me relever et il me renvoya violemment au fond du vieux canapé miteux. Des particules de poussières se soulevèrent alors que les ressorts rinçaient de mécontentement.
Je me renfrognait, mais une grimace traversa mes traits, ce con avait réussir à me faire mal à l'épaule.
Le coup trop brusque avait provoqué une douleur surprenante.

    Mànùeyla: Yah des diamants sous le narguilé.


Réplique débile, qui n'empêcha pas une inspection minutieuse de la part de l'apprenti détective.
Mon agresseur me fusilla du regard pour me signifier que j'avais intérêt à la fermer tant qu'il ne m'aurait pas donné un ordre contraire.
Puis pour se défouler un peu il me gifla violemment, j'aurais du prévoir le coup, mais la fatigue suffit à me faire surprendre. Je lâchais un petit gémissement involontaire avant de me ressaisir, il était clair qu'ils avaient le dessus sur moi et que si je tenais un temps soit peu à la vie j'avais intérêt de me la fermer.
Ce que je fis sans vraiment y réfléchir.
Je regardais a nouveau l'inconnu, sa tête m'étais plus familière que je l'avais d'abord cru, je l'avais déjà vu quelque par. Mais avec le nombres de soirées sans souvenirs que j'avais au compteur il n'était pas difficile d'imaginer que j'avais pu l'oublier.
Bizarrement c'est lorsque je vis son révolver que tout me revint au visage, ma mémoire défaillante me permit tout de même de me souvenir de cette petite gueule; le gosse de riche était célèbre.
Assez célèbre pour faire la une de quelques magasines qui étaient déjà passés sous mes yeux désintéressés. Le nom était connu, Holloway. Un anglais, un pourri; avec des origines aussi importantes que les miennes. Sauf que lui il l'affichait.
Il arma son flingue d'une seule balle, mettant en évidence l'unique coup de feu qui retentirait ce soir, je le fixais alors qu'il faisait cela avec d'infime précautions bien que le geste lui semblait familier.

    Lust: Il ne faut pas lui en vouloir, les temps sont durs pour tout le monde.
    Seize pour cent de chance. C'est le pourcentage que j'ai de mourir, si j'appuie sur la gâchette. Bam...


Ce fut le seul son qui résonna après le déclic qu'avait provoqué son doigt sur la gâchette, apparemment il avait beaucoup de chance; mais ce petit jeu intimidant faisait remonté en moi de sombre souvenir.
Moi qui avait adopté une attitude prudente semblait cette fois totalement insensible à ce qui m'entourait; tout ce que je voyais c'était l'arme qu'il pointait à présent sur moi.
Au lieu de trembler, mon corps sembla s'immobiliser, comme si le danger me rassurait; ou plutot comme si l'on venait de pointer un flingue sur une personne déjà morte.
Ce genre de petits jeux macabre je les connaissais bien, ils avaient valu la vie de plus d'une de mes connaissances, aussi bien junkies que prostituées, coupables qu'innocents.
Moi je plaidais coupable, de toute les fibres de mon corps en cette instant je priait pour qu'il appuie sur la gâchette. Qu'il m tue. Je n'en avais rien à foutre, ce ne serait que me soulager d'une existence que je détestais trop souvent, ce n'étais que disparaitre comme ceux que j'avais pu aimer.
Je pensais un instant à Heathcliff, hésitant presque à l'idée de ne plus jamais le voir... après tout il trouverait vite une autre fille facile, toxico suicidaire, ou femme de caractère qui le rendrait heureux.
J'aurais avancée si Joshua ne m'avait pas immobilisée, comme s'il s'imaginait que j'allais tenter de fuir, quel crétin.

    Lust: J'ai usé de ma chance, ce qui proportionnellement parlant augmente alors pour toi le pourcentage de te voir mourir. Trente-trois pour cent. Mais si je fais tourner le cylindre...
    ... ton taux de chance monte à quatre-vingt huit pour cent, car le ressort du cylindre s'actionne alors en fonction de la gravité, c'est à dire en fonction de la balle... Les statistiques sont fascinantes.
    Je sais bien que sur une durée suffisamment longue, l'espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro. Mais ce soir tu peux encore éviter ça, Joshua n'est pas quelqu'un de conciliant. Toi, tu as sans doute des personnes qui tiennent à toi, ne gâche pas tes chances parce que ta fierté t'empêche de le faire. Trouve un moyen de le payer, n'importe lequel.

    Mànùeyla: Appuie.


Ce fut le seul mot qui sorti de ma bouche, presque un murmure, je l'avais dit comme si je n'avais pas osé demander à voix haute quelque chose dont je rêvais.
Ma réaction sembla l'étonner, alors que sa voit s'était faite encourageante la mienne avait réduit le tout à zéro. Évidement il n'allait pas se décourager. C'était le genre d'homme qui se plaisait à croire qu'il était un homme de parole. Simplement il laissa quelques secondes supplémentaires s'écouler, comme pour laisser une chance de rédemption, moi je ne disais plus rien.
Joshua émit un grognement comme s'il était mécontent de risque de perdre son jouet pour ce soir, Holloway n'y prêta pas attention, c'était lui le boss après tout.
Finalement il appuya, douce libération que le bruit de la balle, libération à laquelle je n'eus pas le droit.
Je le regardais un instant, déçus... puis après tout il pouvait très bien appuyer à nouveau, je n'avais gagner que quelques secondes de plus.
Joshua le regarda encore et il sembla qu'ils se comprirent d'un regard.
Je me redressais et il ne m'en empêchait pas, alors d'un pas feutré j'avançais vers celui qui pointait toujours son révolver vers moi. Si près que le son de ma respiration lui était perceptible.

    Mànùeyla: Appuie, répétais-je.
    Joshua: Bordel arrête ton manège connasse!
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