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 i don't like drugs but the drugs like me _ uc

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MessageSujet: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:02

i don't like drugs but the drugs like me _ uc Rosie05


    Rosie H. Whiteley dans le role de Maelys Lexie Hamilton. Très peu surnommé certains aime pourtant l'appeler la Junkie, la Névrosée ou bien Bellisima car elle est belle, digne d'une rose. Ne vous y fiez pas, Maelys est agréable a regarder autant qu'elle est douloureuse au toucher. D'autre encore, s'extasiant devant sa beauté et séduit par son charme certains, se plaisent à l'appeler la Déesse pour plus tard s'éprendre du mot Diablesse. Maelys à toujours vécu à Greenville, depuis vingt ans maintenant, née le trois juin 1990. Non scolarisée, la belle n'a jamais porté de l'importance aux études, elle n'est en rien bête, elle est même très intelligente. Employée dans un bar de la ville elle n'a néanmoins aucun besoin d'argent étant l'héritière d'une grande banque Irlandaise de part son oncle. Elle se jure hermétique aux histoires qui courent sur la ville pourtant, on la classe parmi les Crazyness And Fredom For Care.




_ la petite fille aux joues roses_

violate a child comes to steal his innocence ;


    La porte s’ouvrit en grinçant, et comme presque chaque nuit depuis des mois, elle se borna à ne pas faire un seul geste. Comme si cela lui importait, comme si cela l’empêcherait d’accomplir cet acte odieux, inhumain. Cet acte qu’il appelait « d’amour » et qui, pourtant, ne lui apportait que souffrance. Maelys, depuis la toute première fois, ne parvenait plus à fermer l’œil, ou du moins, pas avant une heure avancée de la nuit. Elle tremblait de peur et d’appréhension, de dégoût aussi, de lui comme d’elle-même. Mais elle ne comprenait pas pourquoi… comment tout cela avait pu se produire. Elle qui, hier encore, ne voyait que par les yeux de la petite fille qu’elle était, se trouvait aujourd’hui confronté à cela, à une horreur sans nom. Et elle ne parvenait pas à trembler, elle n’avait jamais pleuré entre ses bras, lorsqu’il soulevait sa chemise de nuit ou que sa main effleurait les courbes de sa cuisse. Elle se contentait de sceller ses paupières, de sceller son cœur et sa bouche. La première fois, elle n’avait pas mis longtemps à comprendre : tous ces gestes tendres et ces paroles si douces, ne ressemblaient en rien au père terrible qu’elle craignait depuis toujours. Hector était de ces hommes lâche, qui parlaient bien plus qu’il n’agissait. Elle ne doutait pas que ses poings volaient avec plus d’aisances que ses paroles, et elle craignait qu’il le lui prouve un jour, comme si son corps n’avait pas encore assez souffert.

    Et les bruits de pas se turent. Le lit s’affaissa sous le poids de son père, et elle se figea davantage, si c’était seulement possible. Elle regrettait aujourd’hui, de ne pas être restée cette petite fille aux joues rondes et aux lèvres roses. Ce morceau d’innocence pure qui ne voyait par sa mère, trop sage et trop naïve. Et Maelys l’appelait souvent, cette enfant aux yeux clairs, qui seule savait la consoler dans ces moments de honte. Elle préférait oublier tous ces instants qu’elle passait sur le dos, à retenir ses larmes et ses cris, à mordre sauvagement sa lèvre inférieure, jusqu’à sentir le goût du sang. Elle préférait oublier ce père qui s’agitait au-dessus d’elle, grognant et soufflant tel un porc. Etait-ce cela un homme ? Etait-ce cela le plaisir tant vanté dans ses romans ? Alors, elle n’en voulait pas. Il était en plus tout sauf délicat. Sa peau belle et blanche autrefois, était couverte de bleus sous ses vêtements, et le moindre mouvement, lorsqu’il se montrait plus violent encore que d’ordinaire, relevait de la torture. Sous des coiffures extravagantes, elle dissimulait les bosses qui se formaient à mesure que sa tête heurtait le montant de son lit. Chaque marque sur sa peau était comme une accusation. Elle se haïssait, se dégoûtait, parvenait à peine à se voir dans un miroir. Elle mourait à petit feu, de honte et de rage contenue. Et tous dormaient, ne se souciaient pas du mal qu'on faisait à la petite Maelys si tranquille et silencieuse. Même si elle ne riait plus comme autrefois, quelle importance ? Elle avait grandi, et c'était tout.

    Cette nuit, il en termina vite. Elle n’osa pas lui prêter de quelconques remords, ou doutes. Il devait être… pressé. Allongée sur le dos, elle ne parvenait pas à bouger. Les yeux grands ouverts, elle s’interdisait de revivre la scène, d’entendre à nouveau ses… cris. Maelys avait oublié la saveur d’un vrai sourire, le son d’un véritable rire. Comme si le bonheur lui avait été ôté au même moment que sa virginité. N’y avait-il pas un moyen pour que tout cela s’arrête ? Elle en venait à regretter d’être née jolie, et désirable. Sans doute si elle avait été laide, rien de tout cela ne serait arrivée : sans doute serait-elle un peu plus heureuse, quoique moins regardé. Mais quelle importance ! Quelle importance… l’apparat, tout cela… n’avait plus aucun sens. Elle s’était redressée, brusquement, et avait à peine jeté ses couvertures sur le sol, qu’elle courait déjà vers la porte close de sa chambre. La jeune fille trébucha sur le pli d’un drap resté accroché à ses pieds, et chuta lourdement sur le sol. Mais elle ne sentit pas la douleur. Ses pensées s’étaient tues. Elle se releva vivement, ouvrit la porte, et sortit de la pièce en courant, la respiration haletante déjà, le cœur brisé et brûlant, les larmes aux bords des yeux, mais qui ne coulaient pas. La cuisine. Là, elle trouverait de quoi se rendre laide. Terriblement laide. Les plaies de son cœur qui se refléteraient enfin sur son visage, lui paraissaient belles à présent. Elle fut prise d’un rire hystérique et court, et courait toujours. Le visage blême, on eut dit qu’elle était sur le point de rendre l’âme, ou bien, qu’elle avait perdu l’esprit, ce qui n’était pas loin d’être le cas. Mais soudain, tout s’arrêta. Sa course, son rire. Le couloir était sombre, mais pas assez pour qu’elle ne distingue pas les contours de la porte de la chambre de son frère, juste en face d’elle. Un sanglot la secoua soudain, violent et douloureux. Maelys porta une main sur le bois froid en cette heure tardive, et la laissa lentement glisser, de haut en bas. Elle ne percevait plus les battements de son cœur, et son souffle était si faible qu’elle-même ne savait plus si elle respirait ou non. Peut-être était-elle morte. Peut-être était-ce son spectre qui s’était levé, et qui avait couru jusqu’ici. Jusqu’à son seul refuge. Jusqu’à son seul amour. Son frère tant chéri. Sa moitié. Un nouveau sanglot, et elle se colla à la porte de Wyatt. Un frisson la parcouru, alors que le froid la pénétrait de part en part, presque salvateur. Oh non, non. Elle n’était pas encore morte. Pas tant que ce monstre n’aurait pas payé, pas tant qu’elle ne serait pas vengée. Maelys voulait qu’il souffre, encore et encore, qu’il supplie qu’on l’achève, comme le porc qu’il était. Elle voulait sa mort plus que toute autre chose. Il l’avait Sali pour toujours, lui avait arraché son innocence, sa beauté enfantine et son rire surtout… ce rire qu’elle avait tant chéri. Sa toute première larme depuis des mois roula sur sa joue…

    L’essuyant maladroitement, sa glissa jusqu’à la poignée de la porte, et elle l’ouvrit avec lenteur. Ses sanglots redoublaient de violence, et ses larmes… ses larmes coulaient à présent sans retenue. Elle ne prit même pas la peine de refermer la porte, avant d’avancer à l’aveuglette vers le lit de son frère, au pied duquel elle se laissa lourdement tomber. Les larmes… toutes ses larmes… plus sans doute, que son corps ne pouvait en contenir. « Wyatt...Wyatt… » Murmurait-elle sans prendre même le temps de reprendre sa respiration. Son poing se serrait sur la couverture de son frère, et elle laissait libre cours à sa peine, à sa douleur. Profonde, inaccessible. Eternelle. Elle avait si mal. Et ses sanglots qui la torturaient étaient presque délicieux. S’était-il levé, lui avait-il parlé ? Elle n’en avait aucune idée, soudain, plus rien d’autre que ses larmes et son cœur brisé n’existaient. Elle ne voyait plus rien, n’entendait plus rien. Seule la douleur importait. Seule la peur la faisait encore trembler. Et elle s’accrochait au drap de son frère à s’en meurtrir les paumes, tant ses ongles s’y enfonçaient profondément. Elle pleurait encore, et avait perdu le compte du temps, lorsqu’une main vint se poser sur la sienne, la forçant à desserrer le poing. « Maelys… ? » murmura une voix, qu’elle ne perçu qu’avec peine tant elle était perdue dans ses ténèbres. Une main glissa sous son menton, et lui releva la tête, sans qu’elle ne trouve la force de résister. Les larmes lui brouillaient la vue, mais elle n’avait pas besoin de le voir pour reconnaître son frère, le seul sans doute, qui ne la blessait pas, aujourd’hui. Elle se redressa brusquement, et attrapa la main qui tenait déjà la sienne, ne parvenant pas à faire taire ses sanglots. « Il… Il m’a… j’ai… » Pourquoi ? Pourquoi lorsqu’elle osait enfin, lorsqu’elle voulait tout avouer, confesser sa honte et sa douleur, pourquoi tous ces mots, trop longtemps contenus, refusaient de sortir ? Fermant les paupières, elle se dit que peut-être, en imaginant une nouvelle fois le poids de son père sur elle, peut-être qu’elle parviendrai à rassembler assez de haine et de détresse pour qu’elle puisse enfin délivrer les mots enchaînés, les appels au secours étouffés… « Hec...Hector... il m’a… touché… partout. » mais ses mots se perdaient déjà dans un nouveau sanglot, et ses larmes de nouveaux, brouillèrent sa vu. Elle ne pouvait voir l’expression de son frère dans l’obscurité, mais après quelques secondes seulement, son poing se serra dans sa main. Maelys connaissait ses colères : elle en avait même été victime parfois. Wyatt séduisait tant de monde, et pourtant, personne ne connaissait aussi bien qu’elle ce côté sombre de sa personne. Personne, sauf peut-être leur père, qui n’avait pas d’égal dans la noirceur. Du moins, pas encore.


Derrière l'écran;

    Pseudo : freaky day
    Présence sur le forum : 7/7 même la nuit * on va me prendre pour une accro aux yeux rouges *
    Où as tu connu ce forum : par Bazzart
    Commentaire : j'aime beaucoup le desing et l'ambiance à l'air cool * aime les cinglés *
    As tu lu le règlement ?: oui bien sûr


Dernière édition par Maelys L. Hamilton le Jeu 13 Aoû 2009 - 18:46, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:02

_ les mariages ça craint_

it is said that marriage is the tomb of love, that never in the household no sinks happy days ;

    Une jeune fille restait en retrait de toute la cohue qui se bousculait pour arriver les premiers dans le lieu saint. Elle n’était absolument pas pressée de rentrée dans le temple de sa torture. Pour beaucoup aujourd’hui était jour de fête, il n’avait pour elle que la signification de l’amère détresse. Personne ne pouvait comprendre son sentiment si contradictoire par rapport aux sourires émerveillés des autres. Elle regardait les magnifiques robes se froissaient dans la précipitation en feignant l’indifférence. Pourtant dans sa petite tête tout s’agitait. Elle voulait trouver un moyen pour que l’événement soit annulé. Elle savait très bien que cela ne marcherait jamais quoi qu’elle invente mais l’espoir fait vivre. Etouffant un soupire lorsqu’elle entendit son prénom hurlé à quelques mètres d’elle, la brunette prit son courage à deux mains et avança doucement un pied devant l’autre. Si elle devait contempler la monstruosité, elle préférait ne pas précipiter la confrontation. Dès qu’elle fut proche d’un visage connu et chaleureux, elle sentit qu’une main chaude prenait la sienne. Elle tourna son regard noisette dans celui azur de sa mère. Une joyeuse courbe orné le visage de son aînée qui ne semblait pas réaliser le chagrin de sa fille. Elle se baissa pour être à la hauteur de son visage poupin. « Ca va aller Mae' tu verra, ton frère est magnifique ! » Prise par l'euphorie de ce jour fatidique Johanna ne prit pas le peine de remarquer le chagrin pourtant visible sur les traits de sa fille. Celle-ci la tira plutôt par la main, l'entrainant avec elle dans le remous de la foule. Toutes ces personnes lui donnèrent brusquement la nausée et Maelys s'empressa de poser sa main sur sa bouche, emprisonnant le liquide visqueux qui menaçait de sortir. Perdue dans le brouhaha elle entendit pourtant des voix au dessus d'elle murmurer son prénom, certainement des gens de sa famille qu'elle n'avait jamais vu, car c'était comme ça les mariages. On invite des gens, beaucoup de gens pour que tout le monde soit au courant de l'heureux événement, même des gens qui sont censé être fâché avec vous, même des cousins très lointains. Johanna traina sa fille vers les premiers bancs. Si elle avait entendu une réponse, elle n’en aurait tout simplement pas eu. La petite était ainsi, quand quelque chose lui faisait du tord, elle se taisait, prenant sur elle. Ce n’était pas une bonne tactique car elle avait tendance à éclater quand tout cela lui faisait un trop grand poids sur les épaules. Mais elle se contrôlait de mieux en mieux, et la souffrance ne se voyait jamais dans son visage. Elle n’émit aucune protestation quand on l’obligea à s’asseoir près d’un parent qu’elle n’appréciait pas toujours. Il n’était pas méchant certes, mais il n’avait rien de rassurant. Mal à l’aise, l’enfant se tortillait les deux mains, les yeux rivés sur ses genoux. Elle se mordillait frénétiquement la lèvre, balançant avec cadence ces deux jambes. Les minutes passèrent et elle se relâcha contente de ne pas avoir été dérangée par sa mère ou par l’autre qui se tenait près d’elle. Mais sa joie fut passagère quand elle sentit de nouveau une main mais, cette fois sur sa cuisse. Remontant le long du bras de la personne c'est son infâme et odieux père qu'elle vit. Celui-ci arborant un sourire innocent alors que sa main grimpait sur la jambe de sa progéniture. Personne ne sembla remarquer l'homme, pas même sa propre femme à quelques mètres de lui. Pourtant, la gêne et le dégout étaient parfaitement lisibles sur le visage poupin de l'enfant. Celle-ci retient un malheureux cri de peur tandis qu'elle tentait de ne pas trembler, de ne pas avoir peur. L'homme qu'elle n'appelait plus papa s'arrêta soudain et la gamine tourna la tête vers la personne qui l'avait sauvé; ce n'était personne d'autre que son frère aîné qui venait à elle, un sourire rassurant peint sur le visage. « Ne t'inquiètes pas Mae', sa va, il ne te fera rien... » Elle avait bien du mal a le croire.

    Maelys évita les jeunes mariés comme la peste. Comme l’avait dit la jeune femme aux cheveux bruns, la robe de la mariée était sublime, mais ça s’arrêtait à là. Elle était sublime, son mari était sublime - puisque c'était son frère -, mais rien d’autre ne l’était. La petite avait envie de courir loin de tout ça. Qu’est ce qui faisait qu’elle avait envie d’agir ainsi ? Le fait qu’il l'abandonnait. Il partait faire sa vie seul avec cette femme dont la petite fille n’avait pas confiance. Cet abandon, elle ne pouvait l’accepter. Elle n’avait rien dit comme d’habitude, pourtant elle avait espéré que quelqu’un remarque quelque chose, qu’il remarque quelque chose et qu’il change ses projets. Mais rien à faire, à croire que l’amour était bien le plus fort. « Oh, oh ! Mais c’est quoi cette petite mine ? » Surprise, elle fit un bond en arrière. Elle se reprit très vite en rencontrant les yeux pareils aux siens de son grand-frère. Elle n’avait pas besoin de se cacher avec lui, il était le seul à comprendre en partie ses pensées sombres, les autres ne pouvaient tout simplement pas comprendre qu’une fille si pleine de vie puisse avoir des hauts et des bas comme tout le monde. Mais lui, c’était presque son double au masculin avec la confiance en plus. Pas qu’elle n’ait pas confiance en elle, mais la timidité lui empêchait l’assurance de son frère. Pour lui faire comprendre son malheur, elle montra du doigt l'alliance qu'il portait au doigt. « Je vois. Te fait pas de soucis, je serais là d'accord? Toujours là. » Connerie. Elle savait très bien qu'un jour ou l'autre il ne viendrait plus, parce qu'elle c'est une gamine et parce qu'elle ne comprends pas la vie. Parce qu'il le faut, lui aussi doit vivre sa vie et c'est pas une soeur collante et sans intérêt qui va l'en empêchait, du moins, c'était ce qu'elle pensait. Le sourire bienveillant de son frangin ne la rassura plus, c'était clair dans sa tête: il partait et jamais plus elle ne le reverrait. C'était toujours comme cela que ça ce passait, son ami Dean lui avait confirmé. Lui c'était sa soeur, elle c'était mariée et hop, du jour au lendemain plus personnes. Promesses et promesses, Wyatt pensait t-il vraiment que Maelys aller gobé ça? Il n'avait pas tout à fait tord car au fond, l'enfant nourrissait l'espoir de le revoir un jour, dans pas trop longtemps si possible. Il était son protecteur, sans lui Hector ne se gênerait plus pour abuser d'elle encore et encore. Une perspectives qui horrifiait la petite. Il n'y aurait plus rien pour retenir sa brute de père, à coup sûr elle finirait par crever, car elle en était certaine, les poings d'Hector n'auraient plus aucunes retenues. Ils voleraient au dessus d'elle, la frapperaient jusqu'à ce qu'elle succombe. Une unique larme perla au coin de son oeil tandis qu'elle le regardait partir loin d'elle pour ne plus revenir.

    ٭٭٭

    « Oui allo? .... Elle même.... Un problème? .... Non il est partit il y a une heure.... Oh mon dieu ! .... C'est...Non ! » Le combiné tomba de la main de Johanna. Celle-ci haleta et finit par tomber lourdement sur ses genoux, brisant ses rotules peut t'être sur le coup. Elle n'arrivait pas à croire ce qu'il c'était produit, elle était bouche bée, estomaqué et indubitablement surprise. Les larmes ne tardèrent pas a inonder son visage blême. Un cri retentit dans la grande salle et Maelys accourue, alertée et choquée de trouver sa mère ainsi, piteusement assise par terre, le visage rougis par les larmes et les cheveux en bataille comme si cela faisait des mois qu'elle ne leurs avaient pas donné un coup de brosse. La fillette attrapa sa génitrice par le cou, un geste qui se voulait réconfortant, mais celle-ci l'écarta du bras et sur le coup de la colère la gifle partie toute seule sans que Maelys ne puisse l'esquiver. L'enfant se retrouva clouée au sol, surprise et en pleurs car jamais sa mère n'avait osé levé la main sur elle. Jamais elle n'avait fait preuve d'une telle violence avec elle et jamais elle ne l'avait frappé, malgré toutes les bêtises qu'elle avait put faire plus jeune. Ne comprenant rien, la gamine s'approcha néanmoins de sa mère sans aucune rancœur et entoura son cou avec ses bras. Maelys ne pouvait décemment pas laisser la femme qui l'avait mise au monde dans une telle tristesse. Elle voulait comprendre. « Maman? ... Maman? ... Pourquoi pleure tu?» Elle la secoua un peu pour que celle-ci réagisse, rien à faire. Devant sa mère peu coopérative, Maelys ne sut que faire mis à part chercher une personne susceptible de l'aider. Et c'est son oncle qui vient en courant, déjà prêt a composer le numéro des urgences. Ce n'était pourtant pas si grave, du moins ça en avait pas l'air. Les cris de sa mère furent un e raison valable d'appeler pour son oncle qui ne savait pas ce qui arrivait a sa chère soeur. L'enfant attendit et l'oncle finit par questionner sa génitrice. « Que ce passe t-il Jo'? Dit moi. » Le regard de la dite Johanna se porta sur celui de l'homme aux cheveux blonds qui la surplombait. « IL EST MORT! » s'époumona t-elle et son visage rougit de plus belle. « WYATT EST MORT! » Sous le choc la petite perdit pieds, pleurant toutes les larmes que son corps pouvait avoir contenu elle s'effondra, reniflant avec peine, les joues d'un rouge pourpre. Elle l'avait sut, elle l'avait toujours sut: jamais il ne reviendrait, à présent c'était plus que certains.


Dernière édition par Maelys L. Hamilton le Jeu 13 Aoû 2009 - 18:51, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:02

_ et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez_



    « Sauvage et taciturne; la nuit possède ce talent méconnu de faire disparaitre les tares les plus improbables. Mère d'une innocence que son frère n'est pas en mesure de nous offrir; elle laisse le soin aux créatures les plus tourmentées de paraitre sous leur meilleur jour. Cette dernière expression semble aussi paradoxale que le mystère qu'elle étreint de ses liens immuables.
    Qui suis je ? Celle qui embrassera les affres d'une existence incomprise; trop complexe pour pouvoir se vanter de se fondre dans la masse informe du commun des mortels. Une âme torturé qui cherche sa place dans ce monde de fou. Une écorchée vive qui tente de trouver un sens a sa vie. Une reine sans prince. Rien de plus, rien de moins. Je suis anonyme. Je ne fais pas partit de ceux qui écriront un jour leurs autobiographie, car il n'y a rien a dire sur moi. Je m'amuse de la vie, je la défie, priant parfois pour qu'un jour elle me laisse mourir, jour qui ne semble pas vouloir arriver. Je m'enferme dans ma douleur, trop peu encline a en sortir car celle-ci est devenue mon refuge, seul endroit où je peut pleurer silencieusement. En effet, les larmes sont taries depuis longtemps, je n'est que trop pleurer, tellement que j'aurais put fabriquer un océan avec mon liquide lacrymal, tellement que même le plus grand des océan ne saurait contenir toutes les gouttes qui ont perlaient à mes yeux. Je me plait dans ma douleur et je ne veut pas en sortir, jamais.
    Ma déprime, je ne traîne qu'elle depuis plusieurs années, affichant pourtant un semblant de faux bonheur. Comme si j'étais heureuse. Comment pouvais-je l'être moi, l'être maléfique? Je me ferme dès que l’on s’approche, je me donne sans vraiment ressentir quoique ce soit. Les gens croient me connaître, moi je leur ris au nez. Personne ne sait, personne ne peut comprendre. J’ai creusé ma propre tombe en plongeant dans cette douce drogue. Mon bonheur y est déjà enterré, elle n’attend plus que moi. Je suis prête, prête à accueillir cette destinée. Je me suis faite à l'idée que personne ne peut me sauver. Qui le voudrais? Je suis ignoble. Je suis un être détestable et arrogant. Trop fier pour avouer mon mal être aux autres. J’essaye de sourire, mais je leur fais peur. Ils me regardent, se demande ce qui se cache derrière ce mur de plomb qui les tient éloignés. Je ne connais pas l’amour, je ne l’ai jamais connu. Je ne cherche même pas à le connaître. Pourquoi faire? Pour aimé quelqu'un il faudrait déjà que je m'aime moi même. De plus, aucun ne semble être suffisant, aucun ne semble pouvoir supporter la personne que je suis, aucun ne semble assez courageux oser m'aimer. Tout ce que j’entends c’est que je suis belle, que je parais innocente. Mais que savent-ils au fond ? Rien. Ils ne savent rien. Innocente, sûrement pas. Belle? Bien sûr c'est évident mais c'est l'apparat, car de nos jours il n'y a que cela qui conte. Je ne puis m’attacher à ces gens qui me mettent dans une boite et qui me collent une étiquette, je préfère me donner une nuit durant et puis ne plus jamais revoir le garçon qui m’a accueillie dans son lit. Je préfère nuire a ma santé et me tuer à petit feu avec une dose d'héroïne et une bouteille de rhum, visant parfois le coma ityllique. Je préfère me laisser porter par le flot de la vie. Je préfère garder sous clés le semblant de coeur qu'il me reste. Je préfère vivre avec ma dépression car c'est elle qui me protège.
    Je les fais fuir, ces petits gens qui essayent de m’approcher, quelques uns essayent de comprendre cette aura de mystère qui m’entoure comme ils le disent si bien, tous finissent par renoncer. Je suis incomplète, un vase brisé dont on a perdu les morceaux, je dérive entre des eaux qui semblent vouloir me couler sans résister, un jour peut-être que je trouverai les réponses à ces questions que je peine moi-même à comprendre, un jour peut-être que je serai heureuse, vraiment heureuse bien que j'en doute toutefois. Un jour peut t'être j'arriverais a me comprendre. »

    ***


    « On sort ce soir, c'est décidé.» « Tu délire j'espère? Moi vivante ont ne sortira pas d'ici, pas temps que je ne l'aurais pas dit. Clair? » Le jeune parut indifférent tandis que madame tirait brutalement la couverture sur elle, enfouissant son visage dans l'oreiller noir et puant le tabac. La junkie et le dealer; le parfait petit couple en somme, si seulement les disputes étaient moins fréquentes bien sûr. C'était par hasard au détour d'une ruelle crade qu'elle l'avait rencontré. Elle n'avait aucun sentiment pour lui, ce n'était que par pur intérêt qu'elle passait ses journées avec lui dans son plumard le bécotant parfois quand l'envie lui prenait. Elle était ainsi, sans attache et solitaire, en quête perpétuelle d'un nouvel amant, d'un nouveau pigeon a pigeonner. Elle leurs promettait fidélité et eux gobaient le tout tandis qu'elle s'éclatait en faisant fumer leurs cartes bancaires. La manipulation était parfaitement rentable et rare était les fois où la belle se faisait chopé. De toute manière les flics la connaissait bien, son casier était loin d'être vierge. Cette situation lui convenait, elle n'avait rien à perdre, tout à gagner. Mais ce qui lui plaisait le plus c'était la naïveté dont faisait preuve ses malheureux amant. Il ne lui était pas difficile de les charmer, pas difficile non plus de leurs soutirer leurs argent. Maelys était comme ça, elle aimait le gibier friqué un minimum beau, après tout offrir son corps a un laideron... Rien que d'y penser cela lui donnait de l'urticaire. Elle était bien loin l'enfant martyr qui passait ses jours à compter jusqu'à cent sous la cage d'escaliers pour avoir un peu de nourriture. Si sa mère avait seulement eu le cran d'empêcher son mari de la battre et de la réduire au statut de chien... Malheureusement celle-ci n'était plus là depuis longtemps. « HEY ! NE ME PARLE PAS COMME CA TU ENTENDS?! GARCE ! » Soudainement la colère fait rougir ses joues et il relève le draps recouvrant le corps de son amante. La saisie par les cheveux et lui assène un violent coup de poing dans le ventre, la pliant en deux. La junkie crache son sang au visage de son copain, lui griffe les bras violemment, tentant vainement de se libéré de son emprise. D'un geste il fait rouler le corps de la belle sur le parquet de bois de sa chambre et s'accroupit près d'elle. Sonné la jeune femme ne résiste pas a son bourreau et regarde avec angoisse l'horloge trônant au dessus du lit. « SALOPE ! » hurle le garçon à pleins poumons. Maelys ne reste pas de marbre et se fait violence afin qu'un son sorte de sa bouche entrouverte mais à nouveau, la chaussure du dealer vient s'enfoncer dans ses côtes et elle hurle de douleur. Indiffèrent il continu encore et encore, l'insultes en même temps. Les larmes ne tardent pas a apparaitre sur le visage de la jeune femme. Ses prunelles azurées observent le sol tandis qu'elle supplie son petit mi d'arrêter. Le garçon s'arrête, tourne dans la pièce. Elle entends ses pas furieux sur le sol, elle a peur, prie pour qu'il soit distrait par autre chose. Faiblement Maelys se remet debout, s'appuyant sur le bord du lit. « Non...arrête... Arrête Aidan... Je t'en prie... »










Dernière édition par Maelys L. Hamilton le Jeu 13 Aoû 2009 - 19:06, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:07

Oh bah tiens, une deuxième Keira. i don't like drugs but the drugs like me _ uc 503710
Bienvenue. i don't like drugs but the drugs like me _ uc 232101
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Midnight Matthews
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:16

    hmmm le titre. et puis 9 crimes en plus. i don't like drugs but the drugs like me _ uc 7083
    bienvenue parmi nous. i don't like drugs but the drugs like me _ uc 521698
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Enzo G. Stevenson
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:44

    à quelques secondes d'écart, deux keira i don't like drugs but the drugs like me _ uc 883905 Sauf que bon , tu es la deuxième . mais ta fiche est bien avancée ... tout dépend si tu sais changer d'avatar, ou en discuter avec l'autre ?
    Sinon, bienvenue quand meme i don't like drugs but the drugs like me _ uc 7083 i don't like drugs but the drugs like me _ uc 661755 i don't like drugs but the drugs like me _ uc 234233
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:49

    Justement, j'étais inscrite avant mais je n'ai pas posté ma fiche car j'étais en train de la faire. Cependant comme je suis sympa - trop parfois - je vais en changer. Tan pis pour moi ça m'apprendra a vouloir tout faire d'un coup ^^
    Oh et merci pour l'accueil.
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Enzo G. Stevenson
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:56

    voila, c'est grace à la fiche qu'on reserve l'avatar i don't like drugs but the drugs like me _ uc 913240 comme quoi, ca peut être interessant parfois i don't like drugs but the drugs like me _ uc 883905
    Je suis sincérement navrée ; en esperant que l'autre personne qui a prit keira y tiendra réellement. au pire, tu rechanges ensuite si elle s'en va *oupas*
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 17:32

Bienvenue, bienvenue.

Certes Keira, c'était un excellent choix, mais alors prendre Rosie Huntington-Whiteley, c'est WOAH, WOAH, WOAH, WOAH! Alors rien que pour ça je t'aime car je trouve qu'on ne la voit pas assez sur les forums. i don't like drugs but the drugs like me _ uc 408658

En tout cas je file te la réserver si ce n'est pas déjà fait.

Bon courage pour ta fiche qui me semble déjà bien avancée.
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 20:37

Rosiiiie i don't like drugs but the drugs like me _ uc 60109
Bienvenue ici très chère =D
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 20:57

OMG Rosie i don't like drugs but the drugs like me _ uc 7083 i don't like drugs but the drugs like me _ uc 7083

mille fois bienvenue i don't like drugs but the drugs like me _ uc 234233
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MessageSujet: Re: i don't like drugs but the drugs like me _ uc   i don't like drugs but the drugs like me _ uc Icon_minitime

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